Guy de MAUPASSANT

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LES PARURES
d'après
Guy de MAUPASSANT
mise en scène de
Eric Vanelle
Théâtre du Grand Rond – Association Lever du Jour
siège social : 23 rue des POTIERS - 31000 TOULOUSE
n° SIRET 448 897 108 00016
code APE 923A
[email protected]
tél. : 05 61 62 14 85
1
SOMMAIRE
X
Descriptif du spectacle
o
Quelques mots sur Guy de Maupassant et les trois
contes à la base de "Les Parures"
p
Propos du spectacle
q
Notice de mise en scène
r
CV du metteur en scène
2
X Descriptif du spectacle
"Les Parures" est structuré autours de trois contes de Guy de Maupassant :
La Parure, Le Lit 29 et La Morte. Ces trois histoires ont en commun de
présenter des personnages très humains, avec leurs qualités et leurs
(nombreux) défauts, qui se font littéralement broyer par les hasards de la
vie. Si le propos de ces textes est plutôt dramatique, le traitement qui en
est fait est celui de l'ironie et de l'humour noir. Une grande place est de
plus laissée à la danse et à la chanson.
Le spectateur rit et ce rire permet la réflexion. Réflexion sur soi, sur la vie et la maîtrise
réelle ou supposée que l'on a d'elle.
L'adaptation que nous avons réalisée, si elle reste fidèle à l'esprit et au style de
Maupassant, a pour objectif de faire ressortir l'aspect absurde et ironique des situations
décrites.
Le spectacle débute par La Parure. A la fin de celui-ci les acteurs chantent a capela une
chanson réaliste de Fragson intitulée Les amis de Monsieur. Elle introduit sur un ton très
léger et drôle le conte suivant. A la fin du Lit 29 une autre chanson est interprétée sur le
même mode : La Joconde de Paul Braffort. Elle permet de pénétrer dans l'univers plus
inquiétant de La Morte. Le spectacle se termine sur la chanson de Mireille et J. Nohain
Quand un Vicomte.
Ces chansons ont deux fonctions:
9
elles sont le négatif du conte suivant et, à ce titre, le mettent en perspective, lui
donnent du relief.
9
elles ont de plus vocation, comme les tranches de gingembre confit que le japonais
dégustent entre deux plats, à remettre les papilles des spectateurs à zéro, à les
préparer au plat suivant…
3
o Quelques mots sur Guy de Maupassant et
les trois contes à la base de "Les Parures"
Il y aurait beaucoup à dire sur Guy de Maupassant (1850-1893) et ces quelques mots n'ont
pas vocation à être une synthèse de son œuvre. Les quelques lignes qui suivent ont
simplement pour but de mettre en relief deux points importants qui ont guidé la genèse de
ce spectacle. "Les Parures" est structuré autours de trois contes de Maupassant : La Parure,
Le Lit 29 et La Morte.
Le pessimisme ironique de Maupassant
"Il suffit de réfléchir une seconde pour comprendre que ce monde n'est pas fait pour des
créatures comme nous." (L'Inutile Beauté)
“Sais-tu comment je conçois Dieu : comme un monstrueux organe
créateur inconnu de tous, qui sème dans l’espace des milliards de
mondes, ainsi qu’un poisson unique pondrait des œufs dans la
mer. Il crée parce que c’est sa fonction de Dieu : mais il est
ignorant de ce qu’il fait, stupidement prolifique, inconscient des
combinaisons de toutes sortes produites par ses germes éparpillés.
La pensée humaine est un heureux petit accident des hasards de
ses fécondations, un accident local, passager, imprévu, condamné
à disparaître avec la terre." (L'Inutile Beauté)
L’Homme, selon Maupassant, n’est pas fait pour le monde dans lequel il vit. Pire, la
Nature lui veut du mal, comme un organisme attaqué par un virus et qui se défend, cette
« Nature » prenant souvent chez Maupassant, les traits du hasard.
