1
SECRETARIAT DETAT A LECONOMIE, RELATIONS ECONOMIQUES BILATERALES - ASIE /OCEANIE
Département fédéral de l’économie,
la formation et la recherche DEFR
Secrétariat d’Etat à l’économie SECO
Relations économiques bilatérales
Asie/Océanie
Berne, november 2016 Elise Nardin
Nouvelle-Zélande
1 Informations générales
1
Surface:
267’710 km2 (Suisse : 41’290 km2)
Capitale:
Wellington
Population:
4.4 Mio. (estimation juillet 2015)
Croissance de la population:
+0.8% (estimation 2015)
Chef d’Etat:
Reine Elizabeth II, représentée par le
gouverneur général Jerry Mateparae
(2011, pour un mandat de 5 ans)
Premier ministre (et Ministre du tourisme):
John Key (2014)
Vice-premier ministre (et Ministre des
finances):
Simon English (2008)
Ministre de l’économie:
Steven Joyce (2011)
Ministre du commerce:
Todd McClay (2016)
Ministre des affaires étrangères:
Murray McCully (2008)
Directeur de la Banque centrale:
Graeme Wheeler (2012)
1.1 Indicateurs économiques importants
2
1
Source: CIA, The World Factbook (octobre 2016)
2
Source: IMF, World Economic Outlook (octobre 2016)
2014
2015
2017
BIP (USD mia. prix courants)2
197.9
172.2
192.8
BIP/habitant (USD prix courants)2
43’469
37’066
40’596
Croissance (% du PIB prix constants)2
3.0
2.9
2.7
Taux dinflation (%)2
1.2
0.3
1.5
Taux de chômage (%)2
5.3
5.3
5.5
Balance courante (% du PIB)2
-3.1
-3.2
-3.5
Balance commerciale (USD mia)3
961
-972
-866
Dette extérieure (% du PIB)3
89’550
85’273
87’802
Dette publique (% du PIB)2
30.3
29.9
29.1
Réserves internationales (USD mia.)3
14.7
15.0
15.6
estimations pronostics
2
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1.2 Commerce extérieur (2015)
3
Exportations: 48.4 mia. USD (-1.6%)4
Importations: 46.7 mia. USD (+1.7%)5
Volumes
(mio.
USD)
Part
(%)
Volumes
(mio. USD)
Part
(%)
Vers:
Australie
9’005
18.6
De:
Australie
7’893
16.9
Chine
7’902
16.3
Chine
7’306
15.6
USA
5’865
12.1
USA
5’640
12.1
Japon
2’617
5.4
Japon
2’361
5.0
Royaume-
Uni
2’259
4.7
Allemagne
2’126
4.5
Corée du
Sud
1’417
2.9
Singapour
2’095
4.5
Suisse
199
0.4
Suisse
379
0.8
Exportations
Le moteur du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande est le secteur primaire, avec des
exportations s’élevant à USD 26 mia, représentant 53% de la totalité des exportations, et 75% des
exportations de marchandises. Les produits d’exportations les plus importantes sont les produits
laitiers (lait en poudre, beurre, fromage) avec 16.6% pour USD 8.1 mia et la viande avec 9.8% pour
USD 4.8 mia, suivis par des produits issus de la sylviculture (5.1% des exportations), et les fruits
(3.3%).
6
Les produits laitiers sont d’une plus grande importance pour l’économie néo-zélandaise. La valeur
ajoutée de cette industrie a chuté de 20% en 2015, notamment à cause des meilleures conditions
de production de 2014, mais également à cause de la chute des prix du lait sur le marché
international. Il semblerait néanmoins que la situation va aller en s’améliorant selon le Ministère
des industries premières, le but étant d’arriver à doubler les exportations du secteur primaire sur
la base de 2012 (NZD 32 mia) jusqu’en 2025.
