Chapitre 3 : Le désir
Intro : Distinction entre le désir et le besoin
I- Def du désir traditionnelle comme manque, avec Platon et le mythe
d’Aristophane.
II- Objection à cette def traditionnelle, avec Deleuze
III- Faut-il juger le désir ?
a- Platon
b- Schopenhauer
c- Epicure
d- Spinoza
IV- Le désir constitue l’essence même de l’homme
a- Spinoza
b- Rousseau
V- Désir et passion, avec Rousseau
Conclusion : a- La Méttrie, avec Rousseau
b- Leibniz
Introduction
Distinction entre le désir et le besoin.
Le désir est fixé par l’imaginaire donc il est subjectif (propre un à sujet).
Le besoin a une dimension objective car il est fixé par la nature, donc cela nous est extérieur. Il a alors la forme
d’une contrainte. Il y a un enjeu vital. Les activités du travail et de la technique permettent de satisfaire nos
besoins vitaux. Ils sont universels et pour certains d’entre eux, il est quantifiable (comme par exemple de
diététicien avec les rations alimentaires).
L’opposition des deux est à nuancer
Cela annonce la confusion, c'est-à-dire qu’on nous fait croire qu’on a besoin de quelque chose alors qu’en fait,
ce n’est qu’un désir La vie ne se fait pas sans la satisfaction des désirs ou des besoins. Dans le cas du besoin il
s’agit de vivre, alors que dans le désir, il s’agit de bien vivre. Tout est axé sur l’amour propre, qui fait passer le
paraître avant l’être.
Par quels moyens le paraître supplante et domine l’être ?
Par l’intermédiaire de l’avoir. L’infériorité est excentrée. On est rien d’autre que ce qu’on paraît. C’est l’idée de
se rendre esclave de quelque chose.
Le désir doit-il être opposé à la nature ? N’y a-t-il pas dans le désir quelque chose de naturel (au sens de la
nature humaine) ?
I- Définition traditionnelle du désir comme un manque
Def de la philo
Elle s’enracine dans le manque de sagesse, du coup, la conscience du manque va déterminer un désir ; celui de
complétude. La philosophie est toujours un intermédiaire entre l’ignorance et la sagesse. Ce qui constitue pour la
philosophie le moteur de la recherche, c’est le désir. C’est parce que le désir est conscient du manque qu’il est
moteur. Par exemple, l’ambition, le pouvoir, la richesse, le savoir la beauté, etc … Les hommes font tout leur
possible pour parvenir à cela. Parfois, cela touche au domaine de la passion.
Projet
Ce qui est jeté devant.
Le désir anime l’homme.
Platon et le mythe d’Aristophane, dans Le Banquet (une des dialogues de Socrate)
Le mythe au sens philosophique, est un récit d’où on dégage un intérêt philosophique.
Le thème du banquet, est l’amour. (Voir page 93, 94, 95, 96)
Aristophane dit qu’à nos origines, nous n’étions pas comme aujourd’hui. Les êtres étaient doubles, et avaient
beaucoup d’orgueil. Les genres étaient plus subtils, aux nombres de trois : mâle, femelle et le 3e genre est
l’androgyne (une moitié mâle, une moitié femelle). L’homme escalade le ciel et les dieux, pour le punir le coupe
en deux dans le sens de la longueur.
Dans le cas des êtres mâles initiaux coupés en deux, il y aura deux moitiés. Ils vont chercher à restaurer l’unité
primitive. Au lieu d’être un, les êtres cherchent à être deux.
Dans le cas des êtres femelles, il y a ce même désir de complétude (ce qui explique les attirances et affinités
mâle/mâle, femelle/femelle).
