La lettre des entrepreneurs isérois

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200 exemplaire
La lettre des
bre 2013 - 5 179 - Septem
N°
EDITO
BRÈVE
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Cartes sur table 2013 :
Accélérer la transformation
c’est une réalité.
«Cartes sur table 2013»,
vient de sortir. Les
chiffres, les courbes, les
«benchmarks» sont impitoyables. Ils décrivent
implacablement le décrochage de la France.
Ce n’est plus une probabilité ou un risque,
Depuis trois ans, le MEDEF ne cesse de
marteler notre besoin de compétitivité. Le
Gouvernement a enfin cessé de le contester
en lançant un Pacte de Compétitivité et le
MEDEF a co-écrit avec trois organisations
syndicales le livre: “Réinventer la croissance”.
Au-delà du diagnostic, des premiers actes
majeurs ont été posés avec le CICE, la
réforme du marché du travail avec l’accord
du 11 janvier 2013 et la modification de la
fiscalité sur les plus-values de cession.
Les chiffres de ce «Cartes sur table 2013»
sont là pour donner un coup d’accélérateur
à ce processus de transformation. Leur lecture
et leur interprétation donnent la clé de la
stratégie économique à mettre en œuvre.
La voie est étroite mais elle existe. Nous
l’appelons «le désendettement compétitif»:
nous devons impérativement rééquilibrer nos
comptes publics et réduire notre dette tout en
donnant des perspectives aux entrepreneurs,
aux investisseurs, aux consommateurs et aux
salariés.
L’inversion de la tendance passe par des
réformes structurelles, au premier rang
desquelles le MEDEF propose la remise
à plat du système de financement de
protection sociale. Quant à la stimulation
de la croissance, elle repose notamment sur
le double enjeu énergétique et numérique.
Toute grande ambition doit inclure un accès
sécurisé à une énergie bon marché d’une
part, le déploiement d’un plan numérique
favorisant la création de valeur d’autre part.
La mutation réussira si elle s’opère dans un
cadre attentif au projet européen, constructif
avec les organisations syndicales, et ouvert à
toutes les composantes de notre société.
Pour recevoir « Cartes sur table 2013 » :
[email protected]
«La
chimie n’est pas le problème,… mais la solution
?»
La Chimie en France c’est 90 Milliards d’€ de CA (12 pour Rhône-Alpes), 200 000 salariés directs
(31 500 en Rhône-Alpes), 500 000 si on y ajoute les emplois induits. La chimie c’est aussi 4,4 milliards d’€ d’excédents commerciaux, 3,7 milliards d’€ d’investissements et 1,5 milliard d’€ consacrés
à la R&D. Par ailleurs, l’industrie chimique a réduit de 50% ses émissions de gaz à effet de serre de
1990 à 2005 et a prévu de les réduire encore de 20% d’ici 2020.
Mais ces belles performances ne doivent pas nous masquer la réalité. La chimie française recule ;
nous sommes passés de la 5ème place en 2000 à la 7ème place mondiale en 2011 et nous
sommes confrontés à de multiples défis et enjeux de compétitivité, dont trois sont critiques : l’énergie,
la fiscalité et la pression règlementaire.
L’industrie chimique est le premier consommateur industriel d’énergie en France (24% des consommations énergétiques de l’industrie, 40% pour le Gaz Naturel) et le coût de l’énergie représente en
moyenne, pour l’amont de la filière, entre 15 et 20% de ses prix de revient.
Or, le contexte international est marqué par deux bouleversements profonds : la révolution énergétique aux Etats-Unis avec l’exploitation des gaz de schiste et le soutien gouvernemental des industriels intensifs en énergie en Allemagne.
