La première révolution anglaise

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CONFÉRENCE DU FORUM DES SAVOIRS
“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.”
Voltaire
LES RÉVOLUTIONS ANGLAISES
de la République de Cromwell
à la Glorieuse Révolution de 1688
CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
Association ALDÉRAN Toulouse
pour la promotion de la Philosophie
MAISON DE LA PHILOSOPHIE
29 rue de la digue, 31300 Toulouse
Tél : 05.61.42.14.40
Email : [email protected]
Site : www.alderan-philo.org
conférence N°1000-100
LES RÉVOLUTIONS ANGLAISES DU 17ème SIÈCLE
de la République de Cromwell à la Glorieuse Révolution de 1688
conférence d’Éric Lowen donnée le 13/12/2004
à la Maison de la philosophie à Toulouse
Plus d’un siècle avant la France, l’Angleterre connut une révolution, l’exécution du Roi
d’Angleterre et une république. Retour sur une période méconnue de l’histoire anglaise
dominée par la figure de Cromwell, pourtant involontairement à l’origine de sa modernité
politique actuelle.
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LES RÉVOLUTIONS ANGLAISES DU 17ÈME SIÈCLE
de la République de Cromwell à la Glorieuse Révolution de 1688
Plan de la conférence par Éric Lowen
Le fruit des guerres civiles de Rome a été l’esclavage,
et celui des troubles d’Angleterre, la liberté. La nation anglaise est la seule de la terre
qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant.
Voltaire (1694-1778)
Lettres philosophiques, 1734
I
LA SITUATION DE L’ANGLETERRE AU 17ème SIÈCLE
1 - La sortie de la dynastie des Tudors (1485-1603)
2 - La séparation anglicane d’Henri VIII en 1534
3 - Le maintien du pouvoir des Parlements face au pouvoir royal
4 - L’émergence d’une culture nouvelle, prolongement en Angleterre de la Renaissance
5 - La dynastie des Stuarts et l’unification des trois royaumes
II
LA PREMIÈRE RÉVOLUTION ANGLAISE (1641-1649)
1 - La volonté d’absolutisme des Stuart
2 - L’affrontement avec les Parlements, la crise de 1628 et la Tyrannie de onze ans
3 - La répression contre les sectes protestantes non-anglicanes
4 - La même attitude hostile envers le catholicisme romain
5 - Un marasme économique et une politique extérieure désastreuse
6 - L'archevêque Laud veut imposer le rituel anglican en Écosse presbytérienne, l’Écosse se révolte
7 - Le refus du Parlement de voter des crédit pour répondre à la révolte de l’Écosse en 1640
8 - La rupture entre le Parlement et le roi le 1er décembre 1641 suite à la “Grande Remontrance”
9 - La guerre civile entre les armées parlementaires et celles du roi : 1642-1646
10 - La radicalisation de la révolution (1646-1649), le pouvoir passe aux armées
11 - L’exécution du roi le 30 janvier 1649
12 - La proclamation de la République d’Angleterre (1649-1659)
13 - Cromwell (1599-1658) devient Lord-protecteur en 1653
14 - La mort de Cromwell provoque une période d’anarchie et la restauration de Charles II en 1660
III
LA SECONDE RÉVOLUTION, DITE RÉVOLUTION GLORIEUSE : 1688
1 - Malgré la Restauration de Charles II, l’instabilité politique continue
2 - Son frère Jacques II le catholique lui succède sur le trône
3 - Un conflit de religion pour la succession au trône
4 - Une conspiration d’aristocrates et du haut clergé appelle Guillaume d’Orange sur le trône
5 - Une nouvelle monarchie : Bill of rights, séparation des pouvoirs, Acte de tolérance, ... etc.
