Publicité et Réalité Voilà ce que nous promettaient les Senioriales une résidence à la campagne dans un site arboré et fleuri, avec un petit ruisseau près de la piscine. Tout pour rendre agréable et douce une retraite pour séniors même actifs. Mais les Senioriales nous avaient caché que cet espace vert n'était :..... qu'un affreux bassin de rétention à l'allure de terrain vague. Triste réalité que nous avons découverte dans le dossier technique (du permis de construire) qui nous a été communiqué bien après la livraison de la résidence au prix de nombreuses demandes. Le document PCM2 (du permis de constuire) définit cette zone comme « jardin paysagé » ! (29 mars 2013) Un architecte digne de ce nom, contraint par la réglementation à prévoir un bassin de rétention, aurait dû transformer cette contrainte en opportunité à traiter cet espace sur le thème de l'eau. Un bassin d'agrément permanent aménagé aurait eu pour avantage de constituer une réserve d'eau pour l'arrosage des espaces verts. La résidence consomme entre 2000 à 3000m3 d'eau pour cet usage (6000 à 9000€ par an). Sous la pression du Conseil Syndical, le promoteur a consenti à faire réaliser des travaux par l'entreprise responsable de ce lot sous les directives d'un architecte paysager. Le résultat plus que médiocre n'est, à ce jour, pas encore réceptionné (et pas réceptionnable !) près de 3ans après l'ouverture de la résidence !!!!