La prise en charge d’un
cancer ne s’arrête pas aux
traitements spécifiques
de la maladie que sont la
chirurgie, la radiothérapie ou la
chimiothérapie. Un ensemble
de services d’aide et de soutien,
appelés « soins de support »,
vient compléter les traitements
destinés à soigner la tumeur
en tant que telle. Le Dr Olivier
Rigal, médecin-coordinateur du
Service des Soins de Support,
nous présente les nouveautés
au Centre et les perspectives
d’évolution dans ce domaine.
QUELS SONT LES OBJECTIFS
ET LES BÉNÉFICES DES
SOINS DE SUPPORTS
POUR LES PATIENTS ?
Il s’agit en premier lieu de préserver
et d’améliorer la qualité de vie des
malades en prenant en charge les
retentissements de la maladie et des
traitements à la fois dans les aspects
physiques, psychologiques et socio-
environnementaux.
Un ensemble de professionnels de
santé mais également de bénévoles
sont disponibles et se coordonnent
pour venir en aide aux malades et à
leur entourage proche tout au long
de la maladie.
Les patients et leurs proches peuvent
rencontrer pendant et après leur
prise en charge médicale différents
professionnels des Soins de Support :
spécialistes dans la prise en charge
de la douleur, psychologues,
assistantes sociales, diététiciennes,
kinésithérapeutes, sophrologue-
relaxologue, socio-esthéticiennes,
accompagnatrice en santé ERI*.
PRISE DE RENDEZ-VOUS :
02 32 08 29 18
SOINS DE SUPPORT
Aide et soutien aux patients
* ERI : Espace de Rencontres et d’Information
CHB ACTUS
L’ACTUALITÉ DU CENTRE HENRI-BECQUEREL > OCTOBRE 2011
www.centre-henri-becquerel.fr
Dr Olivier RIGAL,
médecin coordinateur
des soins de support au CHB
Groupe des Centres de
Lutte Contre le Cancer
CHB ACTUS - LACTUALITÉ DU CENTRE DE LUTTE CONTRE LE CANCER - SEPTEMBRE 2011 - page 2
QUELS SONT LES NOUVEAUX SOINS DE
SUPPORT PROPOSÉS AUX PATIENTS
DU CENTRE HENRI-BECQUEREL,
ET LES PROJETS À VENIR ?
Actuellement le Centre participe à plusieurs études
de recherche clinique en soins de support auprès
de patientes ayant un cancer du sein. Elles portent
notamment sur l’évaluation du bénéfice de séances
d’art-thérapie pour ces patientes en cours de radio-
thérapie après leur intervention chirurgicale. Une
autre étude évalue l’impact de la chimiothérapie
sur leur qualité de vie, la fatigue, les difficultés de
concentration et de réflexion avec le développement
de consultations « mémoire ». Enfin le Centre a par-
ticipé avec l’Institut Régional de Médecine du Sport
de Haute-Normandie et le Club de Canoë-Kayak de
Belbeuf (76) à la création d’un équipage de « Dragon
Boat* ». Cette activité physique nautique qui a lieu
sur la Seine s’adresse à des patientes ayant ou ayant
eu un cancer du sein.
La pratique d’une activité physique adaptée à l’état
de santé des patients doit permettre d’améliorer à
la fois leurs capacités physiques, mais d’avoir éga-
lement un effet bénéfique sur leur qualité de vie et
sur la fatigue ressentie. L’un de nos projets est de
pouvoir proposer par la suite à la grande majorité
des patients quelque soit leur cancer et lorsque cela
bien évidemment est possible, une activité physique,
à la fois adaptée à leurs souhaits et à leur condition
médicale.
LES SOINS DE SUPPORT ONT ÉTÉ
LARGEMENT IMPULSÉS PAR LE « PLAN
CANCER 1 » EN 2003. QUE PRÉVOIT LE
« PLAN CANCER 2 » (2009-2013) ?
