Kirikou et les Bêtes sauvages, de Michel Ocelot, France, 2005, 1h15. Présentation ♦ Résumé : Le grand-père, trônant dans sa grotte bleue, explique : « L’histoire de Kirikou et la sorcière était trop courte. On n’a pas eu le temps de rapporter tout ce que l’enfant avait accompli. Et il a vraiment accompli de belles et bonnes actions, qu’il ne faudrait pas oublier. Alors, je vous les raconte. » Il nous dit comment Kirikou est devenu jardinier, potier, marchand, voyageur et médecin, toujours le plus petit et le plus vaillant de tous. ♦ Histoire détaillée : chapitre 1 : le grand-père dit : « l’histoire se passe quand Kirikou a ramené l’eau au village, on l’a cru noyé ». Tout le village est autour de Kirikou chant triste : « Kirikou est moqueur, mais il a bon cœur Kirikou est petit, mais c’est notre ami Kirikou n’est pas grand, mais c’est notre enfant, Kirikou. » Kirikou regarde, tousse, il voit l’eau couler et dit : « j’ai gagné » chant joyeux : « Kirikou est petit, mais il peut beaucoup Kirikou nous libère, malgré la sorcière » Le bruit attire la sorcière qui interroge ses fétiches, elle est furieuse Le village jardine, creuse un réseau de canaux, l’eau arrive. Kirikou plante Le lendemain, tout a germé : fleurs, ananas, aubergine, piment Le deuxième jour, une femme se réveille, crie. Tout le village sort, pleure. « Le potager est détruit, qu ‘allons-nous devenir ? » Ils replantent ce qui peut être sauvé. Ils construisent une palissade et décident de monter la garde pendant la nuit. Une hyène noire arrive. Pour sauver son oncle, Kirikou lui lance une motte de terre dans les yeux, elle le poursuit, il court. Il sort du village et entre dans un trou placé au bas d’un tronc creux. Il monte sur une branche et aperçoit une ruche, la fait tomber et toutes les abeilles poursuivent à leur tour la hyène qui s’enfuit. Kirikou revient au village. Tout le monde s’interroge sur la venue de la hyène, animal carnivore, dans un potager. Kirikou retourne prendre le miel et réparer la ruche. Il se fait piquer le bout du doigt. Kirikou cherche dans le potager et trouve un rat palmiste blessé : c’est ce que cherchait la hyène. Tous chantent : « Kirikou est petit, mais il réfléchit. Kirikou se démène, tant pis pour la hyène. Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant, mais il est vaillant. » chapitre 2 : « Kirikou va encore avoir à faire à un animal » dit le grand-père. Le potager est détruit, il n’y a plus rien à manger. Kirikou modèle de l’argile avec de l’eau Le vieux râle toujours. Les habitants du village se transforment en potiers. Le soir, la mère de Kirikou surveille la cuisson des pièces fabriquées et Kirikou l’interroge sur la sorcière. Le matin, tout est cuit et les objets sont enveloppés dans des feuilles (vue du village). Une longue marche commence. Ils sont fatigués, lorsqu’ils aperçoivent un buffle aux yeux rouges. Ils placent tous leurs paquets dans les paniers du buffle, sauf 1 Kirikou qui se méfie. Pour traverser la rivière, il se fait porter sur la tête de son oncle. Arrivé à la ville, le buffle se met à courir, traverse le marché et jette les poteries par terre : tout est cassé. Kirikou arrive alors et, en peu de temps, il vend ses petits pots et prend de nouvelles commandes. Pendant ce temps, la sorcière interroge son fétiche sur le toit qui lui apprend que Kirikou a fait fortune. Au retour vers le village, ils rapportent beaucoup de nourriture. chant : « Kirikou est petit, mais il nous nourrit. Kirikou le potier, a encore gagné. Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant. » chapitre 3 : Le grand-père dit : « Il y a bien des animaux en Afrique. Il y en a un qui est le plus haut de la terre, où il ne veut de mal à personne et personne ne lui en veut. Grâce à lui, Kirikou a fait la plus belle promenade de sa vie. » Kirikou découvre des traces d’oiseau à 3 pattes et les suit, ce qui l’amène loin de son village. Il est cerné par des fétiches . Il monte dans un arbre, entouré par les fétiches. La sorcière Karaba se réjouit car elle pense qu’il finira par mourir de faim, de soif, de sommeil. Kirikou monte sur la tête d’une girafe, venue brouter des feuilles de l’arbre. Elle part, suivie par les fétiches. Commence alors une longue promenade à travers des paysages variés : savane (zèbres, antilopes, rhinocéros, lion…) forêt extraordinaire (avec fleurs, oiseaux, fruits, lézard…) puis désert aride (autruches, cactées) dans lequel Kirikou a soif. Une tornade surgit et Kirikou s’accroche aux cornes de la girafe, alors que le vent emporte les fétiches. La pluie cesse et un arc-en-ciel apparaît. Les fétiches sont revenus. Le voyage continue : chutes d’eau (évoquant celles du Niagara), montagne enneigée. La girafe se penche pour boire et Kirikou saute dans l’eau et gagne la berge. Les fétiches sautent et sont emportés par le courant. Kirikou revient au village et ramène des fleurs et des fruits. Chant : « Kirikou qui a soif, combat la girafe Kirikou a trouvé un jardin secret Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant… » chapitre 4 : Kirikou va subir la plus terrible des épreuves Les femmes du village ont préparé une nouvelle bière. Elles la goûtent et elles sont toutes malades. La mère de Kirikou demande à son fils de vider la jarre pour que personne d’autre ne soit empoisonné. Comme elle est grosse, lourde et stable, Kirikou creuse dessous pour la déséquilibrer. Lorsqu’elle est tombée, Kirikou découvre au fond des fleurs. Sa mère les identifie comme des fleurs de poison contre lesquelles agissent des fleurs jaunes qui guérissent, mais elles poussent près de la case de Karaba. Kirikou dit qu’il faut se déguiser en fétiche pour aller là-bas. Les enfants rassemblent : un mortier gris, de la teinture noire, de la teinture rouge, un peigne, du raphia… pour construire un fétiche. Ils partent pour la route des flamboyants et Kirikou, déguisé en fétiche se dirige vers la case de Karaba. Il trouve les fleurs et les cueille. Il ne peut s’empêcher d’aller regarder Karaba, qu’il trouve belle. Les fétiches le poursuivent jusqu’au village. Il quitte son déguisement et fait manger les fleurs jaunes à toutes les femmes qui guérissent. Chant : « Kirikou, petit frère a sauvé nos mères Kirikou est petit, mais il nous guérit Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant… » Le grand-père conclut : « Voilà les enfants tous ensemble ont su sauver leurs mères et les histoires sont racontées. J’espère qu’elles vous ont plu et qu’elles vous feront du bien longtemps. » Générique de fin (66’32) on voit défiler le nom de tous ceux qui ont travaillé sur le film : aides intervallistes, gouacheurs… (cf réalisation d’un dessin animé) 2 Pendant ce temps, un chant dont le refrain est : « Kirikou, Kirikou ,l’enfant noir, l’enfant nu Kirikou, Kirikou, l’enfant nu, l’enfant noir. » Pistes d’exploitation : ♦ A propos du film : Avant la projection du film, travail sur le titre ou l’affiche : à quoi s’attend-on ? Après la projection : raconter, retrouver les quatre histoires, décrire les personnages principaux… ♦ Les personnages : Kirikou : Michel Ocelot dit de lui : « il est tout petit et tout nu, mais grâce à sa vaillance, sa volonté, sa générosité, il gagne. Il montre que l’on peut arriver à quelque chose même quand on est petit… Comme tous les enfants, il demande toujours pourquoi » Il tire les villageois de difficultés et n’a pas peur d’affronter la sorcière Karaba, qu’il trouve très belle. Les autres enfants ne sont pas toujours décidés à l’aider, mais, dans la dernière histoire, ils sont solidaires pour sauver leurs mères, empoisonnées par Karaba. Le décrire, le dessiner, dire ce qu’ils aiment chez lui, rappeler ses inventions, son courage… La mère de Kirikou : c’est une femme indépendante. Elle est toujours à