L1 Q4 Concepts fondamentaux de la psychologie clinique Cours

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L1 Q4
Concepts fondamentaux
de la psychologie clinique
Cours Magistral I
23 janvier 2017
Silke SCHAUDER
Professeure de Psychologie Clinique à l’UPJV, Amiens
Psychologue clinicienne, art-thérapeute
Cours conçu par Philippe Spoljar
http://philippe.spoljar.free.fr/index_fichiers/pgF29.htm
Brève présentation
•  Schauder, S. (dir., 2007). Pratiquer la psychologie !
clinique auprès des enfants et des adolescents. Dunod, !
Paris.!
!
•  Schauder, S. (dir., 2007). Pratiquer la psychologie !
clinique auprès des adultes et des personnes âgées. Dunod, Paris.
• 
!
!
!
•  Schauder, S. (dir., 2012). !
! ! !L’étude de cas en psychologie clinique. !
!!
!Quatre approches théoriques.!
!!!Dunod, Paris. !
Discussion
Conclusion
Bibliographie
!
!
Plan du cours!
Introduction
1.  Principes fondamentaux de la psychologie clinique
2. Introduction à la métapsychologie
3. Les processus psychiques
4. Le rêve et son analyse (I)
5. Le rêve et son analyse (II)
6. Psychologie clinique et psychopathologie
!
Bibliographie!
Psychologie clinique
Ciccone Albert, L'Observation clinique, Paris, Dunod, coll. "Les topos", 1998.
Pédinielli Jean-Louis, Introduction à la psychologie clinique, Paris, Nathan/
Université, coll. "128", série "Psychologie, 1994.
Prévost Claude-Marie, Janet, Freud et la psychologie clinique, Paris, Payot,
1973.
Prévost Claude-Marie, La Psychologie clinique, Paris, P. U. F., coll. "Que saisje ?", n° 2443, 1988, 1991.
Psychanalyse :
Freud Sigmund, Conférences d'introduction à la psychanalyse, Paris,
Gallimard, Folio/essais, n° 528, trad. de l'allemand Fernand Cambon, préface de
J.-B. Pontalis, 2010. [lecture obligatoire]
Freud Sigmund, Sur le rêve (1901), Paris, Gallimard, trad. de l'allemand par
Cornélius Heim, préface de D. Anzieu, coll. "Folio", série "Essais", n° 12, 1990.
Laplanche Jean, Pontalis Jean-Bertrand, Vocabulaire de la psychanalyse, Paris,
P.U.F., 1967.
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Bibliographie!
Études de cas
Dumet Nathalie, Ménéchal Jean, 15 cas cliniques en psychopathologie adulte, Paris,
Dunod, 2005.
Fernandez Lydia, Gaucher Jacques, (dir.), Psychologie clinique de la santé : 12
études de cas, Paris, In Press, 2012.
Loo Henri, Cas cliniques en psychiatrie, Paris, Flammarion, coll. "Médecine", 1997.
Marty François, (dir.), Psychopathologie de l'adulte : 10 cas cliniques, Paris, In
Press, 2009.
Pédinielli Jean-Louis, Fernandez Lydia, L'Observation clinique et l'étude de cas,
Paris, Armand Colin, col "128", 2005.
Samuel-Lajeunesse Bertrand, Guelfi Julien, Psychopathologie. Etudes de cas, Paris,
Puf, coll. "Psychologie d'aujourd'hui", 1975, 2ème éd. remaniée 1985.
Recueils d'observations
Frances A., Ross R., DSM-IV. Cas cliniques. Paris : Masson, 1997.
Samuel-Lajeunesse Bertrand, Guelfi Julien, Psychopathologie. Etudes de cas, Paris,
Puf, coll. "Psychologie d'aujourd'hui", 1975, 2ème éd. Remaniée 1985.
Spitzer Robert L., DSM-IV-TR. Cas cliniques, Paris, Masson, 2008.
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Plan du cours!
1. Principes fondamentaux de la psychologie clinique
1.1. La démarche clinique
1.1.1. La perspective singulière
1.1.2. Les sources de la discipline
1.1.3. L'institutionnalisation de la discipline
1.1.4. La psychologie clinique de tradition française
1.1.5. Les domaines d’intervention
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Plan du cours!
