Fiche de révision – Séquence 2
Un conte philosophique : Candide de Voltaire
Introduction : ma biographie et la présentation de
Candide
.
Ma biographie (1
ère
feuille). Relisez-là bien, entièrement, et retenez
notamment :
Mes origines, mon vrai nom et la manière dont j’ai formé mon
pseudonyme (Voltaire)
Les événements qui m’ont valu quelques séjours à la Bastille
Mon exil en Angleterre, où j’ai été particulièrement intéressé par la monarchie
parlementaire (système politique qui offre à mes yeux une excellente alternative
à la monarchie absolue) et la tolérance religieuse qui y règne.
Ma nomination en 1744 comme historiographe du roi et mon élection à l’Académie
française, grâce à la protection de Mme Pompadour.
Mon séjour, de 1750 à 1753 chez l’empereur Frédéric II de Prusse, qui était pour
moi le modèle du « monarque éclairé ». (enfin… au début ; parce que je me suis
finalement aperçu que non.)
Les femmes qui m’ont protégé chez qui je me suis réfugié avant d’acheter ma
propriété de Ferney en 1760.
Mes principaux écrits :
- Contes philosophiques :
Candide
,
Micromégas
,
Zadig
…
- Tragédies :
Œdipe
,
Zaïre
…
- Ecrits philosophiques :
Lettres philosophiques
,
Traité sur la
tolérance
,
Dictionnaire philosophique
.
Présentation de
Candide
. (1
ère
feuille). Retenez :
Le titre complet de
Candide
et la date de publication
La doctrine philosophique que je critique à travers cette œuvre, ses idées et le
philosophe qui en est à l’origine (1
er
paragraphe)
L’événement qui, en 1756, m’a fait pour la première fois réagir contre l’absurdité
de la philosophie optimiste.
Extraits de mon œuvre : pour chaque extrait étudié, il faut être capable :
De savoir à quel chapitre il correspond (ou pour les extraits complémentaire sur
l’esclavage, de savoir qui les a écrits et de quelle œuvre ils sont extraits)
De savoir ce dont Voltaire fait la satire
nde
4, voici de quoi guider votre révision de
la séquence portant sur mon conte philosophique Candide.
Au passage, si j’avais su que vous liriez trois siècles après cette
« coïonnerie » comme je l’appelais, et non ma sublime épopée
sur Henri IV, je ne me serais pas ruiné en encre pour écrire
les quelques trois mille cinq cents vers de La Henriade.
J’imagine qu’il s’agit là de cette ironie subtile (cherchez
l’antiphrase) dont sont capables les générations futures.