maladies chroniques : principales tendances faits saillants

ESPACE INFORMATIONNEL
EISS
Direction régionale de santé publique
en surveillance de la santé de la population de la Capitale-Nationale
Marc Ferland, septembre 2014
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MALADIES CHRONIQUES : PRINCIPALES TENDANCES
FAITS SAILLANTS
Les principaux problèmes de santé chronique auto-déclarés dans la région en 2011-2012 sont les maux de dos,
l’hypertension, l’arthrite, les migraines et l’asthme. L’excès de poids affecte aussi une part importante de la population
de la Capitale-Nationale : 16 % des adultes souffrent d’obésité. La prévalence du diabète a légèrement augmenté au
cours des dernières années, alors que la mortalité associée à cette maladie a diminué. Par ailleurs, depuis le début des
années 2000, la mortalité par maladies de l’appareil circulatoire a connu un recul important, alors que celle par tumeurs
malignes et celle par maladies de l’appareil respiratoire ont peu changé. L’incidence du cancer est quant à elle restée
relativement stable depuis le début des années 1990.
36. MALADIES CHRONIQUES AUTO-DÉCLARÉES
Chez les 12 ans et plus, en 2011-2012, l’hypertension ainsi
que les maux de dos sont les principaux problèmes auto-
déclarés, avec des proportions respectives de personnes
atteintes de 18 % et de 16 %. Parmi les autres problèmes,
ceux qui affectent un peu moins de 10 % de la population de
ce groupe d’âge sont les migraines et l’asthme, Larthrite
touche 12 % des 15 ans et plus. Pour la plupart des
problèmes de santé, les femmes présentent des prévalences
plus élevées que les hommes. Chez les personnes de 65 ans
et plus, près de la moitié souffre d’hypertension et le tiers
d’arthrite.
En 2011-2012, parmi les grandes régions canadiennes, la
Capitale-Nationale enregistre la plus forte proportion de
personnes de 12 ans et plus ayant déclaré avoir reçu un
diagnostic d’hypertension mais l’une des plus faibles pour
l’arthrite.
À l’échelle sous-régionale, les pourcentages de certains
problèmes en 2007-2008 surpassent parfois ceux de
l’ensemble du Québec dans certains territoires. C’est le cas
pour l’arthrite dans Orléans et pour les migraines dans De la
Jacques-Cartier.
Les enquêtes sont souvent la seule source d’information
permettant d’estimer la prévalence de problèmes de santé
chroniques dans la population. On y demande d’indiquer les
problèmes de longue durée qui ont été diagnostiqués par un
professionnel de la santé. Par longue durée, on entend un
état qui dure ou qui devrait durer six mois ou plus.
37. DIABÈTE
En 2010-2011, la prévalence du diabète dans la région
ajustée pour l’âge chez les 1 an et plus estimée à partir de
données administratives est inférieure à celle du Québec
(5,4 % contre 6,0 %). Ce sont 45 698 personnes qui en sont
atteintes dans la Capitale-Nationale. Cette maladie est très
liée à l’âge : en début de vie, elle est presque inexistante alors
qu’elle touche une personne sur quatre à partir de 75 ans.
En 2011-2012, 6 % des 12 ans et plus de la région déclarent
avoir été diagnostiqués comme diabétiques, soit environ
36 400 personnes. Cette prévalence mesurée par voie
d’enquête atteint 13 % chez les 65 ans et plus.
Si, ces dernières années, la prévalence du diabète mesurée à
partir de données administratives a augmenté, la mortalité liée
à cette maladie a diminué légèrement, et ce, tant chez les
hommes que chez les femmes. En 2006-2010, à l’échelle
sous-régionale, le taux enregistré sur le territoire de Basse-
VilleLimoilouVanier surpasse la valeur québécoise.
Le diabète de type 2, qui compte pour 90 % des cas, se traite
notamment par l’adoption d’une alimentation saine et la
pratique régulière d’activités physiques.
38. HYPERTENSION
En 2008, la grande majorité des 18 ans et plus, soit huit sur
dix, ont fait prendre leur tension artérielle au cours de leur
dernière visite chez le médecin. La proportion de personnes
ayant fait cette vérification passe de 61 % chez les 18-24 ans
à 92 % chez les 65 ans et plus.