Le prix du gaz est 3 à 4 fois moins cher sur le marché américain qu’européen. La pétrochimie, ainsi
que la production industrielle aval se redéveloppent rapidement (200 000 nouveaux emplois dont
40 000 pour la chimie). Ces productions arriveront bientôt sur les marchés mondiaux et d’autres
pays comme l’Allemagne, l’Angleterre, la Pologne, la Chine, l’Australie comptent utiliser ce levier
de croissance en explorant leurs potentiels en hydrocarbures non conventionnels. En outre, les
sites électro-intensifs allemands paient leur coût complet d’électricité (incluant taxes et contribution)
jusqu’à 20% moins cher qu’en France.
L’industrie Chimique a besoin d’un accès pérenne et sécurisé à une énergie compétitive. C’est pourquoi nous demandons que soit examiné le potentiel du gaz de schiste et son impact sur l’emploi et
que soit défini le statut du gazo-intensif et de façon générale de l’énergie intensive pour les secteurs
exposés délocalisables. Nous attendons également un support clair au développement d’énergies
alternatives sur le long terme, en particulier la biomasse, pour favoriser la transition énergétique des
industriels.
La fiscalité industrielle environnement et énergie représente déjà au total 13,2 % de la valeur ajoutée, son plafonnement est vital pour notre industrie. Tout mécanisme additionnel, comme une taxe
carbone, aurait un lourd impact. Les coûts de la transition énergétique ne peuvent être supportés par
nos entreprises. En Allemagne, ils le sont par les ménages (coûts prévisionnels de 1000 milliards
d’€ d’ici à 2040).
Nous entendons : «oui, mais il y a le CICE…». Qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, le crédit d’impôt ne
profite pas à notre industrie, surtaxée d’un côté alors que de l’autre côté, l’assise du CICE sur une
assiette de salaire allant jusqu’à 2,5 fois le SMIC, exclut de fait une bonne partie des salariés très
qualifiés que nous employons et dont les salaires sont plus élevés.
Enfin, l’équilibre entre pression réglementaire et compétitivité est rompu. Il convient d’arrêter l’inflation
réglementaire, hors coûts pour l’Etat, et de sanctuariser les plateformes dédiées à la chimie. Les
missions de simplification se succèdent sans que nous ne voyions de progrès. Et, pour couronner le
tout, une «sur-transposition» française de certains textes européens vient s’ajouter
à une règlementation d’origine nationale : PPRT, séisme, plan de modernisation
des équipements...
La Chimie est tout sauf une industrie du passé. Elle est impliquée dans l’économie circulaire ; elle maintient une bonne capacité à innover; elle fournit aux
autres secteurs des produits et des solutions leur permettant de réduire leur
empreinte environnementale et climatique en particulier.
Soyons fiers de nos résultats et combatifs pour défendre notre compétitivité. La
chimie n’est pas le problème,…. mais la solution.
Jean-Louis MARTIN
Président de l’UIC Rhône-Alpes
ÉCONOMIE
REINVENTER LA CROISSANCE
Depuis 2005, les partenaires sociaux se sont
engagés dans une démarche de dialogue
économique régulier, avec pour objectif de
développer un diagnostic commun sur les
forces et faiblesses de l’économie française.
Le rapport «Réinventer la croissance» vient
de paraitre et analyse les conditions du
renouveau de la croissance en France avec un
état d’esprit constructif.
Cette réflexion s’est déroulée dans le cadre de
la délibération économique ouverte en janvier
2012 sur les nouvelles sources de croissance.
Elle s’est articulée autour de deux questions
principales :
Les organisations signataires ont cherché
dans ce rapport à
établir des priorités
consensuelles et à faire œuvre de pédagogie
sur des questions économiques complexes.
•dans quels domaines peut-on créer
aujourd’hui de la croissance et un grand
nombre d’emplois sur notre territoire ?
L’objectif est aussi de lutter contre les attitudes
défensives en proposant une vision positive et
conquérante de l’économie française.
• comment mettre en œuvre un modèle
de croissance qui conjugue performance
économique et développement durable ?
