2.4. Le satellite ayant un mouvement circulaire et uniforme, on a alors
=
(2)
(1) = (2) soit
=
=
=
On obtient alors
=
(0,75 pt)
2.5. T est la période de révolution du satellite autour de la Terre.
Pendant la durée T, le satellite décrit une trajectoire circulaire de longueur [2( RT+h)]. Sa vitesse est donc vS
=
Comme
=
, on obtient
=
(a)
Elevons (a) au carré :
=
G MT =
T2 =
(0,75 pt)
Partie III. Transfert du satellite en orbite géostationnaire
3.1. Deuxième loi de Kepler, ou "loi des aires" : Pendant des durées égales,
le segment reliant le centre T de la Terre au centre S du satellite décrit
des aires égales. (0,5 pt)
3.2. Pendant la même durée, les aires A1 et A2 sont égales mais on
constate que le satellite parcourt des distances L1 et L2
différentes : L1 > L2.
Comme le satellite parcourt, pendant la même durée, des distances
différentes, sa vitesse n’est pas constante
Elle est maximale au périgée P et minimale à l’apogée A. (0,75 pt)
3.3. AP = h’+2RT + h (voir schéma)
AP = 3,6104 + 2 6,4103 + 6,0102= 3,6104 +12,8103+ 6,0102 = 360102 +128102+ 6,0102
AP = (360+128+6,0)102 = 494102 = 4,9104 km
AP = 4,9 107 m (0,25 pt)
3.4. La durée minimale de transfert entre A et P est égale à une demie période: t =
soit t =
= 5 h 21
min. (0,25 pt)
3.5. Un satellite géostationnaire évolue dans le plan équatorial. Il tourne dans le même sens que la Terre avec une
période de révolution égale à la période de rotation de la Terre. Il parait immobile pour un observateur terrestre.
(0,25 pt)
PARTIE 4 : chute du satellite dans l'atmosphère terrestre .
4.1. Les forces qui s’exercent sur le satellite MSG-2 sont : (0,5
pt)
- le poids du satellite :
- la poussée d’Archimède due à l’air :
- la force de frottement fluide due à l’air :
4.2. Exprimons le rapport
P = mg = SVg où V est le volume du satellite.
= AVg