Ce qui est impossible, donc les aisont tous nuls, de même les λisont tous négatif, en prenant
t→ −∞, alors on aura un équivalent à a1fλ1(t).
Exercice 3. Soit Eun Kespace vectoriel , p, q des projecteurs de Emontrer que :
p+qest un projecteur si et seulement si p◦q=q◦p= 0
Exercice 4. Soit E=C∞(R,R), soit F={f∈E, ∀i∈J1, nK,f(n)(0) = 0}, montrer que Fest
un sous espace vectoriel de E, et trouver un supplémentaire.
Exercice 5. Soit E=C(R,R)soient x1,...xndes réels deux-à-deux distincts, on note F=
{f∈E, ∀i∈J1, nK, f(xi) = 0}, montrer que Fest un sous espace vectoriel de E, en donner un
supplémentaire.
Exercice 6. Soit (pn)la suite des nombres premiers, montrer que (ln pn)n∈Nest une famille
libre de Rvu comme un Qespace vectoriel.
En déduire qu’il existe au plus un nombre premier ptel que ln p∈Q.
Exercice 7. Soient E, F, G trois Kespaces vectoriels, g∈ L(F, G)injective on pose :
Φ : L(E, F )→ L(E, G)
f7→ g◦f
Montrer que Φest bien définie, linéaire et injective.
Exercice 8. On pose Hk(X) = X(X−1)...(X−k+1)
k!, montrer que (Hk)k∈Nest une base de R[X],
montrer que Hk(n)∈Zdès que n∈Z.
Finalement montrer que pour P∈R[X]on a P(Z)⊂Zssi P=PλiHiavec λi∈Z.1
Exercice 9. Soient E, F, G trois Kespaces vectoriels.
•Soit f∈ L(E, F ),g∈ L(E, G)trouver une cns pour qu’il existe h∈ L(F, G)tel que
g=h◦f
•Soit g∈ L(E, G)et h∈ L(F, G)trouver une CNS sur g, h pour qu’il existe f∈ L(E, F )
tel que g=h◦f
1. Moralité : P(Z)⊂Zn’implique pas forcément que P∈Z[X], contrairement au fait que P(Q)⊂Q=⇒P∈
Q[X]
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