Correction partielle de l’activité 2 :
Eléments de correction de l’interprétation des documents étudiés :
Doc.1 p 3 p .206 : Au cours d’un effort, la fréquence ventilatoire et le volume d’air courant augmentent. L’augmentation
du débit ventilatoire permet un apport accru de dioxygène à l’organisme.
Doc.3 p.196 : Plus la puissance de l’effort augmente, plus la consommation en dioxygène augmente jusqu’à un certain
seuil (appelé VO2 max). Une fois ce seuil atteint, l’organisme ne peut pas consommer davantage de dioxygène. Un
effort plus puissant ne peut pas être réalisé, l’organisme atteint l’épuisement.
Doc.1 et 3 p .208 : Plus l’effort est intense, plus la fréquence cardiaque augmente jusqu’à un seuil qu’elle ne pourra
pas dépasser (qui dépend notamment de l’âge). Au cours d’un effort, la fréquence cardiaque augmente mais également
le volume d’éjection systolique. L’augmentation du débit cardiaque permet d’acheminer plus de sang et plus
rapidement vers les muscles pour les approvisionner en dioxygène.
Conclusion : Au cours d’un effort, afin que l’approvisionnement en dioxygène des muscles soit satisfait, il faut une
augmentation synchronisée du débit ventilatoire et du débit cardiaque.
Correction du bilan II :
1 : glucose
2 : ventilation
3 : circulation sanguine
4 : poumons
5 : respiratoires
6 : dioxygène
7 : fréquence cardiaque
8 : sang
9 : cœur
10 : poumons
11 : muscles
12 : augmente
13 : maximal