D’après ce mythe, dans notre nature, nous ne sommes plus qu’une moitié c'est-à-dire une blessure qui ne se
refermera jamais. La blessure est définitive et laisse des traces. La trac mentale est le désir. Il nous fait défaut
mais il porte nécessairement sur quelque chose qui nus manque. On ne peut pas désirer ce que l’on a, ou ce
qu’on est. On ne peut pas désirer la réalité. Si le désir est fécond, c’est qu’il est capable de réaliser quelque chose
qui n’est pas. Il s’ajoute à la réalité. Notre nature peut être une blessure psychologique. A la naissance, nous
sommes chassé du paradis originel, séparé de la mère (voir complexe d’Œdipe, retrouver l’état primitif). Le
désir est marqué par l’altérité (c’est se trouver condamner à airer. Par exemple Don Juan désir une autre femme
que celle qu’il connaît, son idéal. C’est pourquoi il est condamner à chercher un être fantasmatique.
L’imaginaire va atténuer la blessure), pour améliorer la réalité (exemple de l’utopie de Thomas More et Erasme
pays idéal).
L’humanité est un bloc dans son essence même par le mythe et la blessure.
Si le désir est bien inscrit dans l’esprit de l’homme, on a une approche singulière du mal-être et du malheur.
Ont-ils des effets créateurs ? Le bonheur est-il synonyme de somnolence ? Faut-il souhaiter être
insatisfait ?
II- Objection à cette définition traditionnelle avec Deleuze
Critique de Deleuze montrant que le désir est comme un manque.
Le désir est le manque de rien. Le vide est quelque chose qui indique l’absence. Mais selon Deleuze, il est riche,
productif et fécond. Il y a parfois une surabondance de créativité
Pourquoi est-il fécond et parfois surabondant ?
Il déborde, il ne manque de rien. Par exemple, il est producteur du fantasme. Le désir s’exprime ainsi. Il n’y a
pas de manque car il y a l’expression de l’état du désir. Puisqu’il y a le fantasme, le désir n’est pas dit, il
s’exprime. La fantasme est purement intérieur mais dans le cas précis de l’art, il peut nourrir l’inspiration de
l’artiste afin d’aboutir à une œuvre.
C’est quelque chose qui devient universelle. Le désir est peut-être marqué par le manque. Ce n’est pas le besoin
qui sert de support au désir. Pour Deleuze, c’est l’inverse. Le besoin, dans sa dimension matérielle, est premier
dans les deux sens : chronologique et logique. Le désir serait alors la conséquence du besoin. Par exemple, la
nourriture est fixée par la nature, fonction objective. C’est le désir qui va prendre en charge ce besoin matériel
et biologique et lui donner la forme de la gourmandise (fantasmatiquement). C’est le besoin qui est la source du
désir. Deleuze inverse le rapport : le désir est la source du besoin. Le besoin conserve sa dimension matérielle,
qui se met au service du désir.
Par exemple la mode. C’est un moyen matériel du désir pour le besoin d’être reconnu. Autre exemple, celui de la
domination de l’homme. C’est certes un manque, mais un manque actif et productif. C’est un désir qui détermine
la recherche.
III- Faut-il juger le désir ?
C’est presque une dimension morale (voir introduction de la conscience au sens morale). Les philosophes ont des
avis différents en ce qui concerne le désir.
a- Platon
Il condamne le désir sévèrement.
Le dialogue du Phédon.
« Philosopher, c’est apprendre à mourir. »
Le désir est toujours lié au corps. Il y a un enjeu : l’âme. Le désir enchaîne le corps à ce qui est terrestre et
matériel, à l’exemple du désir de richesse où l’âme reste prisonnière du corps
SomaPour Socrate, c’est le corps d’où l’adjectif somatique.
SemaLa prison, ou le tombeau, où l’âme meurt.
Le corps est l’enveloppe matérielle de l’âme.
« Ceux qui, au sens droit du terme, se mêlent de philosophie réellement, s’exercent à mourir. » Phédon
La mort est en fait l’invitation à l’ascétisme qui est le fait de s’infliger volontairement des privations au corps
afin d’oublier tout désir, et libérer l’âme afin de se concentrer entièrement à la spiritualité.
