Un architecte digne de ce nom, contraint par la réglementation à prévoir un
bassin de rétention, aurait dû transformer cette contrainte en opportunité à
traiter cet espace sur le thème de l'eau. Un bassin d'agrément permanent
aménagé aurait eu pour avantage de constituer une réserve d'eau pour
l'arrosage des espaces verts. La résidence consomme entre 2000 à 3000m3 d'eau
pour cet usage (6000 à 9000€ par an).
Sous la pression du Conseil Syndical, le promoteur a consenti à faire réaliser des
travaux par l'entreprise responsable de ce lot sous les directives d'un architecte
paysager. Le résultat plus que médiocre n'est, à ce jour, pas encore réceptionné
(et pas réceptionnable !) près de 3ans après l'ouverture de la résidence !!!!