o Face à une offre surabondante de produits et
de marques, ils ont appris à gérer l’embarras
du choix (génératrice d’angoisse, de remords,
de dépression post-achat, de diminution du
plaisir), sélectionner les produits, trouver
les meilleurs prix, réclamer, changer de
marque, négocier leur fidélité, utiliser
Internet pour préparer leurs achats avant
d’aller en magasin, …
o Bref, ils ont pris le pouvoir face aux
marques.
Les consommateurs changent d’attitude vis-
à-vis des marques
o Les clients en savent souvent plus que le
vendeur : vers de nouveaux types de rapports,
et un nouveau rôle du vendeur. C’est le
Client qui veut prendre l’initiative des
contacts via le média qu’il préfère (et qui
dépend de l’heure ou de son humeur)
o La marque n’est plus une amie : « on l’attend
au tournant »
Les consommateurs attachent souvent plus
d’importance à l’expérience d’achat qu’au
produit lui-même
o Comment satisfaire leur égo ?
o Parlez-moi de moi, il n’y a que cela qui
m’intéresse
o Théâtralisation de l’acte d’achat
Les consommateurs prennent conscience de la
valeur marchande de leur fidélité
o Ils fonctionnent désormais en appliquant la
politique du win-win
o Le principe d’en avoir le maximum pour le
minimum
o Le Capital-Confiance n’est plus une valeur
sûre
La satisfaction et la fidélité ne sont plus
synonymes