Hartman und Mousson, über Pfäfers. 180 jetzt schon näher einzutreten, schiene ein ziemlich müssiges Geschäft. Ueber den dritten Punkt ibres Gutachtens ,lautet die Meinung der Unterzeichneten dahin : 1) Dass eine bedeutende Menge von unbenutztem Thermalwasser noch vorhanden ist; 2) Dass Versuche zur Hebung eines Theiles desselben wünschbar wären ; 3) Dass mit Vorsicht geführte Stollen oder Bohr-arbeiten am meisten Hoffnung auf Erfolg gebeu. Sur une sērie algēbrique par Georges Sidler, l)r. en phil. Consid ērons la sērie 1 -1- 2m z -}- 3m zz -}- 40' z 3 + • • • • in inf. in ētant supposé un nombre entier positif. Pour que cette série soit convergente, i l faut et il suffit -que la valeur nu mérique de z soit inférieure ā l'unité. En désignant dans ce cas, par Z ,, , la somme de la série. on aura entre deux sommes cons ēcu— tives Z,n_, et Z„1 la relation §. 1. , %mV d• (z'Lm —]) (a) (1 Z Comme on a d'ailleurs Z o -- 1 1 7 , on obtiendra •successivement 1 _ 1-1-- Z 1 -t- 4, -4- 22 71 — `) —I)2 , 12 _._.. `l^Z)3, e 3 — ll —Z), (I ... . ^ 1, & • -{l 1 z + 11 z 1-{i 2 (1 — z) s ' : z3_ ' 181 Sidler, sur une s ē rle algébrique• et en général pour toutes les valeurs entières de m plus grandes que zéro : %m — '1 j -i a m .1 z-l- a m ,2 Z z . z )m-4'1 m -i + am,n^ — 1 Z ^1 ) am,e, am, t , .` . . . étant des nombres entiers positifs, qui en vertu de la relation (a) satisfont ā l'équation : am, x = (x + 1) a m _1, x + (m -- x) a m _1. (2) D'aprēs les valeurs trouvées de Z1, Z2, ōnapourm= 1,2,3,4 Z3, Z, ( 3) am, x ,° am,m- - 1 -1. — 1 ā Or , si dans la formule (2) on pose la place de A , on se convaincra aisément que cette re— fation subsiste quelle que soit la valeur de m. L'intégration de l'équation 'aux différences finies (2) fournirait l'expression générale de a m,x. Mais on arrivera plus promptement ā la solution cherchée, si I'on observe qu'on peut mettre l'équation (1) sous la forme m-1 ,o ^- a m ,1Z +, a»>,2Z 2 + am,m-1 Z = (1 —z)m+t(l -}-2mz+3mzz+ ), d'oū l'on tirera en égalant dans les deux membres les coefficients des puissances semblables de z am, x = ^x - f- 1),» ( m 9 1) xm + /m -21- 1 ` ^x a 1)», (4) 1)2. (m t 1) l m , oū nous avons designé par (m p 1 ) le coefficient de II. 13 182 Sidler, sur une s ērie alg ē brique. x" dans le développement de (1 -}- x)n'+' de sorte que ce symbole équivaut ā zéro, lorsque p surpasse m -F-1, de même pour toutes les valeurs négatiVes de p. Cela posé , on déduit encore de l'identité précédente -l- 1) „' — (nn 1 I) ( m (5) +(m2 11 (m -1- r-1) m . + r) n + . .(- 1)m +r(m-}-r)1m. r étant un nombre entier positif quelconque inclusivement zéro , et m un des nombres 1, ^ 2, 3, 4.... in inf. §. 2. On peut encore représenter le coefficient a,,;l sous une forme qui diffère essentiellement de l'équation (4). En effet, concevons que l'on forme toutes les com binaisons des éléments 1, 2, 3... . n ā la classe p, cbaque élément étant r ēpété un nombre illlimité de fois, et désignons ces différents groupes dans l'ordre de leur rang respectivement par ( p) i (p )a' (p ) s \/ 11P e chaque groupe représentant le produit des éléments qui y entrent. Prenons maintenant dans l'équation (2) successivement 