Le premier Plan Cancer a en effet permis une avan-
cée significative dans le développement des soins
de support en France, notamment pour la prise en
charge de la douleur, le soutien psychologique,
l’aide sociale et l’accompagnement des malades en
soins palliatifs. Le deuxième Plan Cancer prévoit de
renforcer et de généraliser l’accès aux soins de sup-
port pour l’ensemble des patients afin de garantir un
parcours de soins personnalisé et efficace. Parmi les
5 axes proposés, l’axe « vivre pendant et après un
cancer » doit permettre d’améliorer la qualité de vie
pendant et après la maladie et de combattre toute
forme d’exclusion.
A cet effet, l’accompagnement social sera renforcé
en développant une prise en charge personnalisée
pendant les traitements mais également durant la
période de « l’après cancer ». Il est par ailleurs prévu
de disposer de moyens permettant de proposer des
réponses aux possibles situations de handicap ou
de perte d’autonomie transitoires ou définitives
liées au cancer, d’améliorer l’accès des personnes
malades et guéries aux assurances et aux crédits,
et d’aider à la réinsertion professionnelle. D’autres
mesures conduisant à promouvoir la recherche et
l’information sur les risques nutritionnels et sur la
prise en charge (nutritionnelle, activité physique,
psychologique) des personnes atteintes de cancers,
s’inscrivent également dans le développement des
soins de support.
* Contact Dragon Boat : 02 32 08 29 33
Courriel : uniespourelles@gmail.com
ASSISTANTES SOCIALES
Laction sociale est l’une des premières acti-
vités des Soins de Support mises en place
au Centre. Le Service Social assure des mis-
sions d’écoute, d’information et d’aide pour
les patients et leurs proches pris en charge
au Centre.
Les deux Assistantes Sociales de l’Etablis-
sement, Sylvie Jourdain et Béatrice Godey,
interviennent en cas de difficultés en lien avec
la maladie : demandes d’ouverture de droits
(allocations, indemnités journalières…), aide
financière, aide à domicile, organisation de la
sortie d’hospitalisation, ou autres demandes.
Il sagit d’un travail pluridisciplinaire réalisé
en collaboration avec les différentes équipes
du centre. Leur mission a été renforcée par le
Plan Cancer II (2009-2013). Le service social
du Centre a suivi près de 800 patients en 2010.
MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTES-
RÉÉDUCATEURS
Dans les différentes étapes de la prise en
charge des patients, la kinésithérapie a un
double intérêt. Le premier est d’améliorer
le bien-être de la personne par l’usage des
techniques comme le massage et la mobili-
sation douce. Le second est de rétablir une
autonomie optimale afin de préparer le retour
dans la vie active. Les patients ayant bénéficié
d’une intervention chirurgicale, d’une chimio-
thérapie, ou d’une radiothérapie auront bien
souvent besoin d’une rééducation. Les moyens
dans ce domaine vont de la rééducation res-
piratoire jusqu’à la reprise de la marche en
passant par la rééducation fonctionnelle
d’un membre ainsi que la prise en charge de
la douleur.
Les kinésithérapeutes reçoivent, en consulta-
tion externe, les personnes qui ont été opérées
d’un cancer du sein (curage axillaire, prélève-
ment du ganglion sentinelle) pour des besoins
relevant de la lymphologie (étude du système
lymphatique). Le rôle des kinésithérapeutes
s’inscrit dans une démarche pluridisciplinaire
et en coordination avec les médecins et les
kinésithérapeutes libéraux.
Jean-Sébastien Prévinaire et Lahcène Hadj
Ali sont les 2 masseurs-kinésithérapeutes-
rééducateurs du Centre dont l’activité est
rattachée au service des soins de support.
De g. à d : Amel Benchemam, infirmière douleur et soins palliatifs, Sylvie Jourdain, assistante sociale,
Héloïse Dupont, psychologue, Christelle Farcy, diététicienne
CHB ACTUS - LACTUALITÉ DU CENTRE DE LUTTE CONTRE LE CANCER - SEPTEMBRE 2011 - page 3
Intégré aux Soins de Support,
le Service Diététique du Centre
Henri-Becquerel est composé
d’un médecin nutritionniste,
Céline GOULEY, et de trois
diététiciennes. Stéphanie
TRAVERSIER, Christelle FARCY
et Dominique SAUTERAUD
interviennent aussi bien auprès
des patients hospitalisés que
ceux venant en consultation.