Pour recevoir ce rapport,
contact Françoise ACHARD-LOMBARD :
[email protected]
ÉCONOMIE
COUT DU TRAVAIL :
L’URGENCE A AGIR
Le MEDEF a vivement réagi aux annonces du Gouvernement
sur les retraites. Une juxtaposition de mesures disparates pour
répondre à un problème structurel et qui ne régleront que très
partiellement les déficits de nos régimes de retraite.
En cédant une fois de plus à la facilité de la hausse des cotisations,
le Gouvernement obère la relance et donc l’emploi. En outre, la
perpétuation des inéquités entre les salariés du privé et ceux
du public est intolérable et injustifiable. Nous avons obtenu du
Gouvernement que les hausses de cotisations soient entièrement
compensées pour les entreprises, cependant c’est d’une véritable
baisse dont nous avons besoin.
Les marges des entreprises françaises sont aujourd’hui les plus
faibles d’Europe. L’écart de plus de 10 points par rapport à la
moyenne de la zone Euro représente pour elles un handicap
de près de 100 milliards d’euros. Entre 2000 et 2012, le coût
horaire de la main d’œuvre dans le secteur marchand s’est accru
de 47% en France contre 26% en Allemagne. A 35,30 euros de
l’heure, le coût de la main d’œuvre en France est le plus élevé
d’Europe, derrière la Belgique et la Suède. Il dépasse de 10% le
coût allemand (alors qu’il lui était inférieur de 7% en 2000), et
les charges sur salaire sont presque deux fois plus lourdes qu’en
Allemagne (50% du salaire brut contre 27%).
C’est pourquoi, nous attendons beaucoup de la réflexion lancée
par le Gouvernement sur le transfert de certaines charges pesant
sur le travail, en particulier les cotisations de la branche famille.
Pierre GATTAZ a déjà engagé des discussions avec Pierre
MOSCOVICI, Ministre de l’économie et des finances. Nous
espérons aboutir rapidement à de réelles avancées qui pourront
donner un peu d’oxygène à nos entreprises asphyxiées par un
fardeau fiscal et social qui doit impérativement être allégé.
Medef MAG’ - page 2
VIE DU RESEAU
EGEE RECRUTE
DE JEUNES RETRAITES BENEVOLES
L’association EGEE RhôneAlpes, implantée depuis
31 ans, regroupe plus
de 250 conseillers, tous
anciens cadres, dirigeants
d’entreprises, artisans, commerçants, enseignants ayant la volonté
de transmettre leurs acquis bénévolement.
Leurs appuis sont répartis en 3 grands axes : Enseignement,
Emploi, Economie.
Leur déontologie : ne pas prendre le travail au secteur marchand.
66 conseillers sont répartis géographiquement sur le département
et rattachés à deux Délégation :
• Sud-Isère : 38 conseillers
Sous la responsabilité d’André LOPEZ-VELASCO
• Nord-Isère : 28 conseillers
Sous la responsabilité de Jean-José DE ARTOLA
Votre soutien est indispensable pour les faire connaître et ainsi
développer l’aide qu’ils peuvent
apporter. Aujourd’hui ils
effectuent plus de 3500 entretiens et souhaitent recruter de jeunes
retraité(e)s souhaitant participer au développement économique
et social.
Si vous êtes à la retraite depuis peu et que vous disposez d’un peu
de temps, contact : [email protected]
VIE DU MEDEF ISère
APERO RESO : à la découverte d’un leader mondial
Le dernier APERO RESO du MEDEF Isère s’est déroulé
vendredi 21 juin sur le site de production LEGRAND France
à St Marcellin.
Jean PETINOT, Directeur de site, et son
équipe ont fait découvrir, à la quarantaine
de chefs d’entreprise
présents, la totalité
de la chaîne de production des produits
et systèmes pour les solutions de communication numérique
du bâtiment fabriqués par LEGRAND sur son site isérois
pour les marchés tertiaires, industriels et résidentiels.