En 2011-2012, 20 % des adultes déclarent par voie d’enquête
avoir été diagnostiqué pour un problème d’hypertension, soit
111 200 personnes, une condition qui est observée chez près
de deux aînés sur cinq.
La prévalence de l’hypertension artérielle ajustée pour l’âge
chez les 20 ans et plus en 2010-2011 estimée à partir de
données administratives est aussi de 20 %. Ce pourcentage
augmente nettement en vieillissant, passant de 9 % chez les
35-44 ans à 77 % chez les 75 ans et plus. À l’instar du
Québec, on note une hausse régulière du problème dans la
région et dans les CSSS. On observe également que les
valeurs de la région et des CSSS surpassent celles du
Québec. Selon les données administratives, en 2010-2011, le
nombre de personnes hypertendues dans la Capitale-
Nationale est de 139 765.
39. POIDS CORPOREL
En 2011-2012, tout près de la moitié des 18 ans et plus
présentent un surplus de poids, comparativement à 41 % en
2000-2001. Parmi ces personnes, le tiers souffre d’obésité, ce
qui représente 16 % de la population adulte. Pour le surplus
de poids, la région affiche un moins bon résultat que plusieurs
grandes régions canadiennes.
Notons que les hommes sont proportionnellement plus
nombreux à avoir un surplus de poids que les femmes. On
observe aussi une augmentation de la prévalence du surplus
de poids avec l’âge chez les personnes de 18 à 64 ans. Par
ailleurs, le poids insuffisant demeure un problème
relativement marginal dans la région, avec une proportion de
3 % en 2011-2012.
Parmi les territoires de CSSS et de CLSC en 2007-2008, seul
celui de Charlevoix se démarque du Québec avec une valeur
supérieure de personnes faisant de l’embonpoint.
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Chez les élèves du secondaire en 2010-2011, près de un sur
cinq présente un surplus de poids, soit environ 6 200 jeunes
dont 2 400 souffrent d’obésité.
À noter que les estimations à propos du surplus de poids, qui
sont basées sur l’information sur le poids et la taille obtenue
par entrevue, comme c’est le cas ici, sous-estiment l’ampleur
de ce problème dans la population, comparativement à des
résultats qui seraient obtenus par des mesures directes. En
effet, dans les enquêtes, les personnes ont tendance à
surestimer leur taille et à sous-estimer leur poids.
Population de 18 ans et plus présentant un surplus de poids,
grandes régions canadiennes, Québec et Canada, 2011-2012
40. MORBIDITÉ HOSPITALIÈRE
Depuis la période 1998-2002, le taux d’hospitalisation en
soins physiques de courte durée est en baisse. En
2009-2013, même si les hommes présentent des taux plus
élevés que les femmes pour plusieurs causes, les femmes
affichent une morbidité hospitalière toutes causes
confondues supérieure à celle des hommes, en raison de
leur taux particulièrement élevé pour l’ensemble des autres
diagnostics. Les circonstances entourant la grossesse et
l’accouchement comptent pour plus de la moitié des
hospitalisations de cette catégorie. Ce sont les jeunes enfants
et les personnes âgées qui sont le plus à risque d’être
hospitalisés pour des soins de courte durée.
Trois territoires se différencient de l’ensemble du Québec
avec des taux plus élevés : Charlevoix, De la Jacques-Cartier
et Basse-VilleLimoilouVanier.
41. INCIDENCE DU CANCER
Dans la région de la Capitale-Nationale, pour la période
2006-2010, on a diagnostiqué un peu plus de 4 000 nouveaux
cancers en moyenne par année selon la CIM-O-3. Entre
2001-2005 et 2006-2010, le taux d’incidence du cancer a
diminué chez les hommes, alors qu’il a augmenté chez les
femmes. Néanmoins, il est demeuré plus élevé chez les
hommes. Les sièges de cancer les plus souvent
diagnostiqués chez les femmes sont ceux du sein (27 %), de
la trachée, bronches et poumon (14 %) ainsi que colorectal
(11 %). Chez les hommes, les cancers les plus fréquents sont
ceux de la prostate (21 %), de la trachée, bronches et
poumon (19 %) de même que colorectal (14 %). On observe
par ailleurs une augmentation constante de l’incidence du
cancer de la trachée, bronches et poumon chez les femmes,
comparativement à une décroissance chez les hommes.
