Page 3 de 4
Mise en garde concernant les données
Puisque les données sont de la période 2005-2007, la présente analyse ne comprend pas les plus récentes initiatives et
activités sur les facteurs de risque de cancer et la prévention du cancer, notamment l’Initiative de prévention de la Société
canadienne du cancer, la Chaire dotée de la Société canadienne du cancer (Division de la Nouvelle-Écosse), la Chaire de
recherche sur la prévention primaire de la Société canadienne du cancer à l’Université de la Colombie-Britannique, le
Centre de recherche sur le cancer professionnel, CAREX Canada, la Chaire en Environnement-Cancer Guzzo-Société de
recherche sur le cancer en partenariat avec l’Université de Montréal, le Projet de partenariat canadien Espoir pour demain
et le Groupe de recherche et de prévention en environnement cancer (GRePEC). De plus, aux fins de la présente
analyse, des données sur des initiatives financées par plusieurs sources, dont l’Alliance canadienne pour la recherche sur
le cancer du sein (ACRCS), l’Initiative canadienne de recherche sur le cancer de la prostate (ICRCP) et l’Initiative
canadienne de recherche pour la lutte contre le tabagisme (ICRCT), ont été incluses.
Résumé des principales constatations (2005-2007)
La SCC est responsable de 15 % de l’investissement total dans les recherches sur les facteurs de risque de
cancer et la prévention du cancer de toutes les organisations membres de l’ACRC, et de 23 % du financement des
chercheurs sur les facteurs de risque de cancer et la prévention du cancer financés de toutes les organisations
membres de l’ACRC. Cela indique que la SCC est un organisme de financement majeur dans la recherche sur les
facteurs de risque de cancer et la prévention du cancer
.
Dans l’ensemble, les organisations membres de l’ACRC investissent moins dans la recherche visant à trouver, à
créer et à tester des interventions de prévention du cancer (les interventions) que dans la recherche visant à
cerner les causes de cancer (les causes). Toutefois, la SCC a engagé un plus grand pourcentage de son
investissement total dans la recherche d’interventions (43 %) que les autres organisations membres de l’ACRC
(21 %).
Le tabac représentait la plus grande part des investissements de la SCC destinés à un facteur de risque (36,7 %
de son investissement total), tandis que les susceptibilités génétiques sont le facteur de risque qui arrive au
En fait, selon le rapport de l’ACRC sur l’Investissement dans la recherche sur les facteurs de risque de cancer et la prévention du cancer, 2005-2007, la SCC est
le deuxième plus important organisme de financement dans la recherche sur les facteurs de risque de cancer et la prévention du cancer, après l’Institut de
recherche en santé du Canada (page 22 du rapport de l’ACRC).