Au fil de la visite, nos adhérents ont vu «naître» par
exemple les connecteurs et prises RJ45 depuis le moulage
des éléments plastiques au câblage et à l’assemblage des
composants jusqu’au conditionnement pour l’expédition et
la commercialisation.
VIE DU RÉSEAU
UNIVERSITE D’ETE DU MEDEF
«Crise : du danger à l’opportunité» fut le thème
de la première université d’été de Pierre GATTAZ, nouveau Président du MEDEF, qui s’est tenue les 28-29 et
30 août dernier à Jouy en Josas.
Un tel titre n’a pu que donner le ton et faire passer un
certain nombre de messages comme : aller de l’avant,
tous sur le pont, y croire toujours, l’esprit d’équipe, tomber et se relever, propager le succès, tout est possible,
trouver l’énergie, inventer demain, prendre les choses
en main, faire coalition pour avancer...
Les échanges entre les participants se sont poursuivis
après la visite autour d’un buffet déjeunatoire honoré en ce
premier jour de l’été par un magnifique soleil.
Nous tenons à remercier l’ensemble de l’équipe LEGRAND
pour son accueil et sa pédagogie.
Si vous souhaitez à votre tour organiser notre prochain APERO
RESO, n’hésitez pas à prendre contact avec Caroline Cousina
([email protected]).
VIE DU MEDEF ISÈRE
CLUB « ENTREPRISES ET HANDICAP » :
UN NOUVEAU PRésident
Le Club « Entreprises et Handicap »
du MEDEF Isère financé par l’Agefiph
Rhône-Alpes accompagne depuis plus
de 12 ans vos entreprises sur l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés.
Corinne Margot, DRH de SOITEC,
Présidente du Club depuis 2009 cède maintenant la
place à Claude Boumendil, Responsable du pôle RHRSE de ST Microelectronics, afin de mener à bien les
différentes actions organisées par le Club.
Autant de thématiques pour redonner le moral aux entrepreneurs et leur faire comprendre qu’ils sont mettre
de leur destin et qu’ils doivent prendre les choses en
main pour faire de la France un pays innovant. L’Université d’été de 2013 a été plus que jamais ouverte
sur l’entreprise et l’esprit d’entreprendre.
Aujourd’hui, 90 entreprises et près de 160 cadres et
dirigeants œuvrent au sein du club pour échanger en
inter-entreprises sur la thématique emploi / handicap (réunions thématiques,
conseils juridiques, rendez-vous individuels…) et mettre en place des projets
(recrutement collectif, alternance, sensibilisation des étudiants….).
Nous vous invitons à retrouver en vidéos les conférences de cette université sur le site www.medef.com
Pour toute question s’adresser à Coline Wallays,
04 76 49 30 03, [email protected]
Medef MAG’ - page 3
En Chiffres
24 milliards
d’euros
par an
Coût estimé des 35h.
BRÈVE
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LA POSTE :
DECOUVREZ UNE ENTREPRISE
La Poste ouvre ses portes pour échanger
avec des acteurs du tissu économique isérois.
Si vous souhaitez externaliser votre comité
de direction pour dynamiser vos réunions, La
Poste vous accueille sur le site de sa plateforme
industrielle courrier située à Sassenage. A la
pointe de la technologie, elle traite l’ensemble
du courrier de l’Isère et de la Savoie.
La Poste vous propose gratuitement :
• La mise à disposition de salles
•Un accueil café et une restauration sur
place
• La visite du site de production
• Une présentation des Solutions Business de
La Poste
Vous pourrez ainsi découvrir un univers
inconnu jusqu’alors.
Pour plus de renseignement,
contactez : Eric Baretta au 06 83 81 53 88
ou [email protected]
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LES SUCCES LEGLISATIFS
DU MEDEF
Comme chaque année,
le MEDEF synthétise
les principaux succès
législatifs obtenus par
notre
mouvement.