En 2006-2010, la région se démarque défavorablement de
l’ensemble du Québec en terme d’incidence tant au total que
pour le cancer du sein. À l’échelle sous-régionale, l’incidence
totale du cancer ainsi que pour le cancer de la trachée,
bronches et poumon surpasse les valeurs québécoises dans
le territoire de Basse-VilleLimoilouVanier. On constate
également des écarts défavorables pour le cancer du sein
dans les CSSS de la Vieille-Capitale et de Québec-Nord ainsi
que dans les CLSC de Sainte-FoySilleryLaurentien et
d’Orléans.
Le terme « cancer » fait référence à l’ensemble des tumeurs
malignes, à l’exclusion de celles de la peau autres que le
mélanome, inscrites au fichier des tumeurs du Québec. À
noter que le lanome y serait sous-estimé, tout comme le
cancer de la prostate et celui de la vessie.
42. MORTALITÉ PAR TUMEURS MALIGNES
En 2005-2007, la Capitale-Nationale fait partie des grandes
régions canadiennes ayant les taux de mortalité par tumeurs
malignes les plus élevés. C’est aussi le cas pour le cancer du
poumon, de la trachée et des bronches.
En 2006-2010, le cancer du poumon, de la trachée et des
bronches est celui qui cause le plus de décès, tant chez les
hommes que chez les femmes. Il est suivi, chez les hommes,
par les cancers du côlon, du rectum et de l’anus ainsi que de
la prostate et, chez les femmes, par le cancer du sein et par
celui du côlon, du rectum et de l’anus. Entre 1990-1994 et
2006-2010, la mortalité par cancer du poumon a diminué chez
les hommes, mais a augmenté chez les femmes. Durant cette
même période, les taux de mortalité de presque tous les
autres sièges de cancer ont connu une réduction.
Sur le plan sous-régional, un seul territoire, soit Basse-Ville
LimoilouVanier, présente un taux de mortalité par tumeurs
malignes plus élevé, une situation due en grande partie à une
surmortalité par cancer du poumon, de la trachée et des
bronches.
Mortalité par tumeurs malignes selon le sexe,
région de la Capitale-Nationale
26,1
32,1
31,4
31,8
31,4
33,2
29,9
32,1
32,8
33,4
33,8
33,5
34,0
35,8
37,0
39,2
7,4
12,7
14,1
14,7
15,8
14,6
17,9
16,2
16,0
17,1
16,9
18,4
18,3
16,6
17,2
20,9
33,5
44,8
45,5
46,5
47,2
47,7
47,8
48,3
48,7
50,5
50,7
51,9
52,3
52,4
54,2
60,1
065
Vancouver (C.B.)
Toronto (ONT)
York (ONT)
Montréal
Calgary (ALB)
Fraser North (C.B.)
Ottawa (ONT)
CAPITALE-NATIONALE
Fraser South (C.B.)
ENSEMBLE DU QUÉBEC
Peel (ONT)
Montérégie
CANADA
Edmonton (ALB)
Winnipeg (MAN)
Durham (ONT)
%
Embonpoint
375 346
313
280
214 207 206 199
0
400
1990-
1994 1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010 1990-
1994 1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010
Hommes
Femmes
Taux annuel moyen ajusté
pour 100 000
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43. MORTALITÉ PAR MALADIES DE L’APPAREIL
CIRCULATOIRE
Pour les maladies de l’appareil circulatoire, la Capitale-
Nationale enregistre l’un des taux les plus faibles parmi les
grandes régions canadiennes en 2005-2007.
Entre 1995-1999 et 2006-2010, la mortalité par maladies de
l’appareil circulatoire a connu une forte baisse. Tant chez les
hommes que chez les femmes, les cardiopathies ischémiques
sont de loin la cause de mortalité la plus importante, suivies
des maladies vasculaires cérébrales. Les taux de mortalité
sont beaucoup plus élevés chez les hommes que chez les
femmes pour les cardiopathies ischémiques et les maladies
des artères, alors que pour les maladies vasculaires
cérébrales, les taux sont similaires.