Leurs actions s’orientent
principalement vers la prise
en charge de la dénutrition et
l’adaptation de l’alimentation
des patients pendant leur
hospitalisation, ainsi que la
préparation à l’autonomie
du patient en prévision de la
sortie d’hospitalisation.
DEUX PATIENTS DU
CENTRE, SUIVIES PAR LES
DIÉTÉTICIENNES, ONT BIEN
VOULU APPORTER LEUR
TÉMOIGNAGE QUANT À
L’APPORT DE CONSEILS
DIÉTÉTIQUES DANS LE
CADRE DE LA MALADIE.
« A l’annonce de mon cancer »
, nous
confie Mme G,
« milles questions se
sont bousculées dans mon esprit : le
traitement, ses effets secondaires,
les hospitalisations… Très vite, j’ai
vu que je perdais du poids et que je
n’arrivais plus à me nourrir correc-
tement. Lors de mon hospitalisation
pour ma première chimiothérapie,
j’ai donc sollicité la visite d’une des
diététiciennes du centre. Ensemble,
nous avons vu comment organiser
mes repas, fractionner mon alimenta-
tion et l’enrichir avec les produits ali-
mentaires courants que je possédais
déjà à la maison. A ma demande, nous
avons également vu ensemble quels
conseils pratiques mettre en œuvre
pour adapter mon alimentation lors
des cures de chimiothérapie. Comme
j’avais perdu du poids, la diététicienne
m’a également suggéré de tester des
compléments nutritionnels oraux et
m’a expliqué comment me les pro-
curer et comment les consommer à
mon domicile. Elle m’a également
proposé de tester certains complé-
ments durant mon séjour, et nous
avons vu ensemble que je ne devais,
par ailleurs, exclure aucun aliment de
mon alimentation et que l’essentiel
était de préserver la variété de mes
repas ».
« Plus la radiothérapie de mon mari
avançait et moins il mangeait » nous
précise Mme T. « Très inquiète, j’ai
contacté les diététiciennes du centre
Henri-Becquerel pour avoir des
conseils. La diététicienne que nous
avons rencontrée, nous a écouté et a
fait le point avec nous sur les possi-
bilités offertes pour aider mon mari
à s’alimenter. Nous sommes repartis
rassurés, avec des conseils pratiques
qui nous ont permis ainsi d’adapter
facilement les repas de mon époux.
Au bout de quinze jours, les effets
de la radiothérapie s’accentuant, j’ai
décidé de revoir une diététicienne
car mon mari ne s’alimentait plus du
tout. Elle nous a alors proposé une
alternative qui allait permettre à mon
mari de terminer ses rayons tout en
préservant un bon état nutritionnel.
Elle nous a rassuré puis expliqué les
intérêts et les modalités de mise en
œuvre de cette nouvelle alimentation
par le biais d’une sonde. Elle nous
a alors dirigé vers le médecin pour
effectuer la mise en place de cette
alimentation entérale ».
Témoignages de patients
DIÉTÉTIQUE - NUTRITION
Les diététiciennes, dont Stéphanie TRAVERSIER ci-dessus en consultation, apportent conseils et recommandations en matière d’alimentation dans le cadre de la maladie.
CHB ACTUS - LACTUALITÉ DU CENTRE DE LUTTE CONTRE LE CANCER - SEPTEMBRE 2011 - page 4
L’annonce d’un diagnostic de
cancer est un choc. Les effets
de sidération, de détresse, de
colère de la part de la personne
malade sont légitimes et font
partie des réactions normales.
Si les difficultés persistent,
l’aide d’un psychologue
peut s’avérer utile.
VOUS VENEZ D’APPRENDRE
VOTRE DIAGNOSTIC
Vous êtes sidéré(e) et n’arrivez plus
à penser, vous êtes dépassé(e), inca-
pable de faire face à la situation, au
bord de l’effondrement. Ou encore
vous vous sentez révolté(e), éprou-
vez des sentiments d’injustice et de
colère. Pour certaines personnes,
au contraire, c’est un soulagement
d’identifier enfin ce malaise ressenti
depuis quelques temps avec l’espoir
qu’un traitement puisse agir effica-
cement.
