1. La distinction entre taux d'intérêt naturel et taux d'intérêt monétaire C'est ce qui permet à Wicksel de dire qu'a un moment donné les taux d'intéêt n'on pas assez baissé par rapport au taux naturel. Wicksell donne plusieurs définition succéssive du taux d'intérêt naturel; il le définit comme le rendement anticipé du capital nouvellement créée. Cett définition introduit le rôle des anticipations dnas l'annalyse des phénomène monétaires. Par contre dans ses premiers travaux, Wicksell avat définit le taux d'intéêt naturel de manière beaucoup moin moderne en le définissant comme le taux d'intéêret qui permettrai d'équilibrer l'offre et la demane de capital réel dans une économie qui fonctionerai sans monnaie c'est à dire en nature, d'ou le nom taux d'intérêt nature. Dan scette prmeière définiton ont est beaucoup plus proche de la productivité marginale du capital donc plus proche Keynes. Première critique est que l'on pourrait comparer un taux d'intérêt monétaire avec un taux d'intéret naturel qui lui est définit en volume. Deuxième problème est que la définiton en nature c'est ç dire en réel n'introduit pas une anticipation, donc elle ne tinet pas compte de la différence entre un rendement constaté et un qui est anticipé. Il s'agit en fait d'une défintion statitique. 2. Les processus cummulatif wicksellien La distinciton opérée par Wicksell entre taux monétaire et naturel lui permet d' apporter une réponse au paradoxe de Gibson. 1er cas: taux d'intérêt monétaire > naturel: cela veut dire que les entrepreneurs vont annuler,ou pour le moin reporter un certain nombre de projets d'investissement car le rendement attendu de ces projets est inférieur au cout de financement des projets. Si il y a diminution de l'investissment il va y avoir une demande bein qiu va devenir inférieur à l'offre de bien et ainsi les prix vont vont baisser. Deuxièmement si il y a moin de crédit à financé il y aura une demande moin importante, ainsi les taux d'intêret diminurons. Il y aura ainsi une baisse des taux d'intérêt monétaire ainsi qu'une baisse des prix nominaux jusqu'a ce que i restera supérieur à betta(i naturel). Si i = betta alors delat P = 0. On abiensure un raisonnement symétrique dans le cas ou i > betta. 2ème cas: cas inverse taux d'intérêt qui est supérieur au tux de rendemnt escompté ainsi delta I > 0 donc D>0 : delta P>0 et delta demande de crédit > 0 : delta i>0. AInsi delta P > 0, tant que i<betta bein que delta i>0 et que i tend vers betta. Si i=betta alors deltaP=0. (la politique monétair eà pour objectif de controler l'ind=flation par contre controer l'inflation ne repose plus sur le controle d'un agrégat monétaire cad que le comportement des banque centrale ne epout plus être expliquer par la théorie quantitaive. Elles controle des taux d'intéret dans le but de controler l'inflation.) .... L'agent économiqu voyant ce déséquilibre s'agrandir il sera encourager à rembourser plus vite ses dettes. Existe ils des mecanise qi permettrai de facon automatique qui permettraient de mettre fin à ce processus de déflation par la dette? Pour Fisher l réponse est clair, cela n'est pas possible, au contraire vont apparaitre trois mécanisme qui vont donner au mécanisme de déflation par la dette un caractère auto entretenu: La volonté de tout les débiteur de réduire en même temps leus dettes provoque une accéléartion du processus de déflation donc un alourdissement de la charge réelle de l'endettement. NOus avons un comportement tout a fait rationnel au niveau micro, par contre il est catastrophique au niveau macro car il conduit à une accélération du processus de déflation. L'effet d'encaisse réel ne pourra pas jouer pour Fisher, car pour qu'il fonctionne ilfaut que la monnaie soit une monnaie exogène, alors ue fisher lui cosidère une monnaie scripturale qui elle est endogène. Il n'y a rien à attendre d'une évolution spontanée des banques commerciales, cad qu'il ne faut pas s'attendre à ce que les banques elle meme augmente la masse de crédit qu'elle distribuent car elle connaissent un déséquilibre dans leur bilan cad que la valeur des atif aussi bien réel que financier qui servent de garantie au pret qu"elles ont accordé s'effondre aussi. PLusieurs causes de sur endettement ou pour lui la plus importante est une poltique de l'argent facile,les banques commerciales pratiquaient des taux d'intérêt débiteurs extrememet faible et si elle fesaient cela c'est parce que elle même avaient un cout de refinancement auprés de la banque centrale extremement faible. Donc la cause utltime est une poltiuqe monétaire laxiste. puis il arrive a un moment ou la banque centrale brutalement va modifier sa poltique monétaire, va augmenter son taux d'intéret de refinancement , son taux direcetru car elle fait désormer de la lutte contre l'inflation sa proiorité. En conséquence les banque commerciale ont répecuetr dans leur proprre taux directeir la hausse des taux