Le corps alourdi l’âme et l’empêche de s’élever à la spiritualité. Il faut envoyer promener le corps. La même âme
peut être incarnée dans plusieurs corps. Un homme bon va se réincarner en quelqu’un de meilleur. Il va accéder à
la libération de l’âme. Cette mort a eu un certain succès dans les religions.
La mortification est le fait de punir le corps parce qu’il est responsable du pêcher. Dans l’esprit de Platon, il fait
obstacle (il doit être écarté par l’ascétisme, dimension métaphysique) à l’élévation de l’âme.
Second dialogue, La République
Il imagine de hiérarchiser la société selon les facultés de l’âme : sagesse (philosophe roi ou roi philosophe),
volonté (détermine le courage, soldat ou gardien), et le désir (il correspond au travail. Pourquoi ? Les artisans
produisent ce que le désir veut).
La philosophie de l’ascétisme est elle un moyen efficace ? Cela libère t-il vraiment l’âme ?
Inquiétude = opposé de la quiétude (paix). Trouble qui empêche d’atteindre ou de conserver la paix.
L’ascétise est une frustration qui taraude l’âme, qui ne lui laisse pas de répit. C’est pour quoi, pour Platon, il faut
l’écarter.
b- Schopenhauer
La philosophie du nihilisme, la philosophie du désir. En latin, nihil signifie « rien ». Sur quoi porte le rien ? On
ne peut pas dire qu’il n’a rien, sinon, on ne pourrait pas le nommer. En fait, ce n’est pas l’existence des choses
mais leur valeur. L’homme cherche à donner un sens à ce qu’il fait, il a des sentiments. On fait croire qu tout ce
qu’il fait a de la valeur mais ce n’est que des leurres.
Le nihilisme, c’est le fait de donner de la valeur à ce qui n’en a pas. C’est une illusion. La finalité, c’est l’espèce
qui nous utilise pour le simple fait de se reproduire. L’un des leurres le plus important est le désir.
Démystification du désir
Vouloir (besoin) = privation = souffrance (la satisfaction met fin à la douleur)
Mais il y a également des restrictions
- Tout désir est un choix qui sacrifie les autres
- Disproportion entre l’attente du désir et de sa satisfaction
- Satisfaction provisoire qui fait renaître la souffrance par un nouveau désir.
- Métaphore du mendiant : l’aumône ne fait que prolonger sa misère
- Le désir = ni repos, ni bonheur durable
- Le désir est synonyme d’inquiétude
Allusion à la mythologie.
L’idée que nous avons du désir est que sa racine est le manque mais que c’est une promesse de plénitude à venir.
Selon lui, ce n’est pas la promesse de plénitude à venir mais au contraire un enchaînement de souffrances
nouvelles et de déceptions. Si on part de la def traditionnelle du désir, comme un mouvement, l’essence même
du désir est de poursuivre sa fin, sa satisfaction. Le désir est une souffrance.
Critique
Oui, la satisfaction met fin à la souffrance mais elle est illusion.
Le désir n’est pas unique car nous avons la possibilité de nous représenter plusieurs choses donc le désir excède
l’existence. La satisfaction n’éteint pas le désir mais au contraire en fait naître aussitôt un autre.
L’exemple du conquérant (Alexandre le Grand : il est dépassé par ses conquêtes, il meurt jeune). Selon
Machiavel, il a été dépassé par ses conquêtes et à la fin, se sait plus le gérer. L’exemple de l’Empire Romain qui
est devenu si vaste qu’il était impossible de le défendre. Le conquérant est victime de ses succès, non pas de ces
échecs. Avant d’être victime de ses victoires, il est victime de son désir.
Pour un désir satisfait, il y a d’autre désir que nous devons mettre de côté. Par exemple, le peintre qui ne peut
faire plusieurs toiles à la fois.
Le désir est donc une frustration et partiel. La promesse de plénitude ne peut pas être tenue car il y a une
déception avec la satisfaction. En effet, il y a l’attente car on ne peut satisfaire l’objet tout de suite. Dans
l’attente, on embellit l’objet et on se représente la satisfaction donc on est déçu à l’arrivée. Dans l’essence même
du désir, la déception est inscrite et décevante. Elle est provisoire, elle laisse la place à un nouveau désir, peut-
être plus fort encore.