Mortalité par maladies de l’appareil circulatoire selon le sexe,
région de la Capitale-Nationale
Pour la riode 2006-2010, les territoires de Basse-Ville
LimoilouVanier et d’Orléans affichent des taux de mortalité
par maladies de l’appareil circulatoire supérieurs à celui
observé pour l’ensemble du Québec.
44. MORTALITÉ PAR MALADIES DE L’APPAREIL
RESPIRATOIRE
En 2006-2010, les principales causes de mortalité par
maladies de l’appareil respiratoire sont les maladies
chroniques des voies respiratoires inférieures ainsi que la
grippe et la pneumopathie. Ce type de mortalité est plus
fréquent chez les hommes que chez les femmes, plus
particulièrement pour les maladies chroniques des voies
respiratoires inférieures.
Mortalité par maladies de l’appareil respiratoire selon le sexe,
région de la Capitale-Nationale
En 2005-2008, les territoires présentant une mortalité par
maladies de l’appareil respiratoire plus élevée que celle
observée pour l’ensemble du Québec sont Charlevoix, Basse-
VilleLimoilouVanier et Orléans.
MALADIES CHRONIQUES
CSSS ET CLSC QUI SE DÉMARQUENT DÉFAVORABLEMENT DE L’ENSEMBLE DU QUÉBEC
Indicateurs choisis
Territoires
(36)
Population de 12 ans ayant reçu un diagnostic d’arthrite, sauf la fibromyalgie, 2007-2008
Orléans
Population de 12 ans ayant reçu un diagnostic de migraine, 2007-2008
De la Jacques-Cartier
(37)
Taux ajusté de mortalité par diabète, 2006-2010
Basse-VilleLimoilouVanier
(38)
Prévalence ajustée de l’hypertension artérielle chez les 20 ans et plus, 2010-2011 (CSSS seulement)
CHARLEVOIX
PORTNEUF
QUÉBEC-NORD
(39)
Population de 18 ans et plus faisant de l’embonpoint, 2007-2008
CHARLEVOIX
(41)
Taux ajusté d’incidence du cancer, 2006-2010
Basse-VilleLimoilouVanier
Taux ajusté d’incidence du cancer de la trachée, bronches et poumon, 2006-2010
Basse-VilleLimoilouVanier
Taux ajusté d’incidence du cancer du sein chez la femme, 2006-2010
Sainte-FoySilleryLaurentien
Orléans
VIEILLE-CAPITALE
QUÉBEC-NORD
(42)
Taux ajusté de mortalité par tumeurs malignes, 2006-2010
Basse-VilleLimoilouVanier
(43)
Taux ajusté de mortalité par maladies de l’appareil circulatoire, 2006-2010
Basse-VilleLimoilouVanier
Orléans
(44)
Taux ajusté de mortalité par maladies de l’appareil respiratoire, 2006-2010
CHARLEVOIX
Basse-VilleLimoilouVanier
Orléans
382
268
206 241
183 152
0
400
1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010 1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010
Hommes
Femmes
Taux annuel moyen ajusté pour 100 000
123
91 81
63 52 52
0
150
1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010 1995-
1999 2000-
2004 2006-
2010
Hommes
Femmes
Taux annuel moyen ajusté pour 100 000
ESPACE INFORMATIONNEL
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CHIFFRES CLÉS POUR LA RÉGION DE LA CAPITALE-NATIONALE
MALADIES CHRONIQUES
36. MALADIES CHRONIQUES AUTO-DÉCLARÉES
Principales maladies chroniques auto-déclarées, 2011-2012
- Hypertension : 18,3 % des 12 ans et plus (N : 11 500)
- Maux de dos : 16,2 % des 12 ans et plus (N : 98 900)
- Arthrite : 11,9 % des 15 ans et plus (N : 69 800)
- Migraines : 8,9 % des 12 ans et plus (N : 54 200)
- Asthme : 8,4 % des 12 ans et plus (N : 51 200)
37. DIABÈTE
