Toumi Med Nejib G10 Abid Med Amine G10 Belyamani Saad G10 Sommaire ■ Introduction. ■ Biographie ■ Formation De L’architecte ■ Influences ( Sources D’inspiration ) ■ La Création D’un Nouveau Langage Architectonique ■ Les Principes De L’architecte ■ Exemples De Projets 1/WARD W. WILLITS HOUSE, (1902) 2/LA MAISON SUR LA CASCADE (1934-1937) 3/LE MUSÉE GUGGENHEIM (1943-1959) Notre exposé va porter sur FRANCK LLOYD WRIGHT qui peut être considérer comme le plus grand architecte américain. Nous allons exposer certaines de ses œuvres dans le but de monter son apport à l’architecture du 20ème siècle à travers sa méthodologie de projection et notamment sa conception de l’espace en retraçant l’intégralité de sa carrière depuis son apprentissage, à ses dernière œuvres en passant par la période de la prairie houses, les années passés au Japon, en Europe et en Californie et les dessins majeurs des années 20 et 30 et les usoniennes houses. BIOGRAPHIE: Frank Lloyd Wright naît en 1867 à Richland Center, dans le Wisconsin au USA. Il passa des années de son enfance à la ferme de son oncle ou son amour pour la nature se développa, et où il a apprit aussi à éduquer son regard grâce à tout un système de formes existant dans la nature. FORMATION DE L’ARCHITECTE: Frank a eu une formation en génie civil à l’université. Il manque de moyens pour payer des études à l’école d’architecture Deux ans plus tard, il quitte Madison pour Chicago avec la ferme volonté de devenir architecte. LES INFLUANCES ET LES SOURCES D’INSPIRATION : William Winslow House, River Forest, Illinois, 1893 L’influence de louis Sullivan transparaît dans les motifs de la grande baie en vitrail de la salle à manger. Sullivan empruntait Le vocabulaire de son ornementation à la nature: les arbres, les plantes, le feuillage, les fleurs, les cosses… Wright absorba une grande partie du sens ornemental de son maître et de son inspiration, et ses premières réalisations . Portent l’empreinte marquée de cette influence. Mais très vite son langage personnel s’imposa. LE JAPON Dans les maison de la prairies l’organisation de l’espace est presque similaire: pièces communicantes directement les unes au autres sans espace servant. Relation privilégier entre la construction et le site, et entre l’homme et son environnement. L’homme porté par l’habitation, s’associe à l’environnement. Maison japonaise traditionnelle Maison japonaise traditionnelle L’interpénétration intérieur et extérieure L’art graphique Néoplasticisme: « … j ’aimais m ’asseoir à la table a dessin avec le té et l ’équerre et inventer les motifs que vous voyer aux fenêtres, j ’ai crée tout un vocabulaire qui m ’est personnel dans ce domaine, cela bien avant Mondrian et tout ce qui pourrais suivre,… » L’art décoratif Wright dessina un mobilier qui s’harmonisait avec les lignes de décoration des pièces de ses maisons. Une table spécialement Conçue pour les repas et des chaises à haut dossier. Salle à manger, Maison Meyer, Michigan, 1908 LA CREATION D’ UN NOUVEAU LANGAGE D’ARCHITECTURE L ’ARCHITECTURE ORGANIQUE Wright choisit le mot « ORGANIQUE » pour décrire l’architecture qu’il proposait, dans la définition qu’il en donnait « ….Un édifice est organique lorsque l’extérieure et l'intérieur sont en harmonie, lorsque ceux-ci sont conformes au caractère et a la nature de son utilisation de sa réalisation, de son site et au moment de sa création…. » Wright « l’architecture organique » était appropriée au temps, au lieu et à l’homme Tout au long de sa carrière, son œuvre s’ordonna sur ces trois concepts qui ont pour but de créer un équilibre harmonieux entre: l’homme , la société et la nature Wright estimait qu’une construction était: * Appropriée au lieu si l’objet architectural s’insère harmonieusement dans son milieu naturel. * Appropriée au temps l’architecture est une construction qui doit appartenir a l’époque à laquelle elle est crée (employer les matériaux et les méthodes de construction qui sont disponibles au moment ou il est conçue) . * Appropriée à l’homme Wright soulignait que la mission première d’une construction était de servir ceux qui l’habitent. « la vérité de la construction est l’espace à l’intérieur duquel on vit, non les murs et le plafond». Wright LES PRINCIPES DE L’ARCHITECTURE ORGANIQUE 1/ L’horizontalité Accentuation des lignes horizontales par les toits débordants. MAISON FREDERICK C.ROBIE Chicago, 1908-1910. 1/ L’horizontalité Le toit débordant servait aussi à protéger les fenêtres contre les intempéries 1/ L’horizontalité La Hills / DeCaro House Utilisation de la peinture couleur marron des lignes horizontales 1/ L’horizontalité Utilisation de plusieurs longues fenêtres regroupées en bande horizontal pour former une bande afin d’assurer la continuité vers l’extérieur. Pour exprimer le besoin de l’homme d’être en contacte avec la nature, il faisait pénétrer la nature dans la maison. Maison Herbert Jacobs, 1948 2/ Liberté des espaces cuisine Maison William G. Fricke 1901-1902 séjour Il libérait l’espace en faisant continuer chaque pièce dans la suivante, éliminant les cloisons inutiles et donna ce qu’on a appelé le « plan ouvert » à la résidence familiale 3/ La lumière Salle a manger, Maison Ward W. Willits. 