L’Homme, en soi, n’est pas « mauvais », il est imparfait comme toutes choses, mais
ces imperfections font et feront son malheur. Le pessimisme de Maupassant ne s'applique
en cela pas à l'être humain, pour lequel il éprouve une grande tendresse, ni pour la vie,
dont il fut un grand jouisseur (les contes grivois en sont une parfaite illustration), son
pessimisme est beaucoup plus profond : l’Homme n’a pas à être changé, l’Homme ne peut
changer, il est juste à la mauvaise place.
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Une pointe d’orgueil et une coquette volonté de paraître feront le malheur de Mme
Loisel dans La Parure, la touchante naïveté amoureuse d’un homme le rendra à moitié fou
dans La Morte, un militaire normalement bravache et fanfaron se retrouvera nu devant sa
lâcheté fondamentale quand le hasard le mettra face à une épreuve insurmontable pour lui
dans Le Lit 29.
Ce pessimisme est ironique en ce sens que Maupassant ne voit aucune échappatoire
à notre condition. La vie devient alors quelque chose d'absurde. Le regard qu'il porte sur
elle est emprunt d'une grande distance : il nous décrit les vains efforts des pauvres êtres
que nous sommes comme un biologiste assistant à l'agonie de souris en cage… sans jamais
oublier qu'il est lui-même une des ces souris.
Le style de Maupassant
Goncourt écrit dans son journal : « Une page de Maupassant n’est pas
signée, c’est tout bonnement de la bonne copie courante appartenant à
tout le monde ». De tout temps Maupassant s’est vu reproché son style…
ou son absence de style. Souvent associé à un sous-Flaubert, il assume
néanmoins totalement la « simplicité » de son approche : "On peut
traduire et indiquer les choses les plus subtiles en appliquant ce vers de
Boileau : D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir." (Etude sur le
Roman). Le fait même de citer Boileau, symbole de classicisme, montre l’aversion de
Maupassant pour les « clowneries de langages » : « Quelle que soit la chose qu'on veut dire, il
n'y a qu'un mot pour l'exprimer, qu'un verbe pour l'animer et qu'un adjectif pour la qualifier. Il
faut donc chercher, jusqu'à ce qu'on les ait découverts, ce mot, ce verbe et cet adjectif, et ne
jamais se contenter de l'à-peu-près, ne jamais avoir recours à ces supercheries, mêmes
heureuses, à des clowneries de langage pour éviter la difficulté. » (Etude sur le Roman).
Maupassant rapporte, dans le même ouvrage, un commentaire de Flaubert sur ses
premiers écrits : "Je ne sais pas si vous avez du talent. Ce que vous m'avez apporté prouve
une certaine intelligence, mais n'oubliez point ceci, jeune homme, que le talent- suivant le mot
de Buffon - n'est qu'une longue patience."
Travail, simplicité, vraisemblance. Ce sont les maîtres mots de Maupassant.
"Quand vous adaptez n’importe quel autre auteur, vous vous demandez ce qu’il faudra
couper dans le livre. Avec Maupassant, jamais. C’est un scénariste fabuleux, idéal, dont les
5
histoires tiennent en dix lignes. Tout le contraire de Flaubert, quoi qu’on en dise. Si bien qu’on
est souvent amené à étoffer une nouvelle en lui ajoutant des éléments empruntés à une ou
plusieurs autres. Par ailleurs, c’est l’auteur le moins bavard qui soit. Le grand drame de ses
personnages, que ce soient de jeunes bourgeoises livrées innocentes au mariage ou de frustes
paysans, c’est qu’ils sont incapables de langage. Le dialogue est absolument non littéraire, ce
qui amène à travailler autrement avec les acteurs." (Claude Santelli, propos recueillis par
Anne Brunswic).
Il n'entre pas dans notre propos d'apporter une réponse à la question de savoir si
Maupassant était un vulgaire copiste ou un auteur égal de Flaubert. Mais la manière dont
ses contes sont écrits en fait de formidables "matériaux à théâtre".
Résumé de " La Parure "
"C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin,
dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être
connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier
avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique."
