>EON
30-91
saison
90
.
91
N
D
E
S
i"u"R5VË
5
octobre
1
8
novembre
PIECE
SANS
TITRE
13
octobre
»
17
octobre
COMEDIA
SIN
TITULO
en
langue
espagnole
21
novembre
1
e
r
décembre
RICHARD
111
KING
LEAR
en
langue
anglaise,
sur-titré
en
français
7
février
*28
mars
MESURE
POUR
MESURE
12
avril
«
2
juin
LE
BALCON
11
juin
30
juin
KURT
WEILL
REVUE
en
langues
allemande,
française
et
anglaise
19
#30
septembre
io
10
octobre
4
novembre
ROUNDJA,
LA
JEUNE
FILLE
PLUS
BELLE
QUE
LUNE
ET
QUE
ROSE
9
novembre
1
5
novembre
LOS
CAMINOS
DE
FEDERICO
20
novembre
2
décembre
QUINZAINE
DU
NATIONAL
THEATRE
STUDIO
4
décembre
#9
décembre
ACADEMIE
EXPERIMENTALE
DES
THEATRES
1
6
d
é
c
e
m
b
r
e
2
1
décembre
LA
ROUMANIE,
UN
AN
APRES...
8
janvier
«3
février
LA
CHUTE
DE
L'ANGE
REBELLE
1
0
février
23
février
QUINZAINE
DES
AUTEURS
CONTEMPORAINS
5
mars
«28
mars
MADEMOISELLE
MARIE
4
avril
«28
avril
HISTOIRE
D'UN
IDIOT
7
mai
*26
mai
QUATRE
HEURES
A
CHATILA
1
e
r
juin»
16
juin
TRANSFIGURATION
Avec
le
soutien
de
l'Association
Françoise
d'Action
Artistique
pour
les
spectacles
en
langue
étrangère.
T
héâtre
de
l'Europe
:
ce
sceau
que
Giorgio
Strehler
apposa
sur
le
Théâtre
de
l'Odéon
ne
désignait
jusqu'ici
que
la
moitié
de
ses
activités.
A
partir
de
la
saison
1990-91,
l'Odéon
vouera
tout
son
temps
à
la
mission
définie
par
ces
mots.
Des
mots
qui
engagent
toute
notre
responsabilité,
mais
en
appellent
aussi
à
notre
prudence.
Tandis
que
les
Etats
s'efforcent
de
construire
"l'Europe",
ses
hommes
de
théâtre
tentent
de
reconnaître
son
visage,
multipliant
les
échanges
-
d'artistes,
de
textes,
d'idées
-
et
les
voyages,
en
solitaire
ou
en
troupe.
Les
camions
et
les
expériences
traversent
un
continent
chacun
part
à
la
rencontre
d'une
langue
théâtrale
commune,
tout
en
se
souvenant
que
la
richesse
de
l'Europe,
et
celle
aussi
de
son
théâtre,
c'est
sa
diversité
-
qui
n'a
pas
de
plus
belle
expression
que
la
multiplicité
des
langues.
Mais,
au
moment
la
production
s'intensifie,
l'inquiétude
chez
les
gens
de
théâtre
semble
toujours
plus
grande.
"Quelque
chose
finira
bien
par
arriver,
un
jour"
disait,
il
y
a
peu,
Peter
Stein.
Il
nous
faut
chercher
l'inconnu
de
la
seule
manière
que
nous
connaissions
:
en
faisant
du
théâtre
et
en
donnant
à
voir
le
théâtre
des
autres.
Connaître
les
acteurs
d'un
pays
étranger,
n'est-ce
pas
connaître
un
peu
plus
ses
habitants?
Car
le
jeu
de
l'acteur
est
la
quintessence
d'une
façon
d'être
au
monde.
A
cette
"maison
commune
du
théâtre
européen",
l'Etat
français
a
voulu
offrir
un
lieu
exemplaire
de
l'histoire
théâtrale
de
ce
pays
:
le
Théâtre
de
l'Odéon.
