Lire à haute voix (le haîku
se lit normalement d’un
souffle)
Accéder aux premiers
éléments sémantiques
Découvrir l’organisation
de ce type de poésie
Projection de la 1ère de couverture « cent onze haîku »
Bashô.
Discussion autour de cette couverture
Emettre des hypothèses sur le contenu
Projection d’une double page pour confirmer ou infirmer les
hypothèses
→ collectif
Distribution d’un haïku /élève.
Lecture répétée individuelle et silencieuse.
Puis un élève lit son Haïku si ce dernier ressemble à celui de
quelqu’un d’autre, l’élève le lit à son tour.
Expliquer les ressemblances
→ par 2
Distributions de 3 Haïkus par groupe et remplir fiche de
lecture
→ collectif
Mise en commun
+
Trace écrite dictée par les élèves pour définir le Haîkus
Caractères qualifiés de « chinois » mais traducteur
Japonais.
Emergence de l’espace textuel
Ressemblance des mots
Evocation des thèmes de la nature, des animaux.
Evocation d’émotions.
Emergence des éléments communs à chaque haîku
(nombre de lignes de vers, de syllabes,
d’interjections, de signes de ponctuations.
Etablir une liste de mots
…
Produire un haîku en
respectant certaines
contraintes
Production
d’écrits
(1er jet)
Rappel de la définition de haîku
Proposition de produire des haîkus à partir d'une image.
poster de Yann Arthus-Bertrand
Présentation des posters
Recensement des évocations des posters (émotion,
suggestion, association d’idée…)
Établissement de listes de mots-outils à partir des images
(noms, verbes, adjectifs)
→individuel
1er jet : A partir le la liste de mots les élèves sont inviter à
produire leur haîku.