Population ayant déclaré avoir reçu un diagnostic de diabète,
2011-2012
Proportion brute
6,0 % des 12 ans et plus (N : 36 400)
Prévalence du diabète diagnostiqué, avril 2010-mars 2011
Proportion ajustée
5,4 % des 1 an et plus (N : 45 698)
Mortalité par diabète, 2006-2010
Taux annuel moyen ajusté
16,3 p. 100 000 (N moyen : 127)
38. HYPERTENSION
Population ayant déclaré avoir reçu un diagnostic
d’hypertension, 2011-2012
Proportion brute
19,7 % des 18 ans et plus (N : 111 200)
Prévalence de l’hypertension diagnostiquée,
avril 2010-mars 2011
Proportion ajustée
21,2 % des 20 ans et plus (N : 139 765)
Population ayant fait prendre sa tension artérielle lors de la
dernière visite chez un médecin généraliste, 2008
- À vie : 80,6 % des 18 ans et plus (N : 435 500)
- Au cours de l’année : 64,6 % des 18 ans et plus
39. POIDS CORPOREL
Adultes présentant un surplus de poids, 2011-2012
- Total : 48,3 % des 18 ans et plus (N : 273 500)
- Embonpoint : 32,1 % des 18 ans et plus (N : 181 600)
- Obésité : 16,2 % des 18 ans et plus (N : 91 900)
Élèves du secondaire présentant un surplus de poids, année
scolaire 2010-2011
- Total : 18,5 % des élèves du secondaire (N : 6 200)
- Embonpoint : 11,4 % des élèves du secondaire (N : 3 800)
- Obésité : 7,0 % des élèves du secondaire (N: 2 400)
Adultes ayant une insuffisance de poids, 2011-2012
2,7 % des 18 ans et plus (N : 15 200)
40. MORBIDITÉ HOSPITALIÈRE
Principaux diagnostics d’hospitalisation,
avril 2009-mars 2013
Taux annuel moyen ajusté
- Appareil circulatoire : 99 p. 10 000 (N moyen : 8 097)
- Appareil respiratoire : 71 p. 10 000 (N moyen : 5 441)
- Appareil digestif : 71 p. 10 000 (N moyen : 5 258)
- Tumeurs malignes : 63 p. 10 000 (N moyen : 4 356)
- Lésions traumatiques et empoisonnements : 54 p. 10 000
(N moyen : 4 092)
41. INCIDENCE DU CANCER
Incidence des principaux sièges de cancer, 2006-2010
Taux annuel moyen ajusté
- Trachée, bronches et poumon : 89 p. 100 000 (N moyen : 681)
- Sein chez la femme : 141 p. 100 000 femmes (N moyen : 563)
- Colorectal : 67 p. 100 000 (N moyen : 510)
- Prostate : 126 p. 100 000 hommes (N moyen : 424)
42. MORTALITÉ PAR TUMEURS MALIGNES
Mortalité par tumeurs malignes, 2006-2010
Taux annuel moyen ajusté
- Total : 231 p. 100 000 (N moyen : 1 778)
- Poumon, trachée et bronches : 68 p. 100 000 (N moyen : 523)
- Côlon, rectum et anus : 27 p. 100 000 (N moyen : 210)
- Sein chez la femme : 31 p. 100 000 femmes (N moyen : 132)
- Pancréas : 14 p. 100 000 (N moyen : 105)
- Prostate : 20 p. 100 000 hommes (N moyen : 62)
43. MORTALITÉ PAR MALADIES DE L’APPAREIL
CIRCULATOIRE
Mortalité par maladies de l’appareil circulatoire, 2006-2010
Taux annuel moyen ajusté
- Total : 206 p. 100 000 (N moyen : 1 375)
- Cardiopathies ischémiques : 86 p. 100 000 (N moyen : 673)
- Maladies vasculaires cérébrales : 32 p. 100 000 (N moyen : 250)
44. MORTALITÉ PAR MALADIES DE L’APPAREIL
RESPIRATOIRE
Mortalité par maladies de l’appareil respiratoire, 2006-2010
Taux annuel moyen ajusté
- Total : 63 p. 100 000 (N moyen : 495)
- Maladies chroniques des voies respiratoires inférieures :
33 p. 100 000 (N moyen : 134)
- Grippe et pneumopathie : 15 p. 100 000 (N moyen : 117)
1 / 4 100%

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