Ce
que
sera
cette
maison
commune,
nous
ne
le
savons
pas
encore;
nous
avons
la
chance
de
pouvoir
l'inventer
et
la
bâtir
ensemble,
créateurs
et
spectateurs.
Imaginons
un
grand
laboratoire
les
créateurs
pourraient
répondre
artistiquement
-
c'est-à-dire
par
une
éthique
et
une
esthétique
-
à
quelques-uns
de
leurs
doutes,
de
leurs
rêves...
Un
lieu
le
théâtre
ne
craigne
pas
le
sceau
de
l'éphémère,
il
n'ait
pas
honte
de
cette
fragilité
qui
l'accompagne
chaque
jour
davantage.
Mais
le
mot
laboratoire,
accolé
à
celui
de
théâtre,
fait
songer
à
un
espace
clos,
à
un
milieu
fermé;
nous
pensons
au
contraire
que
notre
chemin
ne
se
fera
que
dans
la
confrontation
avec
les
spectateurs
:
c'est
la
société
qui
nourrit
nos
interrogations,
c'est
à
elle
que
nous
devons
réponse.
Après
la
chute
en
Europe
d'une
utopie
que
les
hommes
n'ont
pas
su
faire
aboutir,
le
mot
"démocratie"
résonne
avec
un
espoir
mêlé
de
scepticisme.
C'est
aujourd'hui
le
temps
de
l'incertitude,
et
ce
temps
enfante
aussi,
tel
un
mécanisme
inéluctable
et
sinistre,
une
involution;
régressifs,
négatifs,
les
vieux
démons
subis
par
une
génération
encore
vivante,
ressurgissent
:
racisme,
antisémitisme,
terrorisme,
et
surtout
insensibilité,
indifférence,
vide
idéologique.
Comment
le
théâtre
réflètera-t-il
ce
paysage
?
En
sera-t-il
capable
?
Ou
laisserons-nous
au
contraire
durcir
obstinément
cet
épiderme
"artistico-cuItureI"
qui
nous
conserve
intacts,
bien
à
l'abri
de
la
réalité
qui
nous
entoure?
Il
est
de
règle
de
présenter
la
saison
.
Il
me
semble
toujours
qu'à
vouloir
expliquer
un
spectacle
on
risque
malgré
soi
de
mentir.
Je
voudrais
pourtant
dire
comment
les
trois
productions
de
la
grande
salle
rencontrent
quelques-unes
de
ces
questions
inquiétantes
qui
nous
taraudent.
Théâtre/vie
pour
Comédie
sans
titre
de
Lorca.
Sens
de
la
justice,
une
des
plus
belles
paroles
qu'on
ait
jamais
fait
entendre,
avec
Mesure
pour
Mesure,
conté
par
Peter
Zadek,
qui
mettra
en
scène
pour
la
première
fois
en
langue
française.
Ou
ce
grand
auto-sacramental
laïc
de
Jean
Genet
:
le
monde,
notre
monde,
est
un
bordel.
Je
voudrais
aussi
parler
de
l'invitation
lancée,
en
cette
saison
inaugurale,
à
l'une
des
plus
importantes
de
nos
communautés
théâtrales,
la
plus
méconnue
peut-être
:
l'Angleterre.
Je
voudrais
enfin
évoquer
les
activités
de
notre
seconde
salle,
le
Petit
Odéon,
consacrées
en
grande
partie
à
la
création
de
textes
contemporains;
j'aimerais,
pour
ma
part,
lui
donner
aussi
le
nom
de
Forum,
pour
que
s'y
croisent
comme
à
l'impromptu
les
préoccupations
de
notre
vie
artistique
et
civique;
pour
que
la
scène
y
retrouve
ce
droit
de
réponse
dont
le
théâtre,
comme
la
tribune,
doit
toujours
user.
Pour
ces
raisons,
les
"histoires"
qui
verront
le
jour
dans
ce
petit
espace
seront
très
liées
à
l'envie
et
au
besoin
des
artistes
de
raconter
et
de
se
raconter
d'une
façon
intime.
