Mars 2010
Numéro 5
Indicateurs par rapport à
2009 : 1er trimestre 2010
Direction
Radiologie
Formation
interne
Activité
hospi
Ce début d’année 2010 voit l’arrivée de
nouveaux médecins et chirurgiens. Le Doc-
teur Thomas LEMONNIER a rejoint l’é-
quipe de chirurgie vasculaire depuis le 1er
janvier, il en est de même pour le Docteur
Alban ROMIER, radiologue. L’équipe de
gastro-entérologue se renforce avec le Doc-
teur Marie CAMBOU dès ce mois de mars.
Le salon du 2ème étage sera en travaux la
deuxième quinzaine de mars, un bureau et
un bureau/consultation seront créés pour
accueillir la psychologue, l’assistante so-
ciale, la référente en cancérologie, la sto-
mathérapeute ainsi que la responsable du
2ème étage.
Les machines à boissons seront changées
fin mars avec des tarifs revus à la baisse.
Vous pourrez vous procurer une carte
Privilège auprès de Sabrina Khodri afin
de bénéficier du tarif préférentiel.
Les autres travaux (aménagement du 1er,
des soins continus, de l’endoscopie) sont
toujours à l’étude, les propositions faites
jusqu’à ce jour n’ont pas satisfait les ad-
ministrateurs.
Alain FEVRE
Directeur de la Clinique
Le service de radiologie implanté à la Cli-
nique du Parc est composé de 2 groupes de
radiologues de la région stéphanoise.
Ce service est indépendant de la Clinique.
Les médecins qui travaillent sur le site
sont 10 environ sur les 28 du groupe qui
prennent la garde. Le personnel paramédi-
cal et administratif comporte 18 personnes.
Au niveau technique, le service possède 3
tables de radiologie télécommandées, 1
orthopantomographe, 3 échographes, 1
scanner multi-coupes en fonction depuis
janvier 2008.
Les images sont visualisées sur console
haute définition (sans film) et sont archi-
vées sur un serveur dédié.
Le réseau informatique dans le service
permet la gestion des dossiers patients et
leurs comptes-rendus (RIS), le transfert
d’images, le stockage et l’impression
(PACS).
Au niveau soins, nous pratiquons l’en-
semble des examens d’imagerie conven-
tionnelle et scanographique. Les actes
interventionnels sont quotidiens (biopsies,
drainages, infiltrations…). En 2009, le
service a comptabili 35000 passages
avec plus de 6000 pour le scanner et 1000
actes interventionnels.
Pierre JAEGER / Stéphane LAGER
Service radiologie
Les praticiens ont décidé de mettre en place
un planning de formation pour le personnel
avec une réunion tous les deux à trois mois.
La première formation aura lieu le 14 avril
2010 à 19h00 suivi d’un buffet.
Programme de la formation :
Les bases de la traumatologie (Dr
Azoulai).
Prise en charge avant intervention
d’un patient en chirurgie digestive
(Pr.Balique).
L’inscription est toujours possible au-
près de votre chef de service.
La volonté du journal d’informations répond à une nécessité de communication
entre les différents intervenants au sein de l’établissement
Activité
ambu
Nombre
d’entrées :
Pensées à Danièle...
Danièle Nore a travaillé à la Clinique Littré
puis à la Clinique du Parc. Les patients et
les médecins ont pu apprécié son profes-
sionnalisme et son dévouement. Elle a lutté
avec courage contre la maladie qui s’était
déclarée juste avant sa retraite. Toujours
souriante, à l’écoute des uns et des autres,
elle n’a pas pu profiter de sa retraite.
Elle a tenu à remercier tous ceux nombreux
qui l’ont aidé :
« Votre aide précieuse m’a permis d’ac-
cepter ma maladie et d’avoir de grands
moments de bonheur et de joies ».
Danièle nous a quitté le 04 janvier 2010,
l’ensemble du personnel ainsi que les
praticiens lui rendent hommage, la remer-
cie de son implication à la Clinique du
Parc et garderont le souvenir de sa force
et de sa joie de vivre.
Pr. Jean Gabriel BALIQUE
Marie-Laure RANC
Danièle Nore
Mars 2010
Numéro 5
Qu’est ce qu’une revue de mortalité et de
morbidité (RMM) ?
Beaucoup de complications sont le résultat
d’erreurs mineures qui se cumulent. La pre-
mière réaction serait d’attribuer ces accidents
et incidents à une faute d’un individu ou
d’une équipe mais la réalité est plus difficile
à appréhender. L’organisation complexe des
soins est souvent en cause.
En effet la médecine aujourd’hui requiert
l’intervention de nombreux protagonistes, de
nombreux produits et équipements de santé
et il faut accepter que la pratique médicale et
soignante puisse souffrir des mêmes imper-
fections que d’autres organisations com-
plexes et en particulier ce qui est appe le
facteur humain.