En 2013, la Chine a dépassé l’Australie en qualité de premier partenaire commercial. Néanmoins,
le commerce de marchandises avec la Chine a également chuté en 2015. Les exportations néo-
zélandaises de lait vers cette dernière (le produit d’exportation le plus important) ont baissé
presque de moitié (-43.7%) par rapport à 2014. Le commerce bilatéral avec l’Australie, lui, a
augmenté (2014 : USD 8.1 mia.).
Importations
La structure des importations de marchandises correspond à l’image d’une économie développée.
Au sommet figurent les machines (USD 4.7 mia ; 10%), suivies par les véhicules (USD 4.6 mia ;
9.8%), le pétrole et le carburant (USD 3.4 mia ; 7.3%), tout comme par les produits électroniques
(USD 3.0 mia ; 6.4%). Il est intéressant de mentionner que la valeur des importations de pétrole
(et de ses dérivés) s’est réduite d’un tiers en 2015, chute à imputer à la baisse des prix sur le
marché mondial. Les volumes importés se situent, eux, au même niveau que ceux de l’année
précédente.
La Chine et l’Australie demeurent les deux pays les plus importants en terme d’importations néo-
zélandaises (Chine : USD 6.9 mia, légère hausse ; Australie : USD 4.2 mia, légère baisse). Malgré
l’importance de la Chine, l’Australie demeure le partenaire commercial le plus important de la
Nouvelle-Zélande en raison des exportations de service australiennes. Avec un accord de libre-
échange entre la Nouvelle-Zélande et l’UE (cf. chapitre 1.5), il sera intéressant d’observer
l’évolution des relations commerciales, et de voir si les exportations néo-zélandaises à destination
de l’UE vont remonter le classement de la provenance des importations de l’UE (à la 51ème place
en 2015, selon les dernières statistiques de l’UE).
3
Source: rapport économique de l’Ambassade de Suisse en Nouvelle-Zélande (mai 2016)
4
Source: Reserve Bank of New Zealand, Statistics New Zealand, Overseas Trade Statistics, Exports values (y/y%) (as of December
2015). Site consulté le 05.08.2016 http://www.rbnz.govt.nz/statistics/m8
5
Source: Reserve Bank of New Zealand, Statistics New Zealand, Overseas Trade Statistics, Imports values (y/y%) (as of December
2015). Site consulté le 05.08.2016 http://www.rbnz.govt.nz/statistics/m8
6
Source : Statitstics New Zealand
http://www.stats.govt.nz/browse_for_stats/industry_sectors/imports_and_exports/GoodsServicesTradeCountry_HOTPYeDec15.asp
x (Table 3: Total exports : calcul avec le cours du change moyen de l’année 2015 de NZD/USD = 0.699699 selon www.oanda.com),
visite du site le 12.04.2016
3
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Malgré la prédominance du commerce de marchandises, celui des services n’est pas en reste, se
situant à un total de USD 26.1 mia pour 2015, avec USD 12.4 mia d’exportations et USD 11.9 mia
d’importations.
7
Le tourisme contribue en large partie aux exportations de services (63% des
exportations pour 2015)
8
. L’augmentation constante du nombre de visiteurs étrangers et de leur
pouvoir d’achat a contribué à une croissance de 26% des exportations de tourisme pour l’année
2015. La grande majorité des touristes vient d’Australie, même si le rapprochement économique
avec la Chine a commencé à se faire ressentir dans l’augmentation des touristes chinois.
Investissements étrangers
La Nouvelle-Zélande bénéficie d’une bonne image auprès des investisseurs étrangers, grâce à sa
stabilité politique, son absence de protectionnisme et de corruption, ses institutions efficaces, un
secteur bancaire sûr, une fiscalité des entreprises attrayante et la qualité de sa main-d’œuvre. Les
infrastructures dans les secteurs des transports, de la logistique et des télécommunications sont
d’importance notoire pour le pays.