Mais
surtout,
j'en
appellerai
à
la
solidarité
et
au
temps.
Puisse
la
solidarité
accompagner
nos
premiers
pas,
puisse
le
temps
consolider
notre
projet,
et
nos
concitoyens
diront
s'il
nous
faut
ou
non
persévérer.
Pour
nous,
c'est
l'heure
d'entreprendre.
Lluis
Pasqual
s
m
b
r
e
9
0
PIÈCE
SANS
TITRE
FED
I
C
O
G
A
R
LORCA
CREATION
Production
O
D
É
O
N
en
coproduction
avec
L
A
traduction
:
C
L
A
U
D
D
E
M
A
R
I
G
N
Y
et
LLUIS
PASQUAL
mise
en
scene
:
LLUIS
P
A
S
Q
U
A
L
décor
et
costumes
:
F
A
B
I
À
PUIGSERVER
musique
:
JOSE
A
R
R
I
P
Z
A
R
I
A
L
A
G
A
THEATRE
COMÉDIE
D
E
D
E
l'EUÎOF
GENÈVE
En
tournée:
à
la
Comédie
de
Genève
du
23
novembre
au
12
décembre
1990
avec:
Anne
Alvaro,
Maurice
Antoni,
Pierre
Baillot,
Jérôme
Chappatte,
Corinne
Coderey,
Daniel
W.
Fillion,
Georges
Mavros,
Redjep
Mitrovitsa,
Bernard
Nissille,
Grégoire
Oestermann,
Philippe
Pastor,
Bernard
Saint
Omer,
Philippe
Sazerat,
Emiliano
Suarez,
Mehmet
Ulusoy,
Richard
Vachoux,
Christine
Vezinet,
Bruno
Wacrenier
Pièce
sans
titre
:
est
paru
dans
le
tome
4
du
"Théâtre
de
Federico
Garcia
Lorca"
aux
Editions
Gallimard.
13
octobre
17octobre
90
S
Du
1
3
au
1
/
octobre,
chaque
représentation
de
Pièce
sans
titre
sera
suivie
dans
la
même
soirée
d'une
représentation
de
la
pièce
en
langue
espagnole
(durée
de
chaque
spectacle
:
une
heure)
dans
le
même
décor
et
dans
la
mise
en
scène
de
Llufs
Pasqual,
telle
qu'il
l'a
créée
à
Madrid
en
1989.
COMEDIA
SIN
TITULO
mise
en
scene
:
LLUIS
PASQUAL
décor
et
costumes
:
F
A
B
I
À
PUIGSERVER
musique
:
JOSEP
MARIA
ARRIZABALAGA
Avec
:
Alfonso
del
Real,
Pedro
del
Rio,
Chema
de
Miguel
Bilbao,
José
Antonio
Correa,
Cesàreo
Estébanez,
Juan
Polanco,
Marisa
Paredes,
Imanol
Arias,
Joaquin
Molina,
Carmen
Rossi,
Jesùs
Castejon,
Juan
José
Otegui,
Walter
Vidarte,
Flora
Maria
Alvaro,
Juan
Echanove,
Miguel
Zùniga,
César
Sànchez
"Il
y
a
aujourd'hui
seize
ans,
la
révolution
de
juillet
éclatait.
Ce
soir-là,
les
théâtres
reçurent
l'ordre
de
ne
point
fermer
quoiqu'on
se
battît
déjà
sur
les
boulevards.
A
la
Porte
Saint-Martin
on
donnait
je
ne
sais
quel
mélodrame...
On
entendait
du
dehors
la
rumeur,
les
cris,
et
les
coups
de
fusil...
Les
acteurs
jouaient
avec
accablement
et
sans
savoir
ce
qu'ils
disaient.
