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REMERCIEMENTS
Je
désire avant toute chose exprimer ma dette envers les professeurs Yuki
Shiose et Jacques Zylberberg. Ils m'ont fait connaître la liberté dans la
recherche et l'ouverture dans le questionnement. Je n'oublie pas toutes ces
heures passées à discuter avec eux de choses et d'autres, hors des murs de
l'université. Par ailleurs, je ne saurai passer sous silence les moments
précieux que le professeur Yvan Simonis a si gentiment consentit à m'offrir
pour discuter notamment d'un auteur des plus bizarroïdes.
Laurence Fillaud, Serge-Henri Vicière, Hugues Duquette, mais aussi Étienne
Gignac, autant d'étudiants avec lesquels j'ai eu en maintes occasions la
possibilité de discuter des fondements si peu assurés - et pourtant si riches
en impertinence - de nos chemins et de nos horizons d'interrogation. Mes
amis des « Salons d'Edgard » sont également pour quelque chose dans ce
mémoire. De ce milieu particulièrement stimulant, je reste imprégné.
À Jonathan Roberge, esthéticien du social et compagnon de route, à qui je
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dois beaucoup, je ne peux que dire
Sous cette affaire, il y a ma famille que j'aime tant et qui m'a tout donné. À
mon père, ma mère, ma soeur, mon frère, je donne mille baisers.
C'est à Manu, la femme que je n'ai jamais cessé d'aimer, que revient mes
derniers mots : Manu, tu m'habiteras à toujours.
Merci à vous tous.