d'intérêt, les entreprises , les ménage prennet conscience brutalement qu'ils sont trop endétté et qu'il faut se désendétter. L'analyse de keynes concernat fisher, il admet que son explication est pertinente et il l'a reprend a son tour. Six ans plus tard Keynes rejette la théorie de Fisher car fisher à conserver une analyse néoclassique de la formation des taux d'intérêts, cad que pour lui le taux d'intérêt c'est le prix de la renonciation à la consommation immédite donc c'est la rémunération de l'acte d'épargne. Alors que pour Keynes c'est le prix de la renonciation à la liquidité, à la thésuristaion. Cette diffférenciation a une grande importantce car si l'on retent l'annlyse de keynes alors il est possible d'introduire un nouveau mécanisme venant accentuer la déflation par la dette que Fisher ne pouvait pas introduire. Au fur et a mesur que la valeur des actifs financier ou immobilier s'effondrent les agent vont augmenter la part de leur patrimoine prennat la forme d'encaisse monétaire, cad vont thésauriser. Le patrimoine va avoir une importance de plus en plsu importante en terme d'encaisse monétaire ce qui amène à une situation de trappe à liquidité. 2. L'actualité de cette Pendant environs 13 ans le japon a connu une recession, c'est la recession la plus longue qu'est connu un pays dévellopé depuis la fin d la 2GM. Le taux de croissance du PIB en volum en moyenne annuel à été de 0, alors qu'entre 86 et 89 avant que a crise éclate ce m^me taux était de 5 a 6%. A partir de l'année 2000, le taux de chômage au japon est de l'ordre de 5% alors qu'avant 2-2,5%. Les causes de cette recession: Un système bancaire totalement innéficace et en plus ayant une très faible avertion pour le risque. Le dévellopement d'une bulle spéculative d'abord sur l'immobilier et sur le prix des actifs financiers. La mise en place d'un phénomène de déflation par la dette définit par fisher Le système bancaire ce caractérise par un très petit nombre de très grande banqe qui ont depuis très longtemps nouaient des relations étroites avec les très grandes firmes industrielles japonaises. Ont été fondée pour apporter une solution aux problèmes d'assymétrie d'information entre préteur et emprunteur.Au fur et à mesur cela à engendrer un capiatlisme de copinage, c'est à dre un capitalime dans lequelle les crédits bancaires ont été de plus en plus souvent accordé sur de critères personnels et de mon en moin sur des critères comptable de rendement attendus. Donc un stème bancaire d'autant moin efficace qu'il a été abrité de la concurrence étrangère. En plus d'être inneficace il avait une très forte avertion pour le risuqe car ces banque savait pertinnement que la banque du japon serient toutjours obligée de les refinancer car elle avaient des dimensions trop importantes pour les laisser faire faillite. Dans les années 80 ces banques japonaises vont financer une bulle spéculatives. Krugmanr que le miles carré = 2, 6km ² au centre de Tokyo avait une valeur financière a toutesles terres de californie. Entre 85 et 89, la capitalisation boursière a augmenter de 2,5 en l'espace de quatre ans. Taux d'intérêt débiteur extrement faible des abnques commerciales rend possible ectte bulle plus une profonde réforme fiscale qui a notamment provoquée des allégement sur la plus value sur le patrimoine. Cette bulle va éclater fin 89 pour la raison que brutalement la banque du japon augmente ces taux direceur( po laxciste a restrictive) les banques commericale elle meem récpercutent en augmentant leur taux direcetru, les agents ensuite prennent conscience de leur surendettement. POurqoui une recession si longue au Japon? Il y a e des erreurs de poltique économique de la part ausisi bien du gouvernement japonais en amatière de poltique budgétaire et de la part de la BC japonaise en matière de politique monétaire. Erreur po budg: en 1997 le gouverneent japonais met fin à la politqque budétaire de soutien de l'activité économique en augmentant les impots et ecci dans le but de réuire le déficit budgétaire. Sanction: l'un des grande banques japonaise fait faillite en 1997 ou la csq est la perte de confiance des ménages dans la banque commerciale et donc il y a une panique bancire les ménge cherchant à transferer leur dépot dans le système postale. Deuxième erreur la réaction de la banque du japon cad une erreur de po mo: elle va nier la gravité de la crise bancaire, cad qu'elle va considérer que cette crise n'est qu'une cris e d'illiquidité. Donc il faut permttre au banque de se refinancer à moindre cout, donc elle diminue son taux directeru, c'est ainsi q'en mars 99 son taux directeur est porté à 0%. Malgré cette poltique monétaire très laxciste les banque commerciae refuqsent d'accorder des crédits car ces banque traverse non pas une crise d'illiquidité ou du moin elle le sont mais ce n'est pas ca le problème, elle sont surtout insolvables. Quand une banque est insolvalble la solution