Tout
à
coup,
au
milieu
d'un
acte,
un
groupe
effaré
entre
dans
la
salle
avec
des
sabres
nus
et
le
drapeau
tricolore,
portant
un
jeune
homme
sanglant
qui
venait
d'être
tué
par
la
fusillade
à
la
porte
même
du
théâtre
et
criant:
«Misé-
rables
I
pendant
qu'on
égorge
vos
.frères,
vous
jouez
la
comédie!»
Cela
fit
tomber
la
toile.
"
Victor
Hugo,
"Choses
vues",
ro
3®SStS
WÊÊÈÊÊBm
1
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5
octobre
18
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HHBHHI
-
(
1
-^ÎSbS
BiiipMin^pi
pÉMH^pÉ
buSiAiiipHb
américain,
creee
après
l'assassinat
du
poète,
La
maison
de
Bernarda
Alba.
Mais
un
autre
chemin
court
en
parallèle
dans
sa
production,
celui
d'une
écriture
qui
révolutionne
les
formes
du
théâtre:
le
poète
s'y
offre
au
public
comme
matière
même
du
drame,
officiant
d'une
aventure
douloureuse
et
surprenante.
Deux
oeuvres
en
naissent,
complémentaires
et
opposées
comme
les
deux
faces
d'une
même
médaille:
Le
Public
et
Pièce
sans
titre.
Avec
Le
Public,
Lorca
entreprend
un
voyage
initiatique
intérieur,
une
descente
aux
enfers
qui
met
à
vif
ses
passions
:
l'amour
sous
toutes
ses
formes,
le
théâtre
comme
art
sublime
du
mensonge,
menacé
pourtant
de
sclérose
et
de
stérilité,
tenté
par
la
fabrication
de
vérités
artifi-
cielles.
Revenu
de
ce
voyage
intérieur,
remonté
à
la
surface,
le
Lorca
"civique"
écrit
Pièce
sans
titre,
réaction
violente
et
passionnée
contre
le
confort
d'un
théâtre
culturel.
Implacablement,
viscéralement,
il
force
le
théâtre
à
se
nourrir
de
la
vie,
à
se
remplir
d'"hommes
et
de
femmes
de
chair...
et
celui
qui
ne
voudra
pas
entendre
n'aura
qu'à
se
boucher
les
oreilles".
Après
Le
Public,
que
nous
avons
présenté
ici-même
en
1988,
voici
Pièce
sans
titre.
Une
même
exigence
nous
tient:
demeurer
à
la
hauteur
des
sentiments
et
de
l'intégrité
éthique
de
Lorca.
Que
sa
poésie
nous
y
aide.
Lluis
Pasqual
sept
sept.
IO
adaptation
DIDO
LYKOUDI
spectacle
concu
par
DIDO
LYKOUDIS
mise
en
scène
NICO
PAPATAKIS
psalmodie
en
grec
ancien
d'après
Prométhée
enchaîné
ESCHYLE
Approcher
Eschyle
à
travers
le
grec
ancien,
à
travers
la
métrique,
la
scansion,
le
rythme
du
vers
pour
mieux
révéler
la
force
et
la
beauté
de
la
langue,
la
richesse
de
la
musicalité
illustrative
du
tragique
grec.
Narrer
par
le
destin
de
io,
fille
du
dieu-fleuve
Inachos,
désirée
par
Zeus,
bannie
par
son
père
pour
ne
pas
attirer
la
colère
des
Dieux,
transformée
en
génisse
par
Zeus
pour
mieux
abuser
d'elle,
harcelée
sans
cesse
par
un
taon,
vengeance
d'Héra,
épouse
légitime
de
Zeus.
Chanter
le
périple
à
travers
les
terres,
les
mers
et
les
océans
de
cette
femme
victime
de
la
violence
persécutrice
des
Dieux.
Dido
Lykoudis
Production
ODE
ON
o
THEATRE
DE
L'EUROPE,
LE
PERIPLE
DE
DIDON
FESTIVAL
D'AVIGNON
musique
OLIVIER
DEJOURS
percussions
CLAIRE
TALIBART
lumières
DENIS
ARLOT
Dans
les
temps
les
plus
anciens,
un
sultan
possédant
puissance
et
richesse,
désirait
la
seule
chose
en
ce
monde
qui
lui
était
refusée
:
un
enfant.
