Intitulé de la thèse : Neurotrophines, survie cellulaire et microenvironnement tumoral : cas du
lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL)
Direction : Pr Danielle Troutaud,
EA 3842 Faculté de Médecine, 2 rue du Dr Marcland 87060Limoges Cédex
N
ature du financement : Contrat doctoral, Région Limousin
Ecole doctorale thématique de rattachement : BioSanté PRES Limousin Poitou Charentes
Domaine de compétence :
Agronomie
Biologie, Médecine, Santé
Chimie
Environnement
Informatique, électronique
Mathématiques
Physique
Sciences de la société
Sciences humaines
Sciences pour l’ingénieur
Terres, univers, espace
Domaine de compétence secondaire
(éventuellement) :
Agronomie
Biologie, Médecine, Santé
Chimie
Environnement
Informatique, électronique
Mathématiques
Physique
Sciences de la société
Sciences humaines
Sciences pour l’ingénieur
Terres, univers, espace
Lieu de travail : Faculté de Médecine de Limoges
Laboratoire d'accueil: EA3842 « Homéostasie cellulaire & pathologies »
Description du sujet de thèse (limitée à 1500 caractères espaces compris) :
Les neurotrophines sont des facteurs de croissance initialement décrits pour leur rôle dans la survie et la
réparation neuronale. Les travaux récents, dont ceux de l’équipe, ont montré qu’elles étaient aussi produites
par des cellules du système immunitaire, et plus précisément des lymphocytes B. Le lymphome diffus à
grandes cellules B (DLBCL) est la forme la plus fréquente des lymphomes agressifs. Il est cliniquement et
biologiquement hétérogène avec des signatures géniques différentes sur le plan pronostique, reflétant soit des
caractéristiques des cellules B tumorales, soit la nature du microenvironnement tumoral. La dérégulation du
processus apoptotique est une des multiples causes invoquées dans ses mécanismes au niveau moléculaire.
L’objectif du travail est de préciser le rôle de ces productions dans la pathogénicité et l’hétérogénéité clinique
du DLBCL en recherchant plus particulièrement (1) leur fonction dans la régulation de la balance
survie/apoptose des cellules tumorales et les mécanismes de résistance thérapeutique (2) leur éventuelle
implication dans le dialogue avec le microenvironnement tumoral. Pour tenter de répondre à ces questions, 2
approches seront réalisées : in vitro (lignées cellulaires humaines de DLBCL) et ex vivo (biopsies de patients,
tumorothèque CHU Limoges).
Conditions restrictives sur les candidatures :
maîtrise des techniques de biologie moléculaire et d’étude de
l’expression des protéines (WB, IF, cytométrie en flux…).
Expérience souhaitée/profil :
étudiants ayant validé un master de Physiologie cellulaire et moléculaire –
Une spécialisation en Immunologie serait souhaitable.
Modalités de dépôt de candidature
: lettre de motivation et CV à envoyer par mail avec documents en pdf