Critique de la charité
Elle n’aide pas le mendiant, mais l’enferme dans la situation dans lequel il se trouve. La vraie charité serait de le
sortir de sa situation. S’il n’y a pas de pauvreté, il n’y aura donc plus de gens charitable.
Le bonheur n’a finalement qu’une def négative. Dans cette conception du nihilisme, c’est le fait de se détacher
provisoirement de la souffrance, la douleur et l’inquiétude. On ne peut pas définir le bonheur de façon positive.
On le définit par l’absence d’inquiétude (rare/instable)
Mythe des Danaïdes
Elles ont tué leur mari pendant la nuit de noce, sauf une. Elles ont été condamnées à remplir un tonneau per.
On peut comparer les Danaïdes au désir et au tonneau percé.
Dans l’esprit de Schopenhauer, on peut le juger. C’est l’un de ces leurres qui nous donne ce mouvement
indispensable à l’espèce.
c- Epicure
Sa philosophie refuse la débauche mais aussi l’ascétisme. Tout plaisir paraît agréable, ce qui nous incite à le
satisfaire. Il ne faut jamais saisir le désir sur l’instant mais le projeter dans le futur. Refuser certains désirs s’ils
se transforment en déplaisir. Accepter certaines peines si elles se transforment en agréments.
Dans l’instant présent, il paraît agréable.
Sa philosophie est sévère, austère, qui refuse l’excès mais aussi le manque (autre déplaisir car l’âme se trouve
troublée).
Ataraxie
Absence de trouble pour l’âme. Ce qui trouble le plus l’âme, se sont les désordres du corps (ex : l’excès).
Ascétisme
Il est illusoire car il ne procure pas cette paix de l’âme, mais la jette dans l’inquiétude, selon Epicure.
Critique de l’ascétisme
Il n’atteint pas son but. L’âme est troublée par le manque. Cela veut dire que les première démarches du
bonheur, c’est d’apporter le bien être au corps.
Comment juge-t-il le désir ?
Il faut ramener le désir, qui est insatiable, au besoin, qui est facile à satisfaire.
d- Spinoza
Le désir est l’essence de l’homme et est amoral.
Texte page 226-227
Chaque chose ou être, a en soi quelque chose de particulier : la nature donne la volonté d’exister. Toute chose
fait des efforts pour persévérer dans son être. L’effort est une conséquence directe de la nature. Selon Spinoza,
c’est un droit naturel.
On ne peut juger que ce qui relève d’un choix. On ne peut pas juger ce qui ne peut pas être autrement.
Cet effort est universel et l’appétit est commun à tous les vivants.
Différence entre appétit et désir
L’appétit est universel. On éprouve à titre de sensation, celle de la fin.
Le désir est accompagné de la conscience. C’est une représentation, c'est-dire qu’il y a une double présence qui
prend ces distances par rapport à la réalité.
Est-ce que le désir est physiologique ou psychologique ?
Selon Freud, le désir a un encrage biologique
Par exemple le bébé. Pour lui, le plaisir c’est l’absorption de la nourriture. Le plaisir de l’enfant a une
dimension physiologique. Cet encrage va devenir progressivement psychologique. Par exemple le baiser avec la
bouche. C’est un passage à l’autonomie de la bouche comme absorption de la nourriture, au plaisir.
Le désir est un appétit, accompagné de la conscience.
C’est un effort universel pour persévérer et préserver son état qui vient de la nature. Le désir est donc le moteur
par lequel l’homme a envie d’exister.
L’ascétisme est contre nature. Il prive les forces de l’être pour exister. Il diminue les moyens d’exister.
L’excès est illusoire. L’ascétisme est « suicidaire » quand il va trop loin. L’excès, à l’inverse de l’ascétisme
augmente les moyens d’exister.