Lors
d'un
pèlerinage
au
lieu
saint,
un
ange
lui
apparaît,
éblouissant
de
lumière,
lui
remet
une
pomme
et
lui
ordonne
d'en
donner
les
épluchures
à
sa
jument
et
le
coeur
à
la
sultane
;
il
lui
annonce
qu'un
garçon
naîtra...
Ce
conte
traditionnel
kabyle
appartient
à
un
recueil
de
contes
et
légendes
berbères
:
Le
grain
magique.
Les
textes,
filtrés
par
les
siècles
et
arrivés
de
bouche
en
bouche
jusqu'à
Fadhma
Aïth
Mansour
Amrouche,
ma
grand'mère,
dernier
maillon
d'une
chaîne
d'aèdes,
ont
été
légués
à
sa
fille
Taos
qui
les
a
"fixés"
en
cette
langue
française
"presque
aussi
chère
et
familière",
disait-elle,
que
sa
langue
maternelle
:
le
berbère.
Je
ferai,
moi,
sa
fille,
acte
de
piété
filiale
en
perpétuant,
dans
ce
monde
qui
est
le
mien,
cette
lignée,
cette
tradition
orale
que
certains
disent
millénaire.
Laurence
Bourdil
Le
grain
magique
est
paru
aux
Editions
La
Découverte.
ROUNDJA
LA
JEUNE
FILLE
PLUS
BELLE
QUE
LUNE
ET
QUE
ROSE
TAOS
AMROUCHE
projet
concu
et
interprété
par
LAURENCE
BOURDIL
réalisé
avec
la
participation
de
DERRY
BERKANY
costumes
MIRÙNA
BORÙZESCÙ
musique
SAÏD
AKHELFI
lumière
KIMON
D
I
M
I
T
R
1A
D
I
S
BERNARD
CHARRON
Production
ODÉON-THÉÂTRE
DE
L'EUROPE
COMPAGNIE
LE
GRAIN
MAGIQUE
TEXTES
DE
FEDERICO
en
langue
espagnole
J'ai
toujours
éprouvé
un
sentiment
de
rejet,
de
dégoût
même,
pour
la
poésie
"jouée"
sur
un
plateau.
Mais
on
sait
aussi
qu'au
théâtre,
on
ne
peut
faire
d'affirmations
trop
catégoriques.
Lorca
écrivait
des
poèmes
et
avait
besoin
de
les
dire
à
haute
voix,
à
un
auditoire,
ou
plutôt
de
les
"sentir"
en
présence
des
autres,
de
les
faire
passer
par
leur
présence,
la
présence
de
leur
émotion.
C'est
après
un
an
d'un
intense
travail
avec
Alfredo
Alcon,
un
"grand"
et
un
"maître"
du
jeu,
après
une
promenade
dans
les
sentiers
les
plus
secrets
de
Federico,
de
El
Publico,
que
nous
avons
décidé
d'entreprendre
ce
parcours
émotionnel
à
travers
son
oeuvre,
ses
poèmes,
ses
conférences,
ses
textes
de
théâtre,
imaginant
ses
états
d'âme,
ses
jubilations
et
sa
douleur.
Nous
sommes
arrivés,
je
crois,
à
dire
son
parfum.
Alfredo
est
le
seul
des
acteurs
que
je
connais
qui
puisse
le
faire.
Il
n'est
pas
Lorca,
il
est
peut-être
bien
plus
:
il
est
son
sentiment.
Lluîs
Pasqual
mis
en
scene
par
LLUÎS
PAS
interprétés
par
ALFREDO
Q
U
A
L
Production
C
D
N
E
«
G
e
n
e
r
c
d
LOS
CAMINOS
DE
FEDERICO
eu"r5pje
Ia.
8|
[iiïïi
»3']VT7i
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