1.2. Les méthodes en clinique
1.2.1. Les deux niveaux d'analyse
1.2.2. L'entretien
Les éléments informatifs
Conduite de l'entretien clinique
Les effets thérapeutiques
1.2.3. L'observation
Spécificités de l'observation en psychologie clinique
Le jeu et les productions graphiques
Clinique du jeu
L'utilisation des productions graphiques
1.2.4. L'étude de cas
Définition de la psychologie clinique !
Quel est l'objet de la psychologie clinique ?
« La psychologie clinique, telle que nous la concevons, se distingue nettement de la
psychologie expérimentale. La psychologie expérimentale isole et dissocie les
éléments de la vie psychique. Elle suscite dans des conditions prévues d'avance, les
phénomènes de sensation, de volition, d'idéation qu'elle note et qu'elle mesure à
l'aide du calcul et des instruments enregistreurs. Elle conduit à des moyennes
d'autant plus satisfaisantes qu'elles sont plus abstraites et plus générales. C'est pour
ainsi dire la mathématique de la psychologie.
La psychologie clinique, au contraire, tout en puisant dans les recherches de
laboratoire de précieux renseignements, observe la vie psychologie elle-même,
considérée comme un tout concret et réel. Réunissant dans une vue d'ensemble les
réactions naturelles et spontanées du sujet en présence des excitations de tout genre,
elle en constitue un tableau synthétique, à dominante variable, qui exprime son
tempérament et porte la marque de son caractère. Par les influences combinées de
l'hérédité et du milieu, elle poursuit le développement, normal et pathologique de la
personnalité, la tâche n'est pas de schématiser mais d'individualiser »
Hartenberg et Valentin, Revue de psychologie clinique et thérapeutique, 1897
Définition de la psychologie clinique !
« On entend essentiellement par psychologie clinique une discipline
psychologique basée sur l'étude approfondie des cas individuels.
En termes plus précis, la psychologie clinique a pour objet l'étude de
la conduite humaine individuelle et de ses conditions, en un mot,
l'étude de la personne ‘en situation’. »
Daniel Lagache
Psychologie clinique et méthode clinique, 1949
« L’objet du psychologue clinicien est « l'être humain, en tant qu'il
existe et se sent exister comme un être unique, ayant son histoire
personnelle, vivant dans une situation qui ne peut être totalement
assimilée à aucune autre. »
Juliette Favez-Boutonier, La psychologie clinique :
objet, méthode, problèmes, Paris, CDU, 1966
!
CM du 6 février 2017
2. Introduction à la métapsychologie
2.1. Les quatre perspectives métapsychologiques
2.2. L'inconscient
2.3. Principe de plaisir et principe de réalité
2.4. La notion de pulsion
2.4.1. Les caractéristiques de la pulsion
Les pulsions partielles
2.4.2. La sexualité infantile
2.4.3. Les trois théories des pulsions
Pulsions sexuelles et pulsions d'autoconservation
Libido d'objet et libido du Moi
Pulsions de vie et pulsions de mort
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Plan du cours!
2.5. Les deux topiques
2.5.1. Inconscient / Préconscient / Conscient
2.5.2. Ça / Moi / Surmoi
2.6. Les stades du développement pulsionnel
2.6.1. Le stade oral
2.6.2. Le stade anal
2.6.3. Le stade phallique
2.6.4. La configuration œdipienne
2.6.5. La période de latence
2.6.6. L'adolescence
2.7. Les fantasmes
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Plan du cours!
3. Les processus psychiques
3.1. La notion de conflit
3.1.1. Définition du conflit
3.1.2. Variété des types de conflits
3.1.3. Les types d'angoisse
3.2. Les mécanismes de défense
3.2.1. Les principaux mécanismes de défense
Le déni
La (dé)négation
Le clivage (du moi, de l'objet)
La régression
L'identification
Le refoulement
La formation réactionnelle
L'annulation rétroactive
L'isolation
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CM du 27 février 2017
3.2. Les mécanismes de défense
Définition!
Il s'agit de « l'ensemble des opérations dont la finalité est de réduire, de
supprimer toute modification susceptible de mettre en danger l'intégrité et
la constance de l'individu bio-psychologique ». (Ionescu et al., Les
mécanismes de défense, 2012)
3.2.1. Les principaux mécanismes de défense
•  Le déni
Le déni peut se comprendre comme équivalent psychotique de la
dénégation. Il porte sur le réel, alors que la dénégation porte sur les
contenus intra-psychiques. Le déni consiste à refuser la réalité d'une
perception, parce qu'elle est vécue comme dangereuse ou douloureuse pour
le Moi.