6 - Une ère de stabilité politique, le retour à la paix civile et à l’unité du pays
IV
PARTICULARITÉS DE CES DEUX RÉVOLUTIONS ANGLAISES
1 - Elles s’inscrivent dans une longue tradition anglaise de limitation du pouvoir royal
2 - Une révolution en vase clos, en raison de la situation insulaire de l’Angleterre
3 - Le rôle décisif des questions religieuses
4 - La première révolution, une révolution bourgeoise
5 - La glorieuse révolution, une révolution aristocratique
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V
SES CONSÉQUENCES
1 - Le bilan de la première révolution et de sa république puritaine
2 - La disparition de la féodalité, le début de l’élan commercial et colonial anglais
3 - Une évolution de la République qui annonce celle que connaîtra la France : Cromwell/Napoléon
4 - Le bilan constructif de la “Glorieuse Révolution” à la différence de la première révolution
5 - L’instauration des grandes règles de la monarchie anglaise classique
6 - L’émergence d’une nouvelle philosophie politique (John Locke)
7 - Le discrédit de la République et le début d’un esprit à révolutionnaire
8 - Un exemple qui servira pour Lumières françaises (Voltaire) et les futurs “Insurgents”
VI
CONCLUSION
1 - Une phase historique turbulente, qui explique la crainte de l’Angleterre à l’égard des révolutions
ORA ET LABORA
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Document 1 : Le roi Charles 1er, décapité en 1649 (tableau de A. Van Dyck, Musée du Louvre).
Document 2 : La mort de Charles 1er.
La cour avait fixé l'exécution au mardi 30 janvier. Or ce ne fut pas sans peine qu'on fit
signer aux commissaires l'ordre fatal. Presque seul gai, Cromwell se livrait aux plus
grossiers actes de sa bouffonnerie accoutumée. Après avoir signé, il barbouilla d'encre le
visage d'un des juges qui le lui rendit aussitôt. À un autre de ses collègues, Cromwell mit
la plume entre les doigts et, lui conduisant la main, il lui fit écrire son nom. On réunit ainsi
cinquante-neuf signatures, dont plusieurs étaient illisibles.
Dans la matinée du 30 janvier, le roi fut conduit à Whitehall au milieu d'une double haie
de soldats. Il s'y arrêta quelque temps, pour recevoir la communion des mains de
l'évêque (de Londres) et prendre une légère collation. À une heure on vint le chercher. À
l'extrémité de la salle des banquets ; une ouverture, pratiquée la veille, conduisait de
plain-pied à l'échafaud. Le roi arriva, la tête haute ; il chercha le peuple pour lui parler,
mais seules les troupes occupaient la place. Il adressa donc à l'évêque un petit discours,
pour justifier sa conduite politique ; puis, se tournant vers le bourreau, il lui demanda si
ses cheveux ne le gêneraient pas. «Je ferai, dit-il, une courte prière, et quand j'étendrai
les mains, et quand j'étendrai les mains, alors... ».
Le roi s'agenouilla et mit sa tête sur le billot. Au bout d'un instant, il étendit les mains, le
bourreau frappa, la tête tomba au premier coup de hache. «Voilà, dit-il, la tête d'un
traître», en la montrant aux assistants. Le corps fut mis dans un cercueil. Cromwell voulut
le voir ; il le considéra attentivement et, soulevant la tête de ses mains : «C'était là, dit-il,
un corps bien constitué, et qui promettait une longue vie».
Huit jours plus tard (6 février), le cercueil royal fut inhumé au château de Windsor, sans
aucune cérémonie religieuse, à côté du cercueil de Henri VIII.
Guizot (1787-1874)
Histoire de Charles Ier
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Document 3 : La période de guerre civile entraîne, par réaction, la justification par certains philosophes
comme Hobbes d’un pouvoir royal fort, libéré de la tutelle du parlement.
Aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tienne tous en
respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est guerre de
chacun contre chacun. Car la GUERRE ne consiste pas seulement dans la bataille et
dans les combats effectifs ; mais dans un espace de temps où la volonté de s'affronter cri
des batailles est suffisamment avérée - on doit par conséquent tenir compte, relativement
à la nature de la guerre, de la notion de durée, comme on tient compte, relativement à la
nature, du temps qu'il fait. De même en effet que la nature du mauvais temps ne réside
pas dans une ou deux averses mais dans une tendance qui va dans ce sens, pendant un
grand nombre de jours consécutifs, de même la nature de la guerre ne consiste pas dans
un combat effectif, mais dans une disposition avérée, allant dans ce sens, aussi
longtemps qu'il n'y a pas d'assurance du contraire. Tout autre temps se nomme PAIX.
[...] Il peut sembler étrange, à celui qui n'a pas bien pesé ces choses, que la nature
puisse ainsi dissocier les hommes et les rendre enclins à s'attaquer et à se détruire les
uns les autres : c'est pourquoi peut-être, incrédule à l'égard de cette inférence tirée des
passions, cet homme désirera la voir confirmée par l'expérience. Aussi, faisant un retour
sur lui-même, alors que partant en voyage, il s'arme et cherche à être bien accompagné,
qu'allant se coucher, il verrouille ses portes ; que, dans sa maison même il ferme ses
coffres à clefs ; et tout cela sachant qu'il existe des lois, et des fonctionnaires publics
armés, pour venger tous les torts qui peuvent lui être faits - qu'il se demande quelle
opinion il a de ses compatriotes, quand il voyage armé ; de ses concitoyens, quand il
verrouille ses portes ; de ses enfants et de ses domestiques, quand il ferme ses coffres à
clef. N'incrimine-t-il pas l'humanité par ses actes autant que je le fais par mes paroles ?
Mais ni lui ni moi n'incriminons la nature humaine en cela. Les désirs et les autres
passions de l'homme ne sont pas en eux-mêmes des péchés. Pas davantage ne le sont
les actions qui procèdent de ces passions, tandis que les hommes ne connaissent pas de
loi qui les interdise ; et ils ne peuvent pas connaître de lois tant qu'il n'en a pas été fait ;
or, aucune loi ne peut être faite tant que les hommes ne se sont pas entendus sur la
personne qui doit la faire.
Thomas Hobbes (1588-1679)
Léviathan
Document 4 : L'évasion manquée de Jacques II en 1688.
Après le départ de la reine, le roi dit, fort publiquement, qu'il voulait retourner à la tête de
son armée et se battre. Mais à peine fut-il jour le lendemain mardi, qu'on sut que la nuit
précédente à deux heures, il s'était mis dans une barge (sorte de barque) seulement
avec trois hommes. Deux jours après le départ du roi, on reçut un courrier au conseil de
seigneurs assemblés à Whitehall, qui portait la nouvelle que le jour précédent, le roi
Jacques, avec trois hommes de sa suite, étant dans un bâtiment marchand, avait été
empêché de partir d'Angleterre. Ce roi, étant parti de Whitehall par eau pour traverser la
Tamise, avait fait le chemin par terre jusques à un endroit de la rivière près de
Feversham. Il se mit dans une méchante barque, qui devait le mener à une frégate
commandée parle capitaine Magdonel (sic), Irlandais et brave homme qui l'attendait à
Marguet à vingt milles de Ià. Le temps était gros et la barque avait besoin de lest.
Pendant qu'on en chargeait, Halles envoya un de ses valets à livrée à Feversham, pour
s'informer de quelque chose à la poste. Un canonnier du château de Douvres, qu’il avait
autrefois cassé, connaissant sa livrée, jugea qu'il n'était pas loin et, suivant le valet, il
remarqua que lorsqu'il fut sur le bord de la rivière, il faisait signe à des gens, qui étaient
dans une petite barque. Ce canonnier avertit incontinent tous les pêcheurs, les matelots
du lieu et autres aventuriers, qui visitaient les navires qui passaient... les assurant qu'il y
avait de quoi faire capture dans cette barque-là. Ils abordèrent d'abord la barque et
rencontrant le premier le dit Halles, ils firent de grands cris de joie. Ils prirent le roi pour
son prêtre, parce qu'il avait une petite perruque... Mais ayant trouvé sur lui quelques
cachets, on commença à soupçonner qu'il était autre chose qu'un simple prêtre. Une
infinité de gens y étant accourus, quelques-uns entrèrent dans le navire qui était tout près
de la terre, et un connétable ayant reconnu le roi, il se jeta à ses genoux et lui demanda
pardon de ce qui lui avait été fait. Le roi qui était parti le mardi, arrêté le mercredi et
résolu le vendredi de retourner à Londres, se mit en chemin le samedi et arriva le soir à
Rochester. Le roi en étant parti le dimanche matin, fit son entrée l'après-dîner à Londres,
qu'il traversa presque toute en carrosse à travers une grande foule de peuple.
