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REMERCIEMENTS
Ce travail a été réalisé alors que je bénéficiais d'une
allocation de recherche au CEDEJ (Le Caire), allocation qui m'a
été octroyée pour une période de deux ans par le Ministère français
des Affaires Etrangères.
Les avancées les plus décisives ont pu être réalisées après
que je sois entré en contact avec l'Agence Financière pour le
Proche et le Moyen Orient, en la personne de Stéphane Latouche.
Je peux affirmer sans grand risque d'erreur que c'est de la
collaboration avec l'Agence qu'est né ce travail, et que sans cette
collaboration, il n'aurait pu exister sous sa forme actuelle. Tout en
gardant l'entière responsabilité de ce texte, je dois beaucoup à la
disponibilité et la grande expérience du personnel de l'Agence
Financière. Que tous ici, et particulièrement Stéphane Latouche
(qui a bien voulu lire une première épreuve de ce texte), acceptent
mes remerciements les plus chaleureux.
Je remercie au même titre toutes les personnalités
égyptiennes (universitaires, chercheurs, banquiers, officiels, etc.)
qui ont bien voulu me recevoir, et celles pour qui ma présence n'a
été d'aucun embarras dans des entretiens plus formels et "officiels".
Plus particulièrement, c'est avec plaisir que je cite Samia Sa'ïd
Imam, avec qui la rencontre a été
particulièrement
éclairante. C'est
de là que vient le titre, "capitalisme d'Etat" — elle parlait de
beaurocrat capitalism.
Je remercie également les experts étrangers
en poste au Caire, avec qui j'ai eu des échanges fructueux.
A un niveau plus général, je tiens à rendre hommage aux
chercheurs et universitaires dont les travaux m'ont permis assez
rapidement de faire de grandes avancées dans la compréhension de
la situation de l'Egypte, moi qui ne suis qu'économiste : John