l’écoute de Kirikou et répond à ses nombreuses questions. La relation mère-fils est très forte. Kirikou l’appelle « mère ». La décrire, rappeler ce qu’elle fait dans le film… Le grand-père : il sait beaucoup de choses car il est vieux, cela fait longtemps qu’il observe, qu’il réfléchit et qu’il comprend. Il est dans une grotte bleue. Dans le film, il présente les quatre aventures de Kirikou. Le décrire, essayer de le dessiner… Karaba, la sorcière : elle est très belle et très méchante. Son nom est inspiré du mot africain karabara : sorte de calebasse avec couvercle où les bijoux sont rangés. Michel Ocelot y a vu un rapport avec Carabosse. Elle cherche à éliminer Kirikou qui l’affronte tout le temps. Elle utilise des fétiches. La décrire, essayer de la dessiner. Les fétiches, ce sont des esclaves de Karaba. Ils sont inspirés de la statuaire africaine. Ils ont des yeux rouges, comme la hyène et le buffle. Ils essaient de capturer Kirikou. 3 En dessiner. En inventer d’autres. Le vieux grincheux : il fait toujours des remarques, il dit souvent « ce n’est pas comme cela qu’il faut faire », il critique, il ne prend pas Kirikou au sérieux. ♦ Les plantes et les fleurs : ce sont des plantes tropicales dont le dessin est simplifié comme en Egypte ou selon les peintures du Douanier Rousseau. Elles ont de belles couleurs. Dans la dernière histoire, il y a la fleur du poison et la fleur qui guérit. Dessiner un paysage en inventant d’autres fleurs (forêt, savane…) Rechercher et observer des tableaux du Douanier Rousseau Les arbres sont présents et parfois très colorés, comme les flamboyants. Dans les villages africains existe un arbre à palabres : expliquer. ♦ Les animaux sont africains. Retrouver ceux que Kirikou combat : la hyène, le buffle celui qu’il aide le Rat palmiste Décrire le voyage de Kirikou sur la tête de la girafe et retrouver les animaux qu’il voit dans les différents paysages (chap.3)… ♦ Le village africain : dans le film, on voit les maisons avec leur forme particulière. Dessiner. Décrire la manière dont les femmes et Kirikou portent les objets. ♦ Réalisation d’un dessin animé : 1- les étapes Durant la projection d’un film, le mouvement continu qui apparaît sur l’écran n’est qu’une illusion. Il résulte d’un ensemble de techniques mises en œuvre pour obtenir la restitution du mouvement, décomposé lors de la prise de vues en milliers d’images fixes. Nos yeux perçoivent cette succession d’images comme une recomposition du fait de la persistance des images rétiniennes : l’œil conserve pendant environ 1/10ème de seconde l’image qu’il vient de voir même quand elle a disparu. 4 Pour réaliser un film d’animation, 24 images par seconde d’action sont nécessaires pour reproduire correctement le mouvement, au minimum 12 images car un nombre inférieur donne un mouvement saccadé (cas de certains dessins animés japonais). A partir d’une idée originale, le réalisateur écrit une histoire : phase d’écriture, puis il organise son histoire et présente un synopsis : résumé des différentes scènes et leur ordre. Quand une histoire a été choisie, il faut l’adapter pour le dessin animé et écrire le scénario : succession de séquences avec une description précise des décors, des personnages, des évènements. Il est ensuite traduit en dessins par le réalisateur sous forme d’un story-board, sorte de longue bande dessinée, constituée d’une centaine de croquis. C’est un découpage détaillé, plan par plan de l’ensemble du film. Il indique le cadrage, la position des décors, des personnages, l’emplacement de la caméra et l’action. Il contient tous les dialogues et les bruitages. Chaque plan est représenté par une feuille numérotée, comprenant un dessin et des indications écrites Pour faciliter le travail des animateurs et ne pas changer l’aspect d’un personnage, des dessins sont réalisés le représentant de face, de profil, de troisquart, de