•  La (dé)négation
La dénégation est le refus d'admettre une vérité. Freud en donne un
exemple : un névrosé lui relate qu'il a rêvé d'une femme. Il dit ne plus se
souvenir de l'identité de cette femme, mais être certain, en tout cas, qu'il ne
s'agit pas de sa mère.
3.2. Les mécanismes de défense
•  Le clivage (du moi, de l'objet)
Dans le mécanisme de clivage du Moi ("Ichspaltung"), le Moi ne parvient
pas à maintenir son unité. Plutôt que de maintenir un dialogue, un conflit
interne, il se divise en plusieurs fragments ne communiquant pas entre eux.
Distinction d’avec le clivage de l‘objet.
•  La régression
Le développement de l'enfant passe par différents stades : le stade oral, le
stade anal, le stade phallique (ou stade urétral) et, après la
période de latence, le stade génital. La sexualité infantile se voit partielle et
polymorphe : les pulsions, indépendantes, cherchent chacune leur propre
plaisir et il n'y a pas d'activité sexuelle unifiée. La régression sera dans ce
cas passage à un stade antérieur, par exemple du stade phallique au stade
anal. La régression au stade anal caractérise la névrose obsessionnelle.
3.2. Les mécanismes de défense
•  L'identification
L'identification est un mécanisme élaboré. Elle consiste à se reconnaître en
quelqu'un d'autre, à se prendre pour lui. Néanmoins, de nombreuses
identifications différentes ont été distinguées par les auteurs. Ex :
•  Identification à l’agresseur
Le sujet prend à son compte l’agression dont il a été l’objet en répétant le
comportement de son agresseur physiquement ou moralement.
•  Identification projective
Ce mécanisme de défense a été identifié et décrit par
Melanie Klein ; il est à l'œuvre au cours de la
position schizo-paranoïde. L'enfant se projette fantasmatiquement
à l'intérieur de la mère pour y exercer sa toute-puissance, elle aussi
fantasmée.
Stinguer de l’introjection et de l’ incorporation
Les mécanismes de défense!
!
•  Le refoulement
« C'est un mécanisme majeur lié à la culpabilité et qui contribue à tous les
autres mécanismes de défense. C'est aussi le plus complexe. Il est
constitutif de l'inconscient comme domaine séparé du reste du psychisme.
C'est par le refoulement que certains contenus inconscients ne parviennent
jamais à la conscience, et que d'autres y retournent. Le refoulement est
donc à la fois une pression/censure et un maintien. Le refoulement fait
retourner à l'inconscient des représentations liées à des pulsions, et risquant
de provoquer du déplaisir à l'égard du Surmoi et de la réalité extérieure.
Une représentation est refoulée quand elle subit l'attraction du noyau
inconscient pathogène et l'action de la censure (refoulement originaire +
censure). Ce n'est jamais la pulsion qui est refoulée, mais sa représentation
(la pulsion a deux aspects : l'affect et la représentation). L'émotion (l'affect)
n'est jamais refoulé. »
Les mécanismes de défense!
!
•  Le refoulement (suite)
« La représentation refoulée de la pulsion séjourne dans l'inconscient et va
s'y organiser. Elle va ainsi effectuer un travail de déformation et
d'éloignement. Elle va former des rejetons qui subiront chacun un destin
particulier. La charge affective, ou affect, va se lier à l'un de ces rejetons et
va tenter à nouveau d'émerger, et ce sera le retour du refoulé qui
s'exprimera dans les rêves, les actes manqués, les lapsus... etc. Rien ne
subsistera de la représentation première si ce n'est l'affect qui va provoquer
l'angoisse. »
•  La formation réactionnelle
C'est une attitude qui s'oppose à un désir refoulé et qui se constitue en réaction
contre celui-ci. Par ex. souci excessif de propreté pour lutter contre des désirs de
souillure.
Les mécanismes de défense!
•  L'annulation rétroactive
Dans le cas de l'annulation rétroactive, le sujet n'assume pas certaines
représentations lors d'actes ou de pensées. Il va tout mettre en œuvre pour
considérer que ces actes ou pensées n'ont jamais existé. C'est un mécanisme de
défense très régressif car il porte non pas sur une représentation mais sur un acte
même, c'est-à-dire sur la réalité.