9
Depuis la fin des années 90, la Nouvelle-Zélande voit la croissance des investissements étrangers
directs et des investissements de portefeuille constamment augmenter. Au 31 mars 2015, le stock
total d’investissements étrangers directs se montait à USD 75.0 mia, et les investissements de
portefeuille à USD 111.7 mia. L’investisseur le plus important est l’Australie, suivis par les USA,
Hongkong et le Canada, lesquels ont augmenté leurs investissements de manière notoire ces
dernières années.
1.3 Situation économique
Structure de l’économie et politique économique
Le secteur primaire est le moteur de l’économie néo-zélandaise. Avec la récente chute des prix du
lait sur le marché mondial et la baisse de la demande chinoise, entre autres, le gouvernement,
dans un souci de diversification de son économie, a fait des secteurs innovants comme le health
tech et le bio tech, deux priorités de sa politique économique.
La Nouvelle-Zélande, un des pays ne connaissant presque aucune barrière au commerce, dépend
fortement de ses exportations. A ce titre, un abandon des taxes et subventions agricoles au niveau
international pourrait s’avérer des plus bénéfiques. Cette longue tradition de politique commerciale
extérieure est questionnée par le parti conservateur, en relation avec le Trans Pacific Partnership
(TPP), craignant une perte de souveraineté.
10
Ces dernières années, en marge de l’OMC, la Nouvelle-Zélande s’est tissé un réseau d’accords
bilatéraux et multilatéraux, ces derniers contribuant à 50% du volume d’échanges total. Avec la
signature du TPP et l’éventuelle conclusion d’un accord de libre-échange avec l’UE, cette part
devrait s’élever à 70%, respectivement 80%.
Conjoncture et perspectives
La croissance a repris après la crise financière grâce à la reconstruction de Christchurch, une forte
demande et les prix élevés des produits d’exportations agricoles (en particulier les produits laitiers),
ainsi qu’une immigration nette. Malgré un taux de croissance de 3.5% en 2014, le vent a tourné.
Depuis, le prix du lait sur le marché mondial a fortement baissé (quoiqu’atténué par la force du
NZD face à l’USD), et les effets positifs de la baisse des prix du brut se sont estompés. La
croissance prévue pour 2016 est de 2% et de 2.5% pour 2017.
A l’image de la Suisse, les finances publiques sont relativement saines, avec une dette publique à
hauteur de 30.3% du PIB (Suisse 46.2%). Le taux de change s’étant stabilisé, cet effet atténuateur
va disparaître pour l’année 2016. Les prix de la poudre de lait sur le marché mondial ont chuté de
USD 4'900 la tonne (Q2 2013) à USD 1'700 la tonne (août 2015). La Nouvelle-Zélande a un taux
de chômage relativement bas (5.3% fin 2015), et un taux d’inflation ayant atteint son plus bas
niveau situé en-dessous du niveau désiré par la banque centrale (1-3%).
Le marché immobilier est en plein essor, principalement dans les grandes villes, et surtout à
Auckland. Malgré des mesures de régulation, mais aussi fiscales prises en mai 2015, et les
banques ayant renforcé les conditions pour l’allocation d’une hypothèque, n’en demeure que le
marché reste sous tension, ce qui a des répercussions sur l’agenda politique.
7
Tableaux 2 et 5 (Table 2: Exports by destination; Table 5: Imports by source; calcul avec le cours du change moyen de l’année
2015 de NZD/USD = 0.699699 selon www.oanda.com)
8
Tableaux 3:Total exports; calcul avec le cours du change moyen de l’année 2015 de NZD/USD = 0.699699 selon www.oanda.com
9
Investment (domaines)
10
Discours PM Key à Auckland (janvier 2016)
4
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Les perspectives pour le développement économique de la Nouvelle-Zélande sont positifs malgré,
entre autres, une faible productivité, un taux d’exportations trop bas, une dépendance trop forte
par rapport au secteur agricole et aux investissements étrangers, et une mauvaise répartition du
revenu.