1, A = 2, . . enfin A = m — 1, on aura: = 2am -1,1 ± am ,1 a m,2 — 3 am- 1,2 '+ (m — 2) am- 1,1 am,3 — 4a i-1 3 + (tn — am - 1,2 3) etc. Lorsque ā l'aide de ces formules on calcule successivement ces coefficients , saus jamais effectuer Sidler , sur une sērie algēbrique• 183 aucune reduction, on trouvera d'après la notation convenue : _ (( u l ( 1 -}- 1 l A. } ` 1 l I (h ( n l ( ^ +9 . . . -iAl + n, l. — l ^, /.1 \ Il — 1/f ± \1/ \Il \ ^^ g — Z ^ t-1 ( kn -°- 1 /1 par exemple : 86,2 X 3 • 3 • 3 -}- 3 . 3 X 1 • 2 . 3 -}-1• 2X 2•3•3-1-2•!irX1•2•2 1 • 3X2 . 2.3 + 3 . 3 >< 1 • 1 • 3 i +1 •i4X2• 2 • 2 + 3 •4X 1 • 1 • 2 -}- 2 . 2 X 1 • 3 . + 4 . 4 X 1 1 • l• 1. La formule (3) donnera au contraire «1 ) • a 6,2 §. 3. G • 18• 26 Il resulte rés ul te de 1'ēquation (2) : 1'équat m-1 m -2 gj(ll) — m -1 X—. m . — A—. - 2 ^ 11 + l) am--i,l '7' résulteaio'qn 1) tl m _.1,1 -1 = R=1 . . -l- l) 8 61_1 ,1 -f- (m — A --1) am Ā=„ t l ! >{ ) par sufte : m -2 m -1 =m ^ =u =o d'oū l'on concluera , a 1,o étant é g al à 1, a m,o -l•' a 10,1 °1 2 3•••• m Or, nombre a am,,,, + c = o , r etant étant u ēciezéro renm r positif quelconque incēc résument z ēro , pourrons encore ēc nt m+r- • • • •m am,l r^ -- ^ • nous Sidler, auf 184 une série algēbrique. Si dans cette dernière formule on remette pour am,/ sa valeur tirée des équations (4) et (5), on trouvera premièrement 1 2• 3 m = ,n+r -1 = Z(m -}- r — Ic)n, • 1 — (m 9 1 ) + (m 1 ) ...(-1)k(mk 1) } k puis, en ayant égard que le coefficient de ( m + r k)m sera égal au coefficient de xl` dans ]e développement de (1 — x) — ' (1 — x)m+' , par consēquent égal à ( -- 1)'` (m), on aura définitivement: 1 • 2•3• • •m= (7) rm ( — 1 )m(Ill\ iYr Jl _ (m + 1')m — (T) (m + r — 1)m • • r étant un nombre entier positif quelconque inclusivement zéro. §. 4. Décomposant le second membre de l'ēquation identique = 1 ± 2mz + 3mz2 + a m,e + a m I z ....+atn m Al Z (l ?) n1+1 ," — en fractions simples, on trouvera par les méthodes connues en ayant égard ā la formule (3) 1 +2 mz +3 mz 2 • (8) ' (l A nZ^m +t (l • • (-1) m-1 m^^ ) 1 ( l A-m°Z)2 oū nous avons posé y) Am, ^ = ( m - 1 ) a m o ,m-2 ' + (mn 2.) Lorsque dans cette formule on remplace les coefficients am,r par leurs Valeurs tirées de l'équation (4), il vient, après avoir mis —• A ā la place de : ( ) am 1 Sidler, sur une s ē rie al); alalgēbrique ē brique. = 185 7Ä, 71 0114_0m { gl - 4- 1) l^ 1' -1]1\ + l-1]l\ l^ 1 ^ 1^ s =o ^ + r m +1 l 2^ ' • (-1) - . 1. m^^ o ^ J m + 1 z+2 +^ 2 ^^ r -- iement alent — 1 ) x((nl --- -- r)"'. r)m.y étant le d alent ā celui de xx dévelop ēveloppement ement rera enttég +à x)m+' x) "'+' • (1 + x)±1 , par tireraent dtiegal all ä /n,- d\I , 011 en tit•era : p n ,(!) mi l) 0 1 1)01 1) 2.+i C )) ln, Cl1 Amb ...