Cette construction s’est impos´ee `a nous progressivement. Ainsi, en 2005 nous avons un r´esultat
math´ematique qui sugg`ere l’existence d’un nuage universel de particules t´enues. Ce r´esultat est
publi´e en 2007, [1] avec l’annonce de publications ult´erieures relatives aux applications physiques.
Le r´esultat math´ematique sugg`ere l’existence du nuage, lequel modifie les fondements de la phy-
sique. Il induit les effets gravitationnels, sans particule d’interaction. Coupl´e avec l’existence d’´etats
instables des particules, (´electrons, protons, neutrons), il induit le retour du d´eterminisme. Les ´etats
instables sont entendus comme ´etats de persistance petite. Cette analyse est publi´ee en 2009, [2] ,
conjointement avec la d´emonstration d´etaill´ee du r´esultat math´ematique qui est `a son origine.
Nous reprenons ces propositions sous une forme plus structur´ee distinguant nettement d’une part
la physique pr´equantique, d’autre part la physique statistique induite par la physique pr´equantique
et enfin comment cette physique statistique rejoint pr´ecis´ement la m´ecanique quantique.
Dans un tel expos´e, les r´esultats les plus saisissants n’apparaissent qu’`a la fin, on ne peut deviner
l’utilit´e des d´etails indigestes expos´es au pr´ealable, et, pour un lecteur lass´e par ces pr´ealables,
abandonnant avant la fin, ce texte semblera sans int´erˆet.
Nous avons donc introduit, avant l’expos´e logique, une description de r´esultats marquants sans
preuve ni explication, celles-ci n’apparaissant qu’`a travers l’expos´e logique.
Nota : Ce qui concerne la structure interne du neutron et du proton ainsi que les antiparticules
reste hors du champ de cette physique pr´equantique d´esign´ee pour ce motif, ”physique atomique
pr´equantique”. Les ´electrons et protons sont en nombre ´egaux, de sorte qu’ils peuvent ˆetre tous
rassembl´es, en nombre ´egal, dans des particules non charg´ees, not´ees atomes, comprenant ou non
des neutrons.
2 Les r´esultats marquants
Le bestiaire de la physique atomique pr´equantique est assez r´eduit, la particule U, trois particules
not´ees E,Pet N, dites ”noyaux”, sans masse lorsque leur cort`ege est vide. Les noyaux retiennent des
particules Udans leur cort`ege, disons en vertu d’une force de liaison et forment ainsi, respectivement,
des particules dites, ´electron, proton et neutron not´ees E,Pet N. Les ´electrons et les protons
rassembl´es en nombre ´egaux, avec en outre des neutrons, dans un voisinage commun, et restant
rassembl´es, sont d´esign´es atomes not´es A.
Les ´electrons et les protons rassembl´es en nombre in´egaux, plus de protons que d’´electrons, avec
en outre des neutrons, dans un voisinage commun, et restant rassembl´es, sont d´esign´es atomes ionis´es
ou ions not´es Ai. Ce sont g´en´eralement des particules produites en laboratoire et rares dans la nature,
ce qui exclut tout observation `a grande ´echelle. (On ne connaˆıt pas d’astres charg´es ´electriquement.)
Il n’existe pas d’autres particules. Exit le photon, exit le graviton.
R´esultat no1:
Le photon n’est pas une particule de la physique pr´equantique. Le photon qui ´emerge de la phy-
sique pr´equantique, le photon de la m´ecanique quantique, est donc une particule fictive au sens de
simple porteur d’une information statistique, comme l’est, par exemple, une temp´erature. Cette in-
formation statistique est multidimensionnelle, une direction et un scalaire, alors qu’une temp´erature
est un scalaire, mais l’existence physique d’un photon est comparable `a l’existence physique d’une
temp´erature. Nous attribuons le no1 `a ce r´esultat bien que ce soit celui que nous avons d´ecouvert
en dernier, en 2011. C’´etait en effet le mieux dissimul´e par la pr´egnance de la science physique
d’aujourd’hui.
Nous avons not´e Ales atomes et Nles neutrons, notons Cles particules charg´ees, le proton,
l’´electron et les atomes ionis´es, Mune particule Aou Cou N. Les particules Uheurtent les particules
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