Compétitivité internationale
La Suisse et la Nouvelle-Zélande font toutes deux parties des Etats les mieux placés dans plusieurs
classements internationaux. Dans le Global Competitiveness Index 15-16 (WEF 2015), la
Nouvelle-Zélande figure au 16ème rang (Suisse : 1), alors qu’elle figure au 4ème rang dans le
Corruption Perception Index 2015 (Transparency International) (Suisse : 7). Les deux Etats se
talonnent dans deux classements, avec la Nouvelle-Zélande en 3ème position dans l’Index of
Economic Freedom (2016) (The Heritage Foundation) (Suisse : 4), et Auckland (3) suit Zurich (2)
dans le classement du Quality of Living Ranking (Mercer Survey 2016).
1.4 Participation à des organisations économiques multilatérales / accords de libre-échange
Principaux
processus/organisations
internationaux:
IBRD (International Bank for Reconstruction and Development),
IMF (International Monetary Fund), OECD (Organization for
Economic Co-operation and Development), WTO (World Trade
Organization), UN (United Nations)
Principaux
processus/organisations
régionaux:
APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation), AIIB (Asian
Infrastructure Investment Bank), EBRD (European Bank for
Reconstruction and Development), Commonwealth
curité:
ANZUS (Australia - New Zealand - USA Security Treaty)
Accords de libre-échange en
force
Régionaux: TPP
Bilatéraux: Australie, Chine, Hong-Kong, Corée du Sud,
Malaisie, Singapour, Thaïlande.
Accords de libre-échange en
négociation
Régionaux: Regional Comprehensive Economic Partnership
(RCEP) 11 inclus les 10 membres de l’ASEAN, ALE Russia-
Belarus-Kazakhstan Customs Union FTA, Pacific Agreement on
Closer Economic Relations Plus (PACER Plus), Environmental
Goods Negotiations (within the WTO), Trade in Services
Agreement (TiSA) (mené par l’UE, les USA et l’AU),
négociations ALE NZ-UE à partir de début 2017
Bilatéraux: Inde
2 Relations économiques bilatérales
2.1 Accords économiques (sélection)
La Suisse et la Nouvelle-Zélande étant membres de l’OCDE et de l’OMC, les relations
économiques bilatérales sont principalement régies par les règles de ces organisations.
Arrangement commercial du 5.5.1938 (formellement encore en vigueur)
Accord visant à éviter la double imposition du 6.6.1980 (en vigueur depuis le 21.11.1981)
Arrangement réglant l’échange de stagiaires (du 28.6.1984; en vigueur depuis le 1er mai
1984)
Accord sur le trafic aérien du 9.9.1999, avec accord extensif en vigueur depuis le
26.1.2007
12
11
Le Regional Comprehensive Economic Partnership (RCEP) est un ALE proposé entre les dix membres de l’ASEAN (cf. ci-dessus) et
les six Etats avec lesquels l’ASEAN a déjà signé des ALE (Australie, Chine, Inde, Japon, Corée du Sud et Nouvelle-Zélande). Le
RCEP inclut plus de 3 mio personnes, a un BIP combiné d’env. 17 trillions de USD et contribue à hauteur de 40% au commerce
mondial total. Le RCEP vise à couvrir le commerce de biens et de services, les investissements, la coopération économique et
technique, la propriété intellectuelle, la concurrence et le règlement des différends. Le RCEP est une voie possible vers une région
de libre-échange Asie-Pacifique qui, avec le TPP, contribuerait à créer une dynamique d’une réforme du commerce global. Le RCEP
et le TPP sont des initiatives qui contribueraient toutes deux à une intégration régionale plus poussée.
12
Un accord relatif à un trafic aérien complètement libéralisé (Open Skies) est entré en vigueur le 26 janvier 2007.
5
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2.2 Commerce bilatéral
13
L’échange de marchandises entre la Suisse et la Nouvelle-Zélande est marginal. Selon les
statistiques de l’administration fédérale des douanes (mai 2016), en 2015 la Suisse a exporté des
marchandises pour un montant total de CHF 183 mio (0.07% du volume total des exportations) et
importé pour CHF 95.4 mio (0.05% du volume total des importations).
