Session de : JUIN 2009 Examen de : Master 1 Economie et finance internationales Magistère économie et finance internationales Epreuve de : Economie et politique monétaire Durée : 1 heure QCM (6 points) 1. Les contrats (salaires, prêts) peuvent être facteur de déflation Vrai Faux 2. Quand les prix d’actifs s’effondrent, le risque de déflation est plus fort que celui d’inflation Vrai Faux 3. Le développement des échanges internationaux favorise l’inflation mondiale Vrai Faux 4. Bale 2 renforce le comportement cyclique des banques Vrai Faux 5. La croissance du crédit est un préalable à la déflation Vrai Faux 6. Pour les monétaristes, la lutte contre l’inflation a renforcé le risque de crises financières Vrai Faux 7. La courbe de Phillips renforce l’hypothèse de neutralité de la monnaie Vrai Faux 8. Pour la théorie des anticipations rationnelles, la politique économique conjoncturelle est contre-productive Vrai Faux 9. Un choc d’offre réduit l’inflation Vrai Faux 10. Comme la Fed, la BCE quantifie son objectif d’inflation Vrai Faux 11. Depuis la création de l’euro, la politique monétaire américaine a toujours été plus expansionniste que la politique monétaire européenne Vrai Faux 12. Pour Kydland et Prescott, les fluctuations économiques s’expliquent par des chocs réels Vrai Faux RÉPONSE RAPIDE (14 points) 1. Quelles sont les trois évolutions depuis 1976 qui ont profondément modifié le contexte de la politique monétaire ? 2. Qu’est-ce qu’une politique monétaire crédible ? 3. Que montre la règle de Taylor ? 4. Quels sont les risques pour une Banque centrale de chercher à contrôler les prix d’actifs ? 5. Quels sont les trois « succès » sur lesquels repose le « Paradoxe de la tranquillité » de Minsky ?