dos, en entier ce qui détaille ses proportions et son volume : ce sont des feuilles de model-sheet . Les maquettistes dessinent alors au crayon le décor de chaque plan du film en fonction de l’animation des personnages. Ces dessins serviront de base aux décorateurs pour la création des décors. Le décor est peint sur une feuille à l’aquarelle, aux encres ou à la gouache. L’animation est réalisée par différentes équipes : l’animateur esquisse au crayon les positions extrêmes du mouvement, des intervallistes comblent les espaces entre chaque dessin en suivant les indications de l’animateur. Plusieurs animateurs interviennent dans un même dessin animé Les dessins sont ensuite tracés à la plume ou photocopiés sur des feuilles de rhodoïd transparentes ou cellulos (ou cellos). Les couleurs sont ensuite appliquées à la main au verso de chaque cellulo en utilisant de la gouache acrylique. Aujourd’hui, peu de studios utilisent cette technique. Les dessins sont scannés dans l’ordinateur, puis mis en couleurs dans un logiciel spécifique. La prise de vues : elle se fait sous caméra verticale qui filme les cellulos posés sur le décor, image par image, avec parfois, en plus, des effets spéciaux. Il est possible de superposer plusieurs cellulos. Les dialogues, les bruitages et la musique sont ensuite mixés à l’image au moment du montage final. Le film est vérifié sur une table de montage. Il y a plusieurs techniques d’animation : - L’animation à plat ou en 2 dimensions (2 D) utilise une caméra perpendiculaire au sujet. On peut animer ainsi des peintures ou dessins, des découpages, des matériaux ou objets, des poudres sur verres (pastel, sable…) … - L’animation en 3 dimensions (3D) utilise une caméra placée en face du plateau de tournage et les objets sont déplacés devant la caméra. On peut animer des objets rigides, des objets flexibles (fil de fer…), des marionnettes… La pixillation est l’animation de personnes qui changent légèrement de position entre chaque prise de vue. Cette technique permet de faire apparaître ou disparaître quelqu’un, de le faire voler… Elle a été utilisée pour les premiers effets spéciaux au cinéma. 5 - L’animation par ordinateur : les personnages, objets et décors créés par ordinateur en images de synthèse forment ce qu’on appelle la réalité virtuelle. L’ordinateur peut être utilisé comme un assistant à la réalisation (pour le montage ou la réalisation d’effets spéciaux) ou comme un outil de création d’images. Dans l’animation directe, l’artiste peut créer directement l’image devant la caméra à l’aide de pâte à modeler, de sable animé, de papiers découpés, d’épingles ou d’autres supports. 2- Exercices pratiques : Parler de l’animation : on peut projeter un court extrait d’un film d’animation et faire réfléchir les enfants. Pourquoi des dessins bougent-ils ? On voit qu’il y a un rapport avec un écran sur lequel les images sont projetées et donc les yeux. On peut leur parler de la persistance rétinienne (plus ou moins simplement selon le niveau) et leur faire comprendre que le mouvement est une illusion d’optique : on voit une succession d’images fixes qui donne une impression de mouvement. Faire construire des objets : - Le folioscope (ou « flip book »): Distribuez aux élèves des feuilles (5cm sur 10, au minimum 12 feuilles ou un petit bloc de « postit »ou un petit carnet à reliure collée) sur lesquelles on leur demande de dessiner (dans la partie droite de la feuille pour que les dessins soient toujours visibles pendant la manipulation). Chaque dessin doit être légèrement différent de celui qui le précède. Assemblés sur un côté, il ne reste plus qu’à faire défiler les dessins avec le pouce, à des vitesses différentes pour voir ce qui se produit. Si le rythme est d’environ 24 feuilles par seconde, le cerveau interprétera le défilement des images comme un mouvement. On peut également construire un