documents - médiathèque de Calais

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L’équipement RFID de quelques
documents
•
Journée RFID Calais 8 novembre 2007
Marc MESCHBERGER
Les principes adoptés
• S'assurer de la complétude du document lors des
transactions
• Rendre un maximum de documents empruntables à
l'automate
• Ne pas reconditionner un document
Le bureau d'encodage de la médiathèque
L'encodage
• L’initialisation de la puce se fait
Bibliocheck 4 conversion de Nedap
grâce
au
logiciel
• Nedap a paramétré deux élements par défaut :
– Le numéro national de la médiathèque
– L'antivol est activé (EAS on)‫‏‏‬
• Les deux manipulations que nous réalisons (deux premières
petites fenêtres sous le nombre de puces reconnues)
– Localisation du document (pour un automate de retour et tri)‫‏‏‬
– Encodage de la puce avec le code-barre de l'exemplaire
• Encodage des 55 000 documents a été réalisé en 3 mois et
demi avec l'aide de 4 contractuels et deux encodeuses
mobiles :
– Trois personnes par encodeuse, deux pour coller les puces, la
troisième encode (elles alternent les activités)
– Recotation de 25 000 livres et 1500 CD
L'encodage et l'équipement
• Depuis l'ouverture de la médiathèque, nous n'avons plus
qu'un poste d'encodage (même si les postes de prêt-retour
peuvent également servir à l'encodage).
– Dans le circuit du document, la puce est posée après réception et
vérification, en même temps que l'estampillage et l'apposition du
code à barres
• Avec notre logiciel Vubis-Smart (et même avec les
webservices), la complétude du document est vérifiée par la
partie RFID du logiciel :
– Lors du catalogage, la notice bibliographique décrit le contenu du doc
(1 livre et 1 carte par ex)
– un exemplaire est créé
– A l'encodage, après l'équipement et avant la mise en rayon du
document, on lie plusieurs éléments à cet unique exemplaire (ex
Livre-cd).
– Si la situation du document venait à changer (perte d'un des
éléments par ex), un message serait ajouté à l'exemplaire et
l'encodage refait‫‏‏‬
•
L'écran d'encodage
Kit d'équipement d'un document imprimé
• L'équipement d'un livre ou d'une revue :
– Le code-barre
• Montre l'appartenance à la médiathèque
• Attribue un numéro unique au document sans obliger de
noter le numéro attribué par le SIGB ou la RFID sur la puce.
• Permet de gérer une éventuelle panne de la platine
– Une puce rectangulaire (format carte de crédit) généralement
– La puce ronde est utilisée pour les petits documents ou pour
éviter de recouvrir une illustration
La puce en troisième de couverture d'un
album
Puce multimédia en quatrième de couverture d'un
album pour cacher le moins possible l'illustration
Puce multimédia sur mini-livres cartonnés
L'équipement des revues
• La puce RFID est collée sur une page de publicité
– N'ayant pas de mission de conservation, nous gardons les revues des
deux dernières années. Pour certaines revues dont la thématique peut
être intéressante (l'Histoire, les revues jeunes très lues ...) nous
conservons les numéros tant qu'ils sont en bon état.
– Après désherbage de la revue, nous récupérons la puce en découpant la
partie de la page concernée et la réutilisons en la collant à une nouvelle
revue avec un morceau de filmolux.
• Pour le numéro à consulter sur place, l'exemplaire n'est pas
créé
– La puce posée, l'antivol étant activé, cela évite la disparition du numéro.
• Les quotidiens ne sont pas équipés car ils ne sont pas
empruntables.
Puce sur une page de publicité d'une revue
jeune
La puce empiète parfois trop sur
l'illustration
(exemple à ne pas suivre !)‫‏‏‬
Les documents multimédia
•
Les CD ou DVD équipés d'une puce et d'un filmolux (sauf
double-faces)‫‏‏‬
– Avant d'être apposée et recouverte du filmolux, la puce est
vérifée pour être sûre qu'elle fonctionne
– Pour les CD ou DVD contenant 3 galettes ou plus, l'on vérifie si la
RFID lit correctement toutes les puces avant d'équiper le coffret
– L'ajout du filmolux solidifie le cd (limite la brisure) et rend le vol
non monnayable (l'enlever décolle toute l'illustration et peut
rendre impossible la lecture)
•
L'équipement du livret
– si le contenu est intéressant (livret d'opéra par ex)
– Autrement l'on a équipé un livret sur 10 (1 sur 5 pour le rock,
rap, r&b) pour augmenter le taux de détection de l'antivol et
démotiver le voleur potentiel
– Défaut : pour un CD dont le livret n'est pas équipé, il est possible
de rendre un document dans un mauvais boîtier (moins de dix
cas arrivés en un an de fonctionnement)
•
2 boosters maximum par document
Kit multimédia
• L'équipement minimum :
– Le code-barre
– La puce
– Le filmolux
• Le booster si nécessaire
– Posé sous le plateau du CD en général
– Booster bleu plus rigide
– Booster transparent moins visible
Un cd équipé
Un DVD double équipé
Les séries
• A la médiathèque sud, nous prêtons ensemble la série de BD
(ou de roman) lorsqu'il y a une suite dans l'histoire (ex XIII).
Pour le faire simplement, nous profitons de la puissance de la
RFID :
– Une notice bibliographique « série » (Titre d’ensemble en 200$a et
titres des différents volumes en sous-zones unimarc 464$t)
– Un seul exemplaire rattaché à la notice bibliographique
– Lien entre les différentes puces réalisé lors de l'encodage
– Lorsqu'il y a plus de 9 éléments, nous coupons la série en deux parties
• Au final, lors d'un prêt, le SIGB enregistre un document sur
la fiche du lecteur et la RFID aura vérifié la complétude du
document.
Un manga
L'encodage des 5 puces ensemble
Prêt du manga
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