Mme Loisel, la jolie fille en question, se languit en songeant à la vie qu'elle aurait pu
avoir si… Un jour son mari arrive avec une enveloppe contenant une invitation à une
grande réception donnée au ministère, réception ou tout "Le Monde Officiel" sera là.
Mme Loisel ira à cette fête, et elle s'y montrera comme elle aurait été si… Elle ira
habillée et parée. Pour ce faire elle achètera une robe et empruntera une parure à une de
ces riches amies. La fête sera son couronnement, son heure de gloire… mais elle perdra la
parure en rentrant chez elle. Elle n'osera l'avouer à son amie et lui achètera un autre
collier, exactement semblable au précédent. Elle et son mari passeront les 10 années
suivantes à rembourser.
"Mme Loisel semblait vieille, maintenant. Elle était devenue la femme forte, et dure, et
rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle
parlait haut, lavait à grande eau les planchers"
Au cours d'une promenade aux Champs-Élysées, Mme Loisel rencontrera, 10 ans
après, l'amie qui lui avait prêté sa parure et lui contera toute l'histoire. Son amie lui
apprendra alors qu'elle lui avait prêté un faux qui valait à peine 500 FF…
Résumé de " Le Lit 29 "
"Quand le capitaine Épivent passait dans la rue, toutes les femmes se retournaient. Il
présentait vraiment le type du bel officier de hussards. Aussi paradait-il toujours et se
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pavanait-il sans cesse, fier et préoccupé de sa cuisse, de sa taille et de sa moustache. Il les
avait superbes, d'ailleurs, la moustache, la taille et la cuisse."
Le capitaine Epivent s'éprendra finalement d'une très belle femme rouennaise, Irma,
et, un an durant, on pourra croire à une "rédemption par l'amour" de ce caractère
entièrement dévoué à son apparence. Malheureusement la guerre de 1870 passe par là et le
capitaine est envoyé sur le front. Pendant ce temps la ville de Rouen est occupée par les
Prussiens. A son retour il ne retrouve Irma qu'à l'hôpital où elle est soignée pour une
syphilis en phase terminale. Elle lui apprend que, violée par les Prussiens, elle a contracté
la maladie et a refusé de se soigner, préférant coucher avec tout ce que la ville comptait de
soldats pour en tuer le plus possible. Epivent ne peut s'empêcher de la considérer comme
une prostituée.
- Dans tous les cas, c'est honteux, dit-il. Elle eut une sorte d'étouffement, puis reprit:
- Qu'est-ce qui est honteux, de m'être fait mourir pour les exterminer, dis ? Tu ne
parlais pas comme ça quand tu venais chez moi, rue Jeanne D'Arc ? Ah ! c'est honteux ! Tu
n'en aurais pas fait autant, toi, avec ta croix d'honneur ! Je l'ai plus méritée que toi, vois-tu,
plus que toi, et j'en ai tué plus que toi, des Prussiens!...Il demeurait stupéfait devant elle,
frémissant d'indignation.
- Ah! tais-toi... tu sais... tais-toi... parce que... ces choses-là... je ne permets pas... qu'on
y touche... Mais elle ne l'écoutait guère :
- Avec ça que vous leur avez fait bien du mal aux Prussiens ! ça serait-il arrivé si vous
les aviez empêchés de venir à Rouen ? Dis ? C'est vous qui deviez les arrêter, entends-tu. Et
je leur ai fait plus de mal que toi, moi, oui, plus de mal, puisque je vais mourir, tandis que tu
te ballades, toi, et que tu fais le beau pour enjôler les femmes. Ah ! oui, tu es un joli poseur. Je
te connais, va. Je te connais. Je te dis que je leur ai fait plus de mal que toi, moi, et que j'en ai
tué plus que tout ton régiment réuni... va donc... capon !
Et Irma moura seule.