Une RMM consiste à analyser collective-
ment et identifier les causes immédiates et
les causes organisationnelles latentes (causes
« profondes ») d’une prise en charge qui a
été marquée par un évènement indésirable tel
que le décès du patient ou la survenue d’une
complication morbide. Il s’agit donc d’une
analyse rétrospective étudiant les phénomè-
nes a posteriori.
Cette méthode de prévention des risques a
posteriori nous vient des pays anglo-saxons
(USA, 1981) mais aussi des méthodes an-
crées dans la tradition médicale française
représentée par la pratique de certains servi-
ces de chirurgie ou d’obstétrique (Papiernik).
Le rôle des RMM n’est pas de rechercher la
culpabilité des individus,
de critiquer, mais plutôt de questionner nos
pratiques. Cela est essentiel pour comprendre
et construire la prévention.
L’exercice consiste tout d’abord à se poser la
question de l’évitabilité de l’évènement et à
identifier les défaillances qui ont conduit à ce
mauvais résultat.
Des méthodes standardisées sont utilisées
pour mettre à jour, non pas les responsabilités
personnelles, mais les causes « profondes » :
causes systémiques ou causes racines, plus
difficile à détecter.
L’objectif est alors d’agir sur les causes de ces
défaillances puis de corriger les facteurs qui
ont contribué à la survenue de l’évènement
indésirable afin de diminuer le risque de réci-
dive.
Des indicateurs sont mis en place pour s’assu-
rer que la méthode correctrice est efficace.
La mise en place de cette démarche d’analyse
des complications a posteriori qu’est la RMM
constitue un vrai changement culturel.
La littérature montre de façon très conver-
gente que « les opérateurs les plus brillants ne
sont pas ceux qui commettent le moins d’er-
reurs mais ceux qui détectent et récupèrent
aux mieux les erreurs commises ».
Les RMM ont montré leur efficacité pour
améliorer la sécurité du patient.
La Clinique du Parc a créé sa RMM en sep-
tembre 2006 avec des réunions tous les quinze
jours.
Dr JOUFFRE
Président de la RMM
Clinique du PARC - 9 bis rue de la Piot
42276 Saint Priest en Jarez cedex
Téléphone : 04.77.92.22.22
Fax : 04.77.92.21.11
Comité de rédaction : Gérald VERRIER
Marion DE PASQUALE
Directeur de publication : Dr Jean-Jacques AZOULAI
Communication
interne
RMM
Afin de recueillir les impressions sur la soi-
rée « COMMUNIQUONS / ECHAN-
GEONS » organisée en Octobre dernier, un
questionnaire a été remis à l’ensemble du
personnel.
Il en ressort qu’une majorité des salariés
(ayant participé ou non à l’évènement) sou-
haite que ce type de soirée soit reconduit.
L’organisation et les sujets présentés pendant
cette soirée ont satisfait les attentes des per-
sonnes présentes. Vous pouvez retrouver les
résultats de ce questionnaire sur e-sherpa
dans l’onglet Qualité. Une nouvelle soirée
sera organisée a priori le 13 octobre.
Un audit sur le classeur de vie et les moyens
de communication de la Clinique a été réali-
sé en février dans chaque service par les
membres du groupe « Communication In-
terne » (96 personnes sondées).
Par ordre préférentiel, le moyen de communi-
cation préféré est le bulletin de paye, suivi du
journal interne, du classeur de vie, pour finir
par la soirée.
Une réflexion est en cours au sein du groupe
afin que le classeur réponde au mieux aux
attentes des salariés.
De plus cet audit a montré que certaines per-
sonnes souhaiteraient communiquer à travers
le journal interne, nous les invitons à prendre
contact avec Gérald Verrier (3522) ou Ma-
rion De Pasquale (2402) pour tout article
personnel ou professionnel.
Groupe Communication Interne
Recette bugnes moelleuses...Environ 60 bugnes (recette familiale)
Verser 600g de farine, 150g de sucre et une pincée de sel dans un saladier.
Faire un puit et ajouter 6 œufs, 200g de beurre fondu, 40g de levure de boulanger diluées
dans 5 cuillères à soupe d’eau chaude et une cuillère à soupe de Rhum.
Travailler la pâte avec une cuillère en bois puis la mettre au frigo (partie la plus froide)
jusqu’au lendemain.
Étaler la pâte en rajoutant un peu de farine et faire des losanges de 7cm de long environ à
l’aide d’une roulette dentelée ou d’un couteau puis inciser les bugnes au milieu pour faire
une entaille (Passer une des extrémités dans l’entaille pour faire un « nœud »).
Faire cuire les bugnes dans de la gétaline ou de l’huile d’arachide à feu minimum, sur-
veiller la cuisson (quelques secondes d’un côté puis de l’autre ).
Egouter les bugnes sur du papier absorbant et saupoudrer de sucre glace.
Marion De Pasquale
Service Qualité
Recette
1 / 2 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !