Chaque acteur de soin doit reconnaître qu'il ne peut
prétendre seul à son omni-compétence en matière
médicale, sociale, psychologique, spirituelle (B. Matray)
‒Le temps du mourir est marqué d'une particularité propre, une
partie intégrante de l'histoire de la personne
‒Il est nécessaire de tenter de « faire société avec le malade » :
entrer en sa compagnie dans une certaine solidarité, être présent
dans ce lieu où lui se trouve en cette période de vie
‒Les projets de soin et de vie du patient sont fondés sur
l'approche holistique (globale) du patient dans la rencontre de
ses besoins
Pas de soignant isolé
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