Résumé de " La Morte"
"Je l'avais aimée éperdument. (…) Et voilà qu'elle mourut. Comment ? Je ne sais pas, je
ne sais plus. Elle rentra mouillée, un soir de pluie, et le lendemain, elle toussait. Elle toussa
pendant une semaine environ et prit le lit"
Le narrateur voudra passer une dernière nuit auprès d'Elle. Une dernière nuit sur sa
tombe. Il s'endormira au milieu du cimetière, sans l'avoir trouvée. Dans un rêve il verra
tous les morts sortir de leur tombe:
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"Maintenant le mort aussi lisait les choses écrites sur son tombeau: Ici repose Jacques
Olivant, décédé à l'âge de cinquante et un ans. Il aimait les siens, fut honnête et bon, et
mourut dans la paix du Seigneur.. Puis il ramassa une pierre dans le chemin, une petite
pierre aiguë, et se mit à les gratter avec soin, ces choses. Il les effaça tout à fait, lentement,
regardant de ses yeux vides la place où tout à l'heure elles étaient gravées; et du bout de l'os
qui avait été son index, il écrivit en lettres lumineuses comme ces lignes qu'on trace aux murs
avec le bout d'une allumette : Ici repose Jacques Olivant, décédé à l'âge de cinquante et un
ans. Il hâta par ses duretés la mort de son père dont il désirait hériter, il tortura sa femme,
tourmenta ses enfants, trompa ses voisins, vola quand il le put et mourut misérable."
Il trouvera finalement la tombe de sa bien aimée:
"Et sur la croix de marbre où tout à l'heure j'avais lu Elle aima, fut aimée, et mourut
J'aperçus Etant sortie un jour pour tromper son amant, elle eut froid sous la pluie, et
mourut"
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p Propos du spectacle
La naissance de ce spectacle est l'aboutissement d'une histoire d'amour avec Guy de
Maupassant. Et la volonté de faire découvrir ou re-découvrir à un large public (adulte mais
aussi adolescent) cet auteur souvent dénigré est un des moteurs de cette création.
Mais il ne s'agit pas de mettre simplement sur scène trois nouvelles de Maupassant.
Même si le ton du spectacle est léger et drôle, nous voulons inviter le spectateur à réfléchir
avec nous sur la notion de choix. : Existe-t-il un « choix » qui ne s’impose pas de lui-même ?
Pour certains héritiers de Descartes la réponse est non. Nous (et
donc nos actions) ne sommes que le produit de causes extérieures.
Notre vie est en effet en partie conditionnée par l’époque de notre
naissance, le lieu, le milieu, les rencontres… quelle part pour nous,
quelle part pour notre libre arbitre, pour faire un choix.
Dans le conte "La Parure", le premier chapitre décrit Mme Loisel, ses
envies, ses frustrations et ses rêves. Dans toute la suite chaque
action qu'elle entreprend est entièrement dictée par ce "premier chapitre". Elle ne maîtrise
rien, elle ne choisit rien, elle ne peut que se laisser porter vers son malheur, entraînée par
ses conditionnements… et aidée en cela par un Hasard tout occupé à la perdre.
Les Parures part du postulat que la réponse à la question pouvons-nous faire un choix
est non. Le spectacle explore les conséquences de ce postulat, laissant à chacun le choix d'y
adhérer ou non…
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q Notice de mise en scène et de scénographie
Les personnages de ces contes n'ont pas de prise sur leur vie, l'extérieur et leurs
préjugés guident leurs actes. Ils obéissent à des schémas et leur psychologie est ainsi
réduite au minimum. Le jeu rend compte de cet état et l'absence de réflexion, l'incapacité à
la réflexion est le moteur du jeu des protagonistes. Un jeu burlesque et clownesque traduit
leur état.
Les narrateurs ont une partition très différente. Ils sont Maupassant, transformé le
temps de quelques pages en créateur amusé du malheur de ces créatures, ils sont le
spectateur qu'ils doivent amener à avoir le même regard que Maupassant sur ses
créatures : distant afin de pouvoir rire, assez proche pour sentir que c'est soi-même que l'on
regarde se débattre sur scène.