Au moment de l’annonce du diagnos-
tic, ces réactions sont habituelles. Un
peu de temps et la mise en place des
différents examens vont permettre au
patient de s’adapter à cette nouvelle
situation. Le plus important est d’éta-
blir un véritable échange avec votre
médecin, basé sur une confiance réci-
proque pour un engagement solide et
durable au cours des mois à venir.
ENSUITE : RÉAGIR ET
REPRENDRE CONFIANCE
Ce qui peut aider : de nombreux pa-
tients tiennent à ce que leurs proches
soient présents lors des consultations
avec leur médecin. C’est souvent
bénéfique et rassurant de partager
les nouvelles ensemble et de pouvoir
en reparler ensuite ensemble. Dans
le cas de relations harmonieuses, le
patient a tout intérêt à partager avec
sa famille le maximum d’informa-
tions, c’est un soutien indispensable
dans l’épreuve de la maladie.
Le dispositif d’annonce au Centre
Henri Becquerel : Conscients de
cette étape difficile, les médecins
accordent une attention particulière
au cours des « consultations d’an-
nonce » : il s’agit d’un temps supplé-
mentaire passé avec le patient pour
expliquer les traitements et répondre
à ses différentes interrogations. Puis,
les infirmières prennent le relai pour
apporter des précisions et répondre
aux questions supplémentaires que
le patient n’a pas pensé ou osé poser
au médecin. C’est également au cours
de cette consultation avec l’infirmière
que seront présentés au patient les
différents services d’aide et de sou-
tien, les livrets d’accueil et livrets
d’information sur les examens, les
traitements.
CE QUI EST NUISIBLE :
Vouloir à tout prix protéger son
entourage, c’est coûteux en
énergie mentale et peu efficace
dans le temps. De plus on est
souvent plus fort ensemble que
tout seul.
Instaurer des non-dits et des
«murs» dans la communication
pour toute autre raison s’avère
également délétère dans le
temps. Devant la maladie, il est
Annonce du diagnostic :
les psychologues peuvent vous aider
PSYCHOLOGIE
Les psychologues du Centre Henri-Becquerel peuvent apporter un soutien aux patients et leurs proches dans le cadre de la maladie, pendant la durée des traitements, et après si nécessaire.
CHB ACTUS - LACTUALITÉ DU CENTRE DE LUTTE CONTRE LE CANCER - SEPTEMBRE 2011 - page 5
plus utile d’apaiser les tensions
que de les ranimer. Là encore,
la réalité rattrape ce que l’on
cherche à dissimuler et ne fait
que renforcer les pressions qui
pèsent sur le malade.
A l’inverse, certaines familles
demandent « qu’on ne dise pas la
vérité au malade » sous prétexte
qu’il ne supporterait pas, ou pour
préserver son moral. Infantilisé,
isolé, la conspiration du silence
ou du mensonge risque d’éveiller
les soupçons du patient et de lui
faire perdre toute confiance à
l’avenir envers sa famille et les
soignants.
QUAND FAUT-IL CONSULTER
UN PSYCHOLOGUE ?
Eprouver un ou plusieurs des signes
ci-dessous peut survenir chez la plu-
part des personnes malades de façon
temporaire.
Une anxiété immodérée, des
crises d’angoisse récurrentes
(attaques de panique)
Un état dépressif durable
accompagné de symptômes
qui gênent la qualité de vie au
quotidien
Des problèmes relationnels
envahissants
Un manque de confiance en soi
et en l’avenir
Des difficultés de communication
avec l’entourage ou au sein du
couple
L’impression d’être très seul
dans la maladie
Une difficulté à parler de la
maladie avec l’entourage ou un
problème d’information avec les
enfants par exemple.
Des perturbations importantes
de l’image de soi avec altération
marquée au niveau de l’identité.
