Td - Architecture 26.03.08 Le wainwright Buikding, St louis, Missouri Louis-Henry Sullivan Fin 1880 floraison de gratte-ciels, dans les villes américaines à cette époque les immeubles sont bas : 3-5 étages. Pareille en France. On est habitués à une basse échelle. Pourquoi gratte-ciels ? 1871 incendie dévaste Chicago les constructions sont majoritairement en bois car c’est le matériau le plus abondant et le moins cher. Et les techniques de constructions, baloon frame : « charpente ballon », ce sont des charpentes clouées. Ce n’est pas très solide mais facile à construire et pas cher. Chicago a connu croissance dès milieu 19ème : en relation avec états du sud et midle-west et devient grand centre agroalimentaire des E-U. Dév d’une industrie et société qui développent le machinisme agricole et industrie du transport : locomotive, wagon Croissance industrielle et démographique très rapide et devient ville très riche : bourse du grain toujours a Chicago. Incendie détruit grande partie de la ville il faut construire rapidement donc on privilégie structures métallique : acier, surtout. Dispose de minerai de fer important. Bat en hauteur grâce à acier et progrès dans système de fondation et invention de l’ascenseur réduire temps de construction, trouver structures économiques. Ns les 90 on voit bat simples production qui se démarque des gratte-ciels des autres villes qui sont marqués par esthétique beaux arts qui masque ossature. Ici on veut construire à l’économie dons réduire les coûts. Mais dans le milieu des 90 on revient à esthétique beaux arts. On parle d’école de Chicago c’est les historiens de l’archi qui en parlent, logique de l’individualisme américain, constructions semblables. On trouve parmi les architectes, Sullivan est un des plus caractéristiques. Il a une formation d’ingénieur.Travaille avec Adler. Développe théorie architecturale sur gratte-ciels. Le Wainwright Building occupe la totalité du terrain, ménage une cour à l’intérieur, plan en U. On voit souvent atrium central dans les gratte-ciels. Ossature d’acier : poteaux en acier laminé, qui sont les éléments porteurs, pas besoins de murs porteurs. Espacement de poteaux important. Disposition rationnelle : couloir : espace servant qui répartit de chaque côtés les bureaux qui donnent sur l’extérieur.regroupement des sanitaires et ascenseurs. Plan variable d’un étage à l’autre : le plan libre que prône Le Corbusier. Poteaux sont enrobés en façade de brique, matériau réfractaire, pour les protéger des incendies. Rapidité extraordinaire de construction grâce à ossature métallique. Grille s’élève dans ciel, traduire sensation de hauteur. Partie centrale : éléments qui accentuent verticalité et couronnement qui marque la fin de l’édifice. Réservé surtout à banque, commerces et étage supérieurs pour bureaux. Conçoit édifice comme une colonne : base, fut, chapiteau. Tous les niveaux qui correspondent au « fut » sont indifférenciés pour verticalité et dynamisme. Toit-corniche marque bien le haut et la fonction. Façade exprime la structure. Ornementation naturaliste qu’il appelle « organique », décor qui se déplie de manière organique. Cette sobriété, volonté de rejeter toute ornementation historiciste contrairement à ce qui se fait habituellement à Chicago. Correspond à Art & Craft anglais. Chaque étage a son propre motif décoratif qui donne unité horizontale. Permet aux gens de s’approprier l’architecture. Dans les 90 lui est en décalage avec esthétique des Beaux Arts. Franck Lloyd Wright : le grand architecte de la fin du 19ème et début du 20ème siècle Il a fait Guggenheim Museum et a eu une grande influence sur les architectes du XXème. Il a renouvelé l’architecture domestique. En Europe il y a eu aussi renouveau de l’habitat domestique. Chaque pièce est individualisée. Selon Wright il faut ouvrir les pièce les unes sur les autres et va moduler les espaces en fonction de la lumière. Aussi jouer avec les couleurs et les matériaux et les sensations thermiques : synesthésies, multiplier les accidents. Prolongements vers l’extérieur, interpénétration des espaces intérieurs et extérieurs. Considère la maison comme une oeuvre d’art donc maîtrise toutes les phases de la construction et les détails. C’est un génie du dessin et de l’architecture, imagine les espaces dans sa tête et ensuite les dessine. C’est une architecture organique, adaptée au site, concept de prairie house. Rez-de-chaussée semi enterré car neige l’hiver. C’est aussi une architecture adaptée au maître d’ouvrage, elle sont donc toutes différentes. Dessine des espace qui traduisent les modes de vie des usagers, archi aussi en phase avec la mentalité américaine, se démarquer de l’influence continentale. Créer une architecture spécifiquement américaine. On bénéficie d’immense espaces, d’autant que clientèle aisée. Privilégie matériaux naturels, plutôt que modernes. Invente le « plan éclaté ». Une des premières maison où on voit une « descente à couvert » pour les voitures. Vestibule sans vision directe sur le living car masquée par cheminée. Chaque pièce s’étend vers un point différent : plan éclaté, plan rayonnant. Il y a une serre. Système d’entrée complexe, comme un labyrinthe, seuil sacré vers le foyer familial. Son père est pasteur, mise en avant des valeur familiales. Le foyer constitue un noyau central, c’est récurrent chez Wright et il y n’y a jamais de séparation entre les pièces de vie. Espaces très lumineux, fenêtres protégées par des toits débordants pour protéger du soleil en été. Joue sur les valeurs chromatiques et tactiles des matériaux, les sens sont sans cesse mis en éveil. Il joue sur les textures. Le mobilier est dessiné par wright.