Les partie dansées servent le propos du spectacle: dans "La Parure" la fête à laquelle
finit par assister Mme Loisel n'est plus décrite mais dansée. Mme Loisel danse et chante en
play back sur Diamonds are Girl's best Friend (chantée par Marilyn Monroe). Si le choix du
morceau s'impose vue la situation (!), le play back renforce le coté artificielle de cette fête et
le choix de Marilyn Monroe symbolise l'idéal de Mme Loisel. C'est aussi et surtout la
première fois ou Mme Loisel bouge et se déplace, son corps se libère à cette seule
occasion… pour se vitrifier ensuite à jamais lors de la perte du collier.
Au centre de la scène un fauteuil, grand et stylisé dont le dossier évoque la forme
d'un cobra, au-dessus de la personne assise, une ampoule
Ce fauteuil électrique, évocation de chaises du même nom, sera le lieu des
condamnations: Mme Loisel y recevra la parure qui la perdra, sur lui Epivent et Irma se
rencontreront et s'aimeront, c'est là encore que le narrateur de La Morte revivra son
hallucination…
10
En avant scène, à cour, un fauteuil de théâtre, dossier vers les spectateurs. Les
narrateurs des deux premiers contes et la morte dont il est question dans le dernier
viendront s'y asseoir quand le temps sera venu d'assister à la chute des protagonistes. Le
spectateur trouve ainsi sa place, celle de Maupassant écrivant, devenu capable, le temps de
quelques pages, de s'élever au-dessus de cette condition humaine, qui n'offre aucune
échappatoire, pour observer et rire d'eux. De nous.
En fond de scène quatre parallélépipèdes hauts et
étroits. Sur trois d'entres eux une marionnette est
posée, le quatrième est vide.
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r
CV du metteur en scène
Eric VANELLE
25 rue Perchepinte
31000 Toulouse
06 08 91 28 07
METTEUR EN SCENE
Formation
année
Intitulé
1998/01
Théâtre burlesque, comique, improvisation, clown (Philippe Bourrillon - Zanni Cie)
2000
Travail de l’acteur (Denis Rey – Grenier Théâtre)
2000
Clown (Nathalie Riout – Clown à la folie)
2001
Théâtre Comique (Yvon Victor – Cie Victoria Regia)
2001
Stage : L'alexandrin chez Racine, travail d'après « Le jeu verbal » de M. Bernardy (Didier
Roux – Cie Lohengrin)
2001
Stage : Le Clown (Franck Migeon)
2002
Exploration (Didier Roux – Cie Lohengrin)
Expérience professionnelle en tant que comédien (Théâtre)
Pièce
année
Auteur
Metteur en scène
Rôle
2005
Le Noir vous va si bien
Marsan
Anne Bourgès
Cambell
2004
L’Histoire des Ours Panda
Matéï Visniec
Mary Lynn Clarke
l’homme
2002
Couple Ouvert à Deux Battants Dario Fo
Yvon Victor
Le Mari
2002
Victor et la potion magique
Y. Victor
Yvon Victor
Victor
2002
3 spectacles courts à jouer
dans les bars
Topor, Beckett,
Dubillard, Maupassant…
Collectif
2001
Cramponné à mon jus de
pamplemousse
d’après Alan Bennett
Mary Lynn Clarck Eric Vanelle
Graham
2001
La Dispute
Marivaux
Philippe Bourrillon
Mesrin
2001
Les acteurs de bonne foi
Marivaux
Philippe Bourrillon
Merlin
2000
ZOOM ! (clown)
création collective
Philippe Bourrillon
Le Drageur
1999
Arloc ou le grand Voyage
anonyme
Anna Koltes
5 rôles
12
Expérience professionnelle en tant que metteur en scène
Pièce
année
Auteur
Type
2004
La Valse du Hasard
Victor Haïm
Théâtre
2003
Les Parures
d’après Maupassant
Théâtre
2002
L’île du droit à la caresse
d’après Daniel Mermet
Théâtre
2001
Cramponné à mon jus de Pamplemousse
d’après Alan Bennett
Théâtre
Divers
•
•
•
•
Etude d’ingénieur et Doctorat en Physique (1995)
Président de Zanni Cie en 1999/00
Co-fondateur et co-responsable du Théâtre du Grand Rond
Photographe de spectacle
13
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