personnage en pâte à modeler (silhouette simple) et le photographier en modifiant, entre chaque photo, un détail : par exemple, il penche la tête de plus en plus puis la relève. Lorsque les photos sont développées, on les superpose dans l’ordre des prises de vue. En les tenant sur un côté, on les fait tourner rapidement (comme le bloc dans l’exemple précédent) et on a l’illusion du mouvement. - Construire un thaumatrope : Découper 2 cercles de 8cm de diamètre dans du carton blanc (bristol). Sur chacun des disques, dessiner une partie de la même scène (exemple : un poisson sur l’un, un bocal sur l’autre). Coller les deux disques dos à dos en faisant passer un bâtonnet (brochette) entre les deux. Attention à la position et au sens des images ! Pour voir les deux images se superposer, il suffit de faire pivoter les disques, en faisant tourner rapidement le bâtonnet entre les doigts. Astuce : pour être certain que les deux images se superposeront bien, on peut les dessiner en utilisant la transparence d’une vitre. 6 ♦ Le réalisateur : Michel Ocelot Michel Ocelot a consacré toute sa vie au cinéma d’animation et à la création personnelle. En 1998, il rencontre le succès avec son premier long métrage : Kirikou et la sorcière, histoire inspirée d’un conte africain. En 2000 sort le film Princes et Princesses (série de courts-métrages réalisés selon le principe du théâtre d’ombres), puis en 2005 Kirikou et les bêtes sauvages, et en 2006 Azur et Asmar (conte sur l’immigration situé au Moyen Age). Du film Kirikou et les bêtes sauvages, il dit : « je n’avais pas l’intention de faire un deuxième Kirikou, mais l’enfant Kirikou ne m’a pas demandé mon avis, il s’est imposé… C’est une étrange expérience, d’une part d’être un peu dépassé par son invention, d’autre part de revenir en arrière pour recommencer comme la première fois… Ce n’est pas une suite à l’histoire de Kirikou et la sorcière… » Pour ce film, Michel Ocelot s’est souvenu de son enfance africaine en Guinée. Bénédicte Galup est la co-réalisatrice du film Kirikou et les bêtes sauvages. Elle a travaillé en 2001 sur le film Les Triplettes de Belleville. Une trentaine de graphistes, animateurs et décorateurs ont travaillé à la fabrication des images. Une partie des dessins d’animation a été fabriquée au Vietnam, le restant en Lettonie. ♦ Le genre du film : c’est à partir d’un conte africain que Michel Ocelot a écrit cette histoire. Les personnages sont nus car ils vivent dans un pays où il fait très chaud. Les noms sont inventés. On peut raconter, imaginer une suite, une autre version… ♦ La musique : elle est de Manu Dibango. Les chansons sont de Youssou N’Dour. On peut essayer de chanter les chansons qui terminent les épisodes, en inventer d’autres. Ce qu’ils en disent : « Kirikou reste un héros plein de charme, inventif et palpitant qui s’adresse avant tout aux enfants. Ils prendront un vrai plaisir à retrouver leur petit ami si futé. Heureux et captivés, ils suivront ses palpitantes aventures… » Sophie Raffin www.commeaucinema.com « On se laisse donc de nouveau emporter dans l’univers chatoyant et familier de Michel Ocelot. Une bande-son dynamique et des scénarios malins achèvent de nous combler. C.V- Crossroads n°37 « L’intelligence du propos, sa subtilité d’approche et son refus de tout manichéisme s’accordent à la beauté époustouflante des images. Une heure et quart d’enchantement absolu. » Ciné Live. Bibliographie : Album : Kirikou et les bêtes sauvages, éditions Milan ( + autres titres des aventures de Kirikou) DVD (certains ont un bonus). Liens Internet : site du distributeur Gebeka Films [email protected] site www.abc-lefrance.com et [email protected] Des images et des photos d’affiches peuvent être téléchargées sur le site : Linternaute.com, rechercher Kirikou et les bêtes sauvages 7 Document réalisé par Nicole Montaron, Association Atmosphères53. Octobre 2006. 8