1902-1903. c’est un élément décoratif et qui donne à l’espace une qualité. Wright explorait les possibilités de l’éclairage naturel; mais aussi l’éclairage artificiel. 4/ Le rythme Marqué par le positionnement des fenêtres , ou des pleins et des vides qui servent à satisfaire l’œil. École Jiyu Gakuen Tokyo, Japon, 1920. 5/ L’orthogonalité LA MAISON SUR LA CASCADE 1934-1937 Grâce à des éléments décoratifs et constructifs, Wright traite les façades et chaque détails par des verticales et des horizontales, qui créaient un rythme fondamental que Wright appel « musique de l’œil ». Maison F.L.Wright, Oak Park, Illinois, 1889-1890 6/ L’asymétrie C’est un principe que Wright a souvent utiliser pour restituer une richesse au projet et pour sentir qu’il est plus naturel. Le musée Guggenheim New York-1959 Exemples de projets : ■ WARD W. WILLITS HOUSE, 1902 Highland Park, Illinois. ■ LA MAISON SUR LA CASCADE 1934-1937 Maison Edgar J. kaufmann, Mill Run, Pennsylvanie. ■ LE MUSÉE GUGGENHEIM 1943-1959 New York. WARD W. WILLITS HOUSE, 1902 Highland Park, Illinois. Référence : Le Byodoin Uji près de Kyoto: Construit pour la famille Fujiwara Yorimichi, le pavillon du Phénix fut transformé en sanctuaire en 1053. • Privilégier les lignes longues et basses. • Continuité des espaces vers l’extérieur. Elimination du grenier et du sous-sol, la maison plus longue que haute, s’élève directement à partir du sol. Fenêtres regroupées en bandes continues formant un ruban de lumière. Toiture à pente douce dotées de larges auvents. Les balcons projetés vers l’extérieur sont protégés par des parements en bois qui permettent de mettre à l’abri les murs en stuc de l’eau ou de la neige. Les maisons de Wright étaient en effet, alors, d'une absolue nouveauté. Ne serait-ce que leur plan intérieur dessiné comme si la maison ne constituait qu'une seule pièce. Puis il fit partir ses plans du centre de l'habitation, les pièces rayonnant du cœur de l'habitat vers l'extérieur. Autant que le terrain le permettait, Wright étalait ses maisons. Au lieu de protéger la maison contre la nature, ce qui était la tendance des hommes depuis l'origine de l'architecture, Séparation des espaces par des parements en bois coupés à angle droit. Eclairage zénithal de la salle à manger par des vitraux décorées LA MAISON SUR LA CASCADE Maison Edgar J. kaufmann, 1934-1937 Mill Run, Pennsylvanie. Wright atteignit le sommet de sa carrière avec la conception de la maison de compagne « Fallingwater ». En plaçant la maison au-dessus d’une cascade, Wright s’assurait que l’architecture et la nature consumeraient leur union. Il renforça cette relation privilégiée en imitant la forme et l’agencement des chutes d’eau dans le bâtiment même. Bien que la construction se détache d’elle même des environs et conserve son identité, elle est perçue comme un complément de la nature : architecture et nature, l’une et l’autre se magnifient mutuellement. Pour Fallingwater Wright trouva une pierre locale, qu’il découpa grossièrement en carrés et qu’il déposa en strates pour faire écho à la disposition naturelle des roches sédimentaires, qui forment de petites falaises de part et d’autre du ruisseau. L’architecture est une abstraction des matériaux qui la constituent et est indissociable du lieu qu’elle occupe. Intégration de la maison à la pente du site Plan sous-sol Plan Etage 1er Volumétrie Volumétrie La maison présente spectaculairement de larges surfaces vitrées et des portes fenêtres donnant sur des terrasses en porte-à-faux audacieux. Contrastant complètement avec la pierre, le béton armé des planchers et des plafonds en porte à faux est lisse,peint dans un ocre jaune automnal et ses angles sont arrondis. Les surfaces peintes forment un fond neutre sur lequel le jeu des ombres et des lumières crée par le soleil et les feuilletages anime les deux principaux niveaux de la maison Angle droit qui s’arrondi en cour de route Accès au torrent depuis le séjour Le Mussée Guggenheim « New York » (1943-1959) Une architecture plastique Le musée Guggenheim sur l’île de Manhattan , Il présente une très riche collection d’œuvres d’art modernes et contemporaines. Le plan du mussée Guggenheim COUPE LA COUPOLE Intérieur du musée Guggenheim Wright donne à ce musée une Forme nouvelle, qui ressemble Plus à une coquille qu’à une construction à poteaux poutres . Ce musée est une architecture plastique ou chaque niveau coule Dans l’autre , c’est à dire qu’il y a Une fluidité vertical , on vois plus la superposition et la coupure habituelle entre les niveaux . Intérieur du musée Guggenheim Pour donner plus de solidité pour cette coquille et pour qu’elle puisse accomplir son travail , Wright à incorporé des filaments d’acier partout dans la coquille en béton . Donc les calcules sont celle d’une structure en porte à faut continu et non d’une structure à poteaux poutres. Thanks for your attention