Marchandises
La Suisse exporte principalement des produits pharmaceutiques, suivis par les instruments de
précision, les montres et la bijouterie, et la chimie. Les machines, appareils électroniques, les
produits agricoles, de sylviculture et de pisciculture viennent ensuite.
Quant aux importations, elles sont constituées principalement de produits agricoles, produits
pharmaceutiques et les instruments de précision, les montres et la bijouterie.
Services
Dans le commerce de services, les touristes suisses contribuent fortement aux exportations de
services néo-zélandais. 19'100 personnes en provenance de Suisse ont visité le pays en 2015, ce
qui représente une augmentation de 6.2% par rapport à l’année précédente ; et par rapport à la
taille de la population, représente le double des touristes en provenance d’Allemagne. La Suisse
se situe au 19ème rang de la provenance des touristes ayant visité la Nouvelle-Zélande.
Le potentiel de développement pour le commerce de marchandises et de services, tout comme les
investissements, est notable, en particulier dans les secteurs prioritaires pour le gouvernement
néo-zélandais suivants: les technologies agricoles et alimentaires, la reconstruction, la
biotechnologie, les énergies renouvelables et les technologies d’efficaci énergétique, les
technologies médicales, les TIC, et les industries créatives. SGE, tout comme les agences de
promotion UK Trade & Investment ou la New Zealand German Business Association, ont adapté
leurs activités en fonction.
2.2.1 Evolution du commerce bilatéral
14
Année
Exportations
(mio. CHF)
+/- (%)
Importations
(mio. CHF)
+/- (%)
Solde
(mio. CHF)
+/- (%)
Total
(mio.
CHF)
1990
148.8
28.3
49
8.9
99.8
n.a
197.8
1995
131.1
1
68.4
7.7
62.7
0.8
199.4
2000
145.8
3.6
96.7
14.4
49.1
21.5
242.4
2005
204.7
-25.5
92
(-11.2)
112.7
11.2
296.6
2010
220.0
15.7
92.0
-0.9
128.0
10.2
312.0
2011
198.8
-9.6
87.2
-5.2
111.6
-8.3
186.0
2012*
257.4
---
83.1
---
174.3
---
340.5
2013
226.2
-12.2
97.7
17.6
128.5
-26.3
323.8
2014
218.0
-3.6
95.2
-2.6
122.7
-4.5
313.2
2015***
183.0
-16.0
95.4
0.2
87.6
-28.6
278.4
(Total 1)**
98.4
4.1
48.4
12.6
50.0
-
146.8
2016 (I-IX)
147.1
4.7
73.8
2.1
73.4
-
220.9
*) A partir de 2012, modification de la méthode de calcul des importations (passage du pays de production au pays d’origine), ce
qui rend parfois difficile la comparaison avec les années précédentes.
15
**) "Total conjoncture" (Total 1): sans l'or en barres et autres métaux précieux, les monnaies, les pierres précieuses et gemmes, ni
les objets d'art et antiquités
***) Variation (%) par rapport à la même période de l’année précédente.
13
Source: Administration fédérale des douanes
14
Source: Administration fédérale des douanes (AF), statistique du commerce extérieur (2015). Total général (Total 2): avec l'or en
barres et autres métaux précieux, les monnaies, les pierres précieuses et gemmes ainsi que les objets d'art et les antiquités.
15
Chiffres du commerce incluant l’or, l’argent et les pièces de monnaie : depuis le 1er janvier 2014, le commerce extérieur est
comptabilisé avec l’or, l’argent, et les pièces de monnaie en fonction du pays et comme faisant partie intégrante de la statistique
suisse du commerce extérieur (total 2) intégré sur la base de données Swiss-Impex. Par conséquent, les comparaisons entre 2014
et les années précédentes ne sont plus possibles.
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