•  L'isolation
Ce mécanisme consiste à isoler une pensée ou un comportement de son affect,
de son contexte affectif. La représentation est reconnue mais ne touche pas le
sujet. On retrouve ce mécanisme dans les névroses obsessionnelles, ainsi que
chez les sujets hystériques.
Mécanismes de défense!
•  L'idéalisation
L'idéalisation permet de protéger le bon objet des pulsions destructrices en
amplifiant ses qualités. Ce mécanisme permet de lutter contre l’angoisse
générée par l’imperfection de l’objet et la déception inter- et intrapsychique,
notamment chez les sujets états-limites.
A distinguer de la fonction du mauvais objet dont les défauts sont amplifiés de
manière exagérée.
•  La rationalisation
Procédé par lequel le sujet cherche à donner une explication cohérente, logique,
acceptable, morale à une attitude, un sentiment dont il ne perçoit pas les
véritables motifs. Le Surmoi cherche des appuis moraux, politiques ou religieux
pour renforcer les défenses du Moi. On parle aussi d'intellectualisation, dont le
but est de maîtriser en mettant à distance les affects et les pulsions.
Mécanismes de défense!
•  Le déplacement
L'affect associé à une représentation mentale dangereuse se détache de
celle-ci pour investir une autre représentation moins dangereuse.
•  La projection
La projection consiste à attribuer à autrui ses propres motifs, émotions,
idées ou pulsions inacceptables.
•  La sublimation
La sublimation dévie les pulsions sexuelles vers un objet socialement
valorisé. Il n'y a pas de refoulement (ce n'est donc pas à proprement parler
un mécanisme de défense) mais une conversion de ces pulsions dans un but
non sexuel qui revalorise le sujet. La sublimation ne se fait pas sous la
pression du Surmoi mais est de l'ordre de l'idéal du Moi. Trois
caractéristiques: déplacement d'Objet, changement de nature de la pulsion,
l'Objet visé est socialement valorisé.
3.2.2. Lieux et objets des mécanismes de défense
!
3.2.1. Les principaux mécanismes de défense (suite)
•  La conversion somatique
Dans la névrose hystérique, la conversion somatique est un
déplacement spécifique, à visée symboligène, d'un affect sur le
corps.
Classification des mécanismes de défense par Vaillant (1993)
• 
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• 
Mécanismes de défense d’allure psychotique : déni, clivage
Mécanismes immatures : dissociation, activisme
Mécanismes d’allure névrotique : refoulement, isolation
Mécanismes de défense matures : humour, sublimation
3.2.2. Lieux et objets des mécanismes de défense
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3.2.1. Les principaux mécanismes de défense (suite)
I. Mécanismes de défense pathologique (d'allure
psychotique)
Ces mécanismes psychotiques, lorsqu'ils sont prédominants,
engendre généralement des pathologies lourdes (ce
mécanismes sont très communs dans les psychoses). Leur
mode de fonctionnement consiste à nier la réalité et la
remodeler fondamentalement afin d'éliminer le besoin de s'en
accommoder (de faire avec, comme tout adulte sain). Ainsi, leur
caractéristique principale est de distordre l'image de la réalité.
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3.2.1. Les principaux mécanismes de défense (suite)
•  Le déplacement
L'affect associé à une représentation mentale dangereuse se détache de
celle-ci pour investir une autre représentation moins dangereuse.
•  La projection
La projection consiste à attribuer à autrui ses propres motifs, émotions,
idées ou pulsions inacceptables.
•  La sublimation
La sublimation dévie les pulsions sexuelles vers un Objet socialement
valorisé. Il n'y a pas de refoulement (ce n'est donc pas à proprement parler
un mécanisme de défense) mais une conversion de ces pulsions dans un but
non sexuel qui revalorise le sujet. La sublimation ne se fait pas sous la
pression du Surmoi mais est de l'ordre de l'idéal du Moi. Trois
caractéristiques: déplacement d'Objet, changement de nature de la pulsion,
l'Objet visé est socialement valorisé.
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Plan du cours!