est que les banques doivent être recapitalisée pour les rendre à nouveau solvable. Si système bancaire connait crise 'illiquiidté alors ce que ont à besoin c'est d'une banque centrale qui jout le rôle de pretteur en dernier ressort. Si un sytsème bancaire est en crise de solvabilité alors ce que l'on a besoin c'est un Etat qui va jouer le rôle d'investisseur en dernier ressort en gros ela revient à dire que l'Etat nationalise les banques temporairement, ce que les autorité japonaise ont toujours refuser car ont a faire une capitalisation de copinage. Comment le japon va sortir de cette recession? Il en est sortit en 2003 au redeméarrege e ses exportation vers la chine d'une part et evrs les Etats unis d'autres part. La crise japonaise avait atteint une telle ampleur que la valeur du yen par rapot au dollars et au yuan chinois que cela a permis une reprise des exportations. Si on compare avec la crise des Subprimes, ce qu'il y a de commun c'est biensur un processus de déflation par la dette ; un éclatemetn de cette bulle; une erreur d'analyse de la FED au départ (faillite de Lehman Brother) car la fed croit qu'il s'agit d'une crise de lqiuidité; les politiques budgétaires mise en ouevre dans la zone euro visant à réduire les déficits budgétairs. Le point de diergeance c'est que la fed américaine à très rapideme,nt compris son erruer initial du fait d'une crise de solvabilité et non de liquidiét ce qui fait que des la fin 2008 les EU la zone euros vont massivememnt s'engager dans des poltiques de recapiatlisaion des banques, ce que le japon n'a jamais voulut faire. Section: L'annalyse Deux cuorants de pensées qui se réclame de la pensée de Keynes : Nouveaux Keynésiens/Nouvelles école Keynésienne: donner des fondment rationnel donc micro à la rigidité des prix et des salires nominaux, cela veut dire que ce courant de pensée s'appuie sur des comportement de maximisation sous contrainte et ils retiennet l'anticipaion rationnelle. Par contre et en cela il vont se distinguer des nouveau classique ils vont mettre laacent sur l'imperfection des marché notmament sur l'assymétrie d'information. Deuxième grane hyp les marchés sont une très mauvaise procédure des coordination des agents. Cela débouchent sur des mofdèle de rationnement du crédit . Les post keynésien mettent l'accnt sur l'incertitude radicale , les comportement face à cette incertitude, sur la préférence sur la liquidité. Il rejettent totalement l'hypothèse des anticipations rationnelles.Ils mettent l'ccent sur le principe de la dmenade effective. La csq de ec courant est qu'il va mettre l'accent sur l'irrationalité des comportement . 3. Les analyses dévellopés par Il a mit l'accnt dans ses travaux sur l'instabilité financière inéhrannte aux économie de marchés. Inérhane veut dire qu'une économie de marché est forcément instable. Sa conclusion est que les procédure d'affectation des ressources rares par les marchés ne sont presque jamais efficiente et qu'en conséquence il faut mettre en place des instituios des administrations qui vont soit se substituer au écanisme de marché soit améliorer ces mécanismes et en particulier essayer de rendre plus stable le fonctionnement des marcé finaniers. Théprie: au fur et a mesure que l'endettement se dévellope sa qualité se dégrade. Il distinggue trois structures d'endettement: Une structure financière couverte "hedge finance": cela signifie que les profits bruts qui sont tirés d'un projets financé par endettement sont suffisant pour assurer à la fois le paiement des intérets sur ectte dette et le remboursement du capital. Structure financière spéculative: les profits bruts ne permettent plus que e rembouser les intérêts de la dette, par contre le remboursement du capital exige un nouvel remboursement. structure finanicère à la "Ponzi": ici les profits bruts sont soit trop faible ou carréement inexistant et donc le remboursement des intêret et du capital vont exiger de nouvelles dettes. Nécessairement la croissace économique fait que l'on va passer à une structure de type 1 à une structure de type 3. Lorsqu"l y a croisance écojomique les structures économiques vont devenir de moin en moin stables, de plus en plus fragile. M. dit qu'on doit faire face à des comportement irrationnel "paradoxe de la tranquilité". Une économie qui connait une croissnac érgulière va incité a faire prendre des risques aux agents cr sont persuads que cette croissance va se poursuivre. Le degrès d'avertion pour e rsque va fortement diminuer. Vont se mettre à financer des projets de plus en plus incertain qui quelques années auparavant n'auraient pas été financés. Le thém principal est que c'est parce qu'il y a croissance économique qu'il y aura un effondremnrt des marchés. POur l'éviter il s'agirait de mettre en place des institutions des mécanisme économiques, qui empèchent le passage à une structure de type 3, c'est le problème de l a"régulation des marché".