L’équilibre ; c’est ce qui Spinoza : il faut avoir envie d’exister et c’en donner les moyens. Le bon usage du désir
demande une réflexion du désir.
Nous jugeons une chose bonne, parce que nous la désirons. Nous ne désirons pas une chose parce que nous la
jugeons bonne.
Le jugement est préalable. Dans le désir, il n’y a pas de jugement. Ce que nous jugeons bon, peut être bon ou
nuisible. Par exemple, le masochisme (sadisme retourné contre soi-même autodestruction).
IV- Le désir constitue l’essence même de l’homme
Texte 9 pages 228
Qu’est ce que la superstition ?
Perversion du sentiment religieux (idée du sacré qui introduit une distance entre sacré et profane).
La perversion de la notion du sacré consiste à sacraliser le profane qui établit la vraie religion (pratique confuse
car elle annule la distance).
Par exemple, toutes les craintes nourries par la superstition. Les craintes sont sans fondements (compréhension
erronée du sacré).
Elle affecte au sens propre notre capacité d’agir.
Par exemple la pratique de la divination peut conduire à l’inaction ou à l’action avec tous les moyens pour
échouer. Ce qui est condamné par la superstition, c’est un certain désir. Le plaisir d’être craint.
Le plaisir est considéré comme source de désordre. C’est un interdit.
Le désir a longtemps été considéré comme responsable de la mauvaise nature humaine. Il faut le punir.
Distinction entre méchant et mauvais
Le méchant peut être causé par le malheur. On peut cesser de l’être.
Le mauvais, c’est l’idée du mal qui serait inscrit dans la nature même de l’homme, qui se développerait et
déterminerait sans cause particulière.
La nature humaine est considérée comme mauvaise car le désir est l’essence de l’homme, il est en lui. C’est
l’amoindrissement de la tristesse.
La mélancolie
C’est une dépression, une douleur morale et l’inhibition des forces motrices et psychomotrices. L’inhibition est
le fait de se refermer sur soi-me, ce qui empêche de s’exprimer.
Ce qui énerve, c'est-à-dire la privation d’un flux nerveux, c’est le fait de gêner l’existence même et aussi l’action
(ce qui enlève le désir d’entreprendre).
La « joie » dilate l’air.
L’envie, c’est celui qui voudrait que l’autre n’ait pas ce qu’il a, et qu’il ne soit pas ce qu’il est. Pourquoi ?
L’envieux ne se donne pas les moyens d’égaler les autres ou n’a pas les moyens de le faire.
Nietzsche
L’envieux diminue son rival, mais Nietzsche disait qu’il faut être fier de son ennemi. Par exemple l’arme de la
calomnie.
La généalogie de la morale
« Combien profond est le respect que porte à ses ennemis l’homme noble ! Et un tel respect est déjà un
pont vers l’amour… l’homme noble exige que son ennemi lui soit comme une distinction, il ne supporte
pas d’autre ennemi que celui chez qui il n’y a rien à mépriser et beaucoup à vénérer ».
Il est question d’amour de son prochain et même de son ennemi Bible
Première démarche de l’amour de l’autre
Rabaisser quelqu’un est synonyme de bassesse profonde. Cette superstition qui est une sorte d’envie revient à
inverser les valeurs. Cela concerne les plaisirs.
Quelle vertu est considérée par la superstition et l’envie ?
La vertu, c’est se renforcer face à soi-même pour vaincre les autres. Il faut lutter contre la lâcheté, la
paresse…les défauts.
Luttes et victoires contre soi-même.
Les larmes, les craintes sont synonymes d’impuissance, c'est-à-dire l’incapacité d’agir et d’extérioriser
efficacement son être dans le monde.
Faire de la tristesse et de la mélancolie une vertu est quelque chose de singulier. Au contraire, la vérité = porter à
une perfection plus grande.
Eloge de la joie
Perfection plus grande. Là où la tristesse et moindre, la joie qui amène à la divinité, opposée à la superstition.
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