Il sera conseillé de consulter un psy-
chologue si ces sujet deviennent une
préoccupation constante. De même le
patient pourra se faire aider s’il sent
que ses ressources personnelles ou
son entourage ne suffisent pas à
apaiser ses craintes, ou encore s’il
ressent une incapacité à faire face
aux traitements médicaux.
VOUS RECHERCHEZ UNE
AIDE PSYCHOLOGIQUE
Au Centre Henri-Becquerel, une
équipe de psychologues est à la dis-
position des patients dès l’annonce du
diagnostic, pendant les traitements
et après si nécessaire. Les psycho-
logues interviennent dans tous les
services d’hospitalisation ainsi qu’en
consultation externe. Des rencontres
sont également proposées pour les
proches du patient en cas de difficul-
tés rencontrées dans le cadre de la
maladie.
Par ailleurs, le Réseau Onco-Normand,
le réseau régional de cancérologie de
Haute-Normandie, a mis en place un
partenariat avec des psychologues
de ville. Les personnes atteintes
d’un cancer ou un proche peuvent
ainsi bénéficier gratuitement de 4
consultations auprès du psychologue
de leur choix à partir de la liste établie
par le Réseau. Au-delà, les consulta-
tions seront à la charge du patient s’il
souhaite poursuivre les consultations.
(www.onco-normand.org).
QUE DIRE AUX ENFANTS ?
Quel que soit leur âge, il faut infor-
mer les enfants et leur dire quelque
chose de la maladie qui atteint l’un
des parents et bouleverse l’équilibre
familial pour un certain temps. Quoi
qu’on lui dise ou qu’on ne lui dise pas,
l’enfant perçoit les changements de
l’état émotionnel des parents, de
la vie quotidienne, et sent très vite
qu’on lui cache quelque chose. Ce
qu’il imagine alors peut être pire que
la réalité et avoir des conséquences
néfastes, telles que des sentiments
d’exclusion avec renfermement, perte
de confiance et du sentiment de sécu-
rité dont les parents sont habituelle-
ment garants.
Ce sont les parents ou les très
proches qui doivent en premier lieu
informer les enfants, ceux qui ont la
confiance de l’enfant, ceux qui seront
crédibles parce qu’ils font partie de
l’histoire de l’enfant et à qui ils pour-
ront s’adresser au fur et à mesure de
leur évolution à ce sujet.
Il faut parler aux enfants, le plus tôt
possible, avec des mots simples,
justes et vrais. Dire la vérité n’est
pas forcément tout dire la première
fois, mais prononcer des paroles
vraies au moment on les dit. Il
faut bien évidemment tenir compte
de l’âge de l’enfant, on ne parle pas
à un tout-petit comme à un enfant
de huit ans ou à un pré-adolescent. Il
faut également que cette information
évolue dans le temps en fonction des
stades de la maladie.
Jacqueline Cavelier,
psychologue
PSYCHOLOGUES :
Jacqueline CAVELIER,
Hématologie
Héloïse DUPONT,
Chirurgie / Oncologie
Elodie GUIGNARD,
Chirurgie / Oncologie
Dr Catherine DESNEUX,
médecin psychiatre
SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE :
Groupe de parole de patients
La Ligue Contre le Cancer propose à toute personne atteinte de cancer des groupes de parole, organisés au sein des Comités de
Rouen et d’Evreux.
Les groupes sont animés par une psychologue qui aide à mieux comprendre la maladie, les réactions et celles des proches pour retrouver un nouvel
équilibre. Participer au groupe de parole offre également la possibilité de rencontrer d’autres personnes confrontées à la maladie, de s’exprimer,
d’échanger, d’écouter et de trouver un apaisement. Ces séances gratuites sont d’une durée d’1h30 et se déroulent une fois par mois dans les locaux
des Comités de La Ligue.
INFORMATIONS / INSCRIPTIONS
Comité de Seine-Maritime – 39 rue de l’Hôpital – 76000 Rouen – Tél. 02 35 89 20 26 – Courriel : cd76@ligue-cancer.net
Comité de l’Eure - Maison de l’Espoir – 14 rue du Général Leclerc – 27000 Evreux – Tél. 02 32 39 39 45 – Courriel : cd27@ligue-cancer.net
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