LIRE et répondre à des questions

publicité
Lire, débattre, dire, écrire - Le loup et les sept chevreaux II
LIRE et répondre à des questions
La chèvre est-elle peinée de la disparition de ses enfants ? Justifie ta réponse en t’aidant du texte.
Comment la chèvre a-t-elle l’idée que ses petits pourraient être encore en vie à l’intérieur du ventre du loup ?
Que va chercher le chevreau à la maison ?
À la ligne 83, il est écrit : « il ne remarqua rien et n’esquissa pas le moindre geste ». Par quel synonyme (mot
ou expression de même sens), pourrait-on remplacer le verbe esquisser dans cette phrase ?
5** Après s’être réveillé, le loup devine-t-il ce qu’il a dans le ventre ? Justifie ta réponse en t’aidant du texte.
6** Dans quel sous-genre littéraire classerais-tu ce conte ?
a) Un conte moral (Le conte moral nous enseigne qu’il faut faire le bien.)
b) Un conte merveilleux (Dans le conte merveilleux, la réalité est complètement différente de la nôtre - les
animaux parlent par exemple - et personne ne s’en étonne.)
c) Un conte fantastique (Dans le conte fantastique, la réalité ressemble à la nôtre, mais tout à coup la magie ou l’étrange apparaissent et changent complètement l’histoire.)
d) Un conte des origines (Le conte des origines nous explique pourquoi le monde qui nous entoure est
comme il est : par exemple pourquoi le dromadaire a une bosse.)
7*** Page 61, en plus de leur couleur et de leur police de caractère différentes du reste du texte, qu’ont de spécial les
paroles du loup, de la ligne 90 à la ligne 94 ? À quel genre littéraire cela te fait-il penser ?
8*** Lignes 82 à 84, les frères Grimm expliquent que si le loup ne sent pas qu’on lui recoud le ventre, c’est parce
que la chèvre le fait très vite. Qu’aurait-il pu sentir avant cette couture, sans que les auteurs ne nous expliquent
pourquoi il n’a rien senti ?
9.
Si tu en as le temps, invente à ton tour des questions sur le texte.
1*
2*
3*
4*
DÉBATTRE
•
•
Pensez-vous que le loup a bien mérité son sort à la fin de l’histoire ? Pourquoi ?
Que pensez-vous de l’attitude de la chèvre et des chevreaux à la fin de l’histoire ? Peut-on se réjouir ouvertement
de la mort de quelqu’un, même si c’est celle d’un ennemi mortel ?
DIRE
Dans le texte ci-dessous, sépare les groupes de souffle par un ou deux slashs (/ ou //) suivant la durée de la pause
entre deux groupes. Puis entraîne-toi à lire cet extrait à haute voix, comme un orateur devant un public : lis
dans ta tête tous les mots du premier groupe de souffle, puis relève la tête et dis à voix haute en regardant le
public ce que tu viens de lire dans ta tête, puis regarde à nouveau le texte, lis dans ta tête le second groupe de
souffle, relève la tête pour le dire à haute voix en regardant le public, et ainsi de suite jusqu’à la fin du texte.
À peine y avait-elle pratiqué une ouverture, que déjà un chevreau sortait la tête. Elle continua à
couper, et ses six enfants sautèrent l’un après l’autre du ventre du loup. Ils étaient tous en vie, sains
et saufs, car dans sa gloutonnerie, le monstre les avait avalés tout entiers. Quel bonheur ! Tous
embrassaient leur chère maman, et bondissaient de joie partout autour d’elle.
ÉCRIRE
Découpe ces images tirées d’un vieux recueil de contes écrit en allemand (la langue des frères Grimm), colle-les
dans l’ordre de l’histoire, et écris pour chacune d’elle, le passage de l’histoire qu’elle illustre.
Téléchargement