Ces succès législatifs
sont d’autant plus
grands lorsqu’ils sont
associés à une forte
mobilisation
des
adhérents. L’édition
2012
vient
de
paraitre et fait ressortir l’action résolue du
MEDEF qui a permis d’infléchir la politique
initiale du Gouvernement qui a reconnu
l’impératif catégorique de restauration de
la compétitivité.
ADHERENTS, C’EST A VOUS
DECATHLON
Pouvez-vous nous présenter DECATHLON en quelques mots ?
DECATHLON est né en 1976 dans le Nord. Avec une promesse qui a évoluée depuis
mais qui reste dans l’esprit initial : «Créer l’envie et rendre accessible au plus grand
nombre le plaisir et les bienfaits du sport». Contrairement à ses «cousines» Leroy-Merlin,
Boulanger, Norauto... , filiales à 100% du Groupe Mulliez (Auchan), DECATHLON se
singularise dans cette nébuleuse par le fait que notre PDG fondateur, Michel Leclercq,
est encore à ce jour actionnaire majoritaire avec ses enfants. Le Groupe Mulliez possède
moins de 40% de l’entreprise ayant pour conséquence un libre-arbitre total dans les
décisions stratégiques.
En 2008, la holding Oxylane a été créée, regroupant d’autres formes de vente autour
de nos marques propres (dites «Passion» en interne), mais aussi une agence de voyages,
de la restauration «saine»... DECATHLON, fer de lance de cette holding, est présent
dans 20 pays et a émis plus de 55.000 fiches de paie au mois d’août 2013, dont
environ 25.000 en France.
La production est aussi un enjeu majeur pour le Groupe. 70% de notre production est
réalisée en Europe pour favoriser les «circuits courts» afin d’avoir une forte réactivité en
cas de succès ou d’échec d’un produit, plutôt que de faire la course au gain du centime
d’euro. Et notre production en Asie est très fortement encadrée par des organismes
externes et des auditeurs internes afin de respecter le code du travail et les travailleurs
locaux dans le respect de nos valeurs.
Comment réagissent vos clients face à la conjoncture ?
Notre positionnement prix est relativement bas, tout en conservant la qualité de nos
produits (nos vélos sont désormais garantis à vie !). Et lorsque le pouvoir d’achat baisse
pour les ménages, DECATHLON devient une destination principale pour ceux-ci pour
s’équiper sportivement. Notre positionnement basé sur «technicité forte des produits/prix
bas» est gage durable de satisfaction et fidélité clientèle. Cependant, sur ces 18 derniers
mois, le panier de dépense de nos clients a baissé significativement. Nos clients vont
vers l’essentiel. A nous aussi de mettre en avant nos innovations produits pour donner
envie aux clients de découvrir de nouveaux sports (ex : la «tente 2», auto dépliable et
auto-pliable).
Quelles sont vos perspectives d’avenir ?
En France, le réseau est bien tissé par l’enseigne DECATHLON. Les perspectives sont
donc principalement axées sur des extensions de nos magasins existants et l’ouverture
d’une trentaine de points de vente dans les 10 ans. Au niveau mondial,
les perspectives sont immenses ! Et puis, depuis le 15 août, nous
avons décidé de baisser le prix de 1560 articles pour permettre à
notre clientèle de gagner en pouvoir d’achat. Et même si 2013, voire
2014, ne resteront sans doute pas dans les esprits de nos dirigeants
comme des crus exceptionnels, je suis résolument optimiste et confiant
sur notre avenir, mais aussi sur celui de notre Pays et de l’Europe dans
son positionnement mondial.
Si vous souhaitez les recevoir, contact :
[email protected]
Directeur de publication : Emmanuel BREZIAT
Réalisation et Impression : Imprimerie Ruzzin - Moirans
Dépôt légal : septembre 2013 - ISSN 2110-820X
MEDEF Isère — 66 bd Maréchal Foch — 38000 Grenoble - Tél. 04 76 49 25 60
Olivier EHRSAM
Directeur du développement Région Rhône-Alpes
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