Guillaume de Lamberty (1660 -1742)
Mémoires sur la dernière Révolution d'Angleterre, t. I. La Haye, 1702
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Document 5 : La “glorieuse révolution” impose dans le domaine politique une autre idée des rapports entre
les individus, l’état et la société - elle affirme l’égalité fondamentale des êtres humains. C’est l’entrée de la
notion des droits humains.
Les hommes étant tous naturellement libres, égaux et indépendants, nul ne peut être tiré
de cet état, et être soumis au pouvoir politique d'autrui, sans son propre consentement,
par lequel il peut convenir, avec d'autres hommes, de se joindre et s'unir en société pour
leur conservation, pour leur sûreté mutuelle, pour la tranquillité de leur vie, pour jouir
paisiblement de ce qui leur appartient en propre, et être mieux à l'abri des insultes de
ceux qui voudraient leur nuire et leur faire du mal.
John Locke (1632-1704)
Deuxième traité du gouvernement civil
Document 6 : La chambre des communes, parlement élu (peinture de Tilleman).
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Document 7 : Dans le domaine religieux, c’est l’idée de tolérance qui s’impose - même si dans les faits, les
protestants se méfient encore des catholiques.
Puisque vous jugez à propos de me demander quelle est mon opinion sur la tolérance
que les différentes sectes des chrétiens doivent avoir les unes pour les autres, je vous
répondrai franchement qu'elle est, à mon avis, le principal caractère de la véritable
Église. Les uns ont beau se vanter de l'antiquité de leurs charges et de leurs titres, ou de
la pompe de leur culte extérieur, les autres, de la déformation de leur discipline, et tous
en général, de l'orthodoxie de leur foi (car chacun se croit orthodoxe) ; tout cela, dis-je, et
mille autres avantages de cette nature, sont plutôt des preuves de l'envie que les
hommes ont de dominer les uns sur les autres, que des marques de l'Église de JésusChrist. Quelques justes prétentions que l'on ait à toutes ces prérogatives, si l'on manque
de charité, de douceur et de bienveillance pour le genre humain en général, même pour
ceux qui ne sont pas chrétiens, à coup sûr, l'on est fort éloigné d'être chrétien soi-même.
John Locke (1632-1704)
Lettre sur la tolérance
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- Traité du gouvernement civil, John Locke, 1680, Flammarion, 1992
- Elisabeth Ière d’Angleterre, M. Ducheir, Fayard, 1992
- Histoire de la Grande-Bretagne, K. Morgan, Armand Colin, 1985
- Les Deux Révolutions d’Angleterre. Documents politiques, sociaux, religieux, Olivier Lutaud, AubierMontaigne, 1978
- Cromwell, les niveleurs et la République, Olivier Lutaud, Aubier-Montaigne, 1978
- L’Angleterre des révolutions, Roland Marx, Armand Colin, 1971
- Traité politique, Baruch Spinoza, Garnier Flammarion, 1966
- Utopia, Thomas More, (1516), Penguin classics 1965
- Lettres philosophiques, Voltaire, 1733, Garnier-Flammarion, 1964
- L’Évolution politique de l’Angleterre moderne, L. Cahen & M. Braure, 1960
- Du contrat social, Jean-Jacques Rousseau, Le livre de poche, 1762.
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