3.2.1. Les principaux mécanismes de défense (suite)
•  Le retournement contre soi
Le retournement sur la personne propre est un destin pulsionnel au sens de
Freud. Cela consiste à retourner la pulsion contre soi-même. Ce mécanisme
est particulièrement visible dans le masochisme secondaire d'une névrose
obsessionnelle lorsque la personne retourne contre elle-même sa propre
agressivité par des auto-punitions ou des auto-mutilations. Il est également
appelé agression passive. Exemple clinique du suicide.
•  Le renversement en son contraire
Le renversement en son contraire fait partie des mécanismes de défense
névrotiques. Le renversement en son contraire est un autre destin
pulsionnel, avec le « refoulement », « le renversement sur la personne
propre » et « la sublimation ». Dans le renversement en son contraire la
pulsion originelle est inversée au niveau de son but. Par exemple, le
sadisme se transforme en masochisme.
Mécanismes de défense!
Sources :
Ionescu, S., Jacquet, et MM. Lhote, C. (2012). Les mécanismes de
défense: théorie et clinique, Paris, Armand Colin.
Laplanche, J. et Pontalis, J.B. (1967). Vocabulaire de psychanalyse, Puf,
Paris.
Sources électroniques :
http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychologie/
psychologie/mecanisme-defense.htm
https://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2005-3page-31.htm: Les mécanismes de défense par Henri Chabrol.
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CM du 13 mars 2017
4. Le rêve et son analyse (I)
4.1. Introduction
4.1.1. Théories antérieures
4.1.2. Sens et fonction des rêves
4.2. Les associations libres
4.2.1. Exemples de rêves
4.2.2. Conclusion théorique : le travail du rêve
4.3. Les types de rêve
4.3.1. Les trois groupes de rêve
Les rêves « sensés et compréhensibles »
Les rêves « déconcertants »
Les rêves « insensés et inintelligibles »
!
4.3.2. Les rêves de satisfaction d'un désir simple
4.3.3. Les rêves « de commodité »
4.3.4. La dramatisation des rêves
4.4. La condensation
4.4.1. La surdétermination
4.4.2. Les individus collectifs
4.5. Le déplacement
4.5.1. Une transvaluation des valeurs psychiques
4.5.2. Le rapport entre déplacement et restes diurnes
!
5. Le rêve et son analyse (II)
5.1. Les procédés de figuration
5.1.1. Les procédés primaires
La corrélation logique
La relation causale
L'alternative
La négation
L'opposition
La contradiction
L'analogie
La figuration du Moi
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5.1.2. L'élaboration secondaire
Les considérations d'intelligibilité
L'impact des fantasmes infantiles
La déformation versus production du sens
5.2. Le refoulement et la déformation
5.3. L'angoisse dans les rêves
5.4. La censure
5.4.1. Schématisation de l'appareil psychique
5.4.2. L'oubli des rêves
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CM du 27 mars 2017 et du 24 avril 2017
6. Psychologie clinique et psychopathologie
6.1. Concepts fondamentaux de la psychopathologie
6.1.1. La sémiologie : symptômes et signes
Du côté du sujet : le symptôme
Du côté de l'observateur : signes et syndromes
6.1.2. Maladies et nosologie
Les entités psychiatriques
Les classifications psychanalytiques
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6.1.3. La notion de structure
Conceptions générales
La structure psychique
Structure, personnalité, maladie
Les personnalités pathologiques
6.1.4. Les processus
6.2. L'évaluation clinique
6.2.1. L'analyse sémiologique
Le recueil des signes
Le regroupement par catégories
Le diagnostic psychiatrique
!
6.2.2. L'analyse psychopathologique
6.2.3. L'anamnèse et l'histoire du sujet
6.2.4. Les types d'angoisse
L'angoisse symptomatique
L'angoisse comme processus
6.2.5. Les mécanismes de défense
6.2.6. Les relations d'objet
6.2.6. La construction (pré-)œdipienne
!
6.2.7. Le narcissisme
6.2.8. La culpabilité
6.2.9. Structure et organisation de la personnalité
6.2.8. L'étude de cas en psychopathologie
• 
Présentation du patient
• 
Sémiologie
• 
Diagnostic
• 
Types d’angoisse
• 
Mécanismes de défense
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6.2.8. L'étude de cas en psychopathologie (suite)
•  Relations d’objet
- Relations à autrui
- Culpabilité
- Narcissisme
•  Personnalité
- Histoire
- Problématique oedipienne
- Organisation/structure
•  Synthèse
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