(— (10) formule (9) que 1'l'on a u t' encore de la déd et l ' on deduit m Am), = o pour toutes les valeur ilorsqu' onites i que A . .relal'éq De l'autr eiine, né, lorsqu'oll applique la rela (z') l'Zm eq ation `l au second membre de 1'equation (8), on obtiendrait sans eine : u ' A ,l'on co ncluera1+ An,_1,L_ .1 { ((f1 I) pro d'oū l'on'concluera, que A,,, ), soit divisible .1 duit . moment . . . X . En eilet, eife t, posant pour momelit 1I1 . .. il Am, =1 . .3 .ient am; r,m = 111 -I- a(m a 1 )_t_,•,m+i )_i_,•fo rmulese on a d'ailleurs en vertu des form>.iles (9) et (6) A,,, 1 =1 et Am,m = :1.2.3 • • • m, qua tités` et a11,,,,, = 1 'les quantites dd ēé sign ēes par am,a, seront toutes des nombres entiers. Ainsi ' nous aurons: ^ (m-1 n , ^m — (1) (z-1)m + ( ) (1,2)n, ^ (mod . . • 2:• 3 • • b), (,1)A-1 m si Cn > z 11 mnl Ā. (12) Sidler, -nur une s ē rle algébrique. 186 Si dans l'équation (8) on développe le second membre suivant les p ūissances de z, on aura en égalant de pari, et d'autre les coefficients des puissances sem-blables de z (1 ± ( 13 ) =^ m ! Am m /1m I -r-1 -_ 1^ ` m 'n- 1 1 i, I ' Am,l A m,m -1... (— i ) ^ 1 ^ Lorsqu' ōn remplace dans cette dernière les quantités A,n,}, Amz• ••. par leurs valeurs tirées de (9), oli trouvea,égdq a rn ,m—?--} ='am,ti• (l m -1 lu1n,l {(a0) (1Y1 m 1, + r)m— ) — (l) /^1^ m-1 1 ,1) ....(-1)^ (2.) ^ ml^ r — d )} Observant que le coefficient de an, ), équant au coefficient de xm dans le produit ( t — x) - i_', cette ° formale se réduit ā rm-F-r-- 1 0 }.... 1. 1\1 a m+r ^ ... (l '1 ) (1 +r)'n — ^ m ^^ m,° '+ 1 m ) m, ( CYl / m,m-1 - étant un des nombres 1, 2, 3, 4 .. . et r un nombre entier positif quelconque inclusivement zéro. in §. 'S. Les équations (13) et (14) fournissent plusieurs formules qui représentent les nombres de Ber-noulli sous forme finie. En elfet, prenons-y successivement r= 0, 1, 2 .. . e t enfin r = k- 1 , il viendra d'abord le (-l)nl._ ^ A b-;-2 Z-i-1{ 1 l,m— Z — m,bCo)+l \ ± ^ 1 ) + ^ 2 ) ...+ ^ t{-1 ) =1 1=1 - ^ ]c Z 1'm »1-1 b_o { ( m) 0 + ^m ^ 1 ) r ^ m 2 2\1 ... \ k-1-1\ 187 Sidler, sur une s ē rie alg ē brique. algébrique. équivaut äà o fficient de (nl-1) 1-1 A1» ^ equivaut -1 +^`sroduit celu ,l sera x) ē me le coefficient llnêmesavoir°ä'( ^'^' +^`s savoir°à '( lck-1 Ainsi nous trouvon s à ( 112+1'—^é1t) = ('(te+.1 egal gal ä suivantes : deuxéquations dqu^mm-^ , - 1 . .+ km_.. 2,11 Am,»1 — (m - I Ic —11 / m ( (15) k9 l)1 ) Anl,l Anr,t tim,m— t et encore 1 11 ('mrn { 1) a k11 2 111 4," ^ 11 11 ci\ +^ (16) l + ( m+^ i))u»dés ' dignéast t u »1 On a d'ailleurs 1211+2211 i { ß„I^ ( 2n —\ 2) -1 -l 12 , B ernoulli21 ^ . B»-1I1' Tfinto • . 2 2 11 +1 2u-{-11 -1)»+1 . -i- k211+1 n3 1l ) 13 14 {(2n^ {(2u ^ 1) B k^ _ ^2u3 ) 0 +2 +2 mk21 aDnt Dutt Ic21 ( 1111 " 1L .2 - i- t 2n+2 1 Bernolàli r B „ le nn" nombre en ddsigna dés idésignant dégéné- on gén é^^b1 = 1 • B2 —^30; B3 = ^ formule : rale est donnee ^ par donnée 13 „— 1 . 2 . 3 1 1 1 2 inl'. { 211^ • • • in ial'. 1- i-^ 2 11 f 3211 1 4; { n (27t)2,11 oeff ient de k dans le là g e On concl a' de lä iéqu équations équa ēquations ddveloppelnent des seconds membres des gene dévveel oppdéveloppementon dé Sidler, sur une s ē rie alg ē brique. 188 m-}-2 (15) et (16) sera égal, soit à (- 1) 2 Bn, soit à zéro, suivant que n1 représente un nombre pair ou un nombre impair plus grand que 1. Considérons d'abord la première de ces équations. Le coefficient de k dans la factorielle k +z ^ 3..+1) _ (t+x) (k +2.--1) • • . . (k+l) . k 1 • 2 • 3 • • . . (Ä+i) A, ' (X—l) • • • 3 • 2 • t = 2 • 3 • • • X(X+i) ^ x -1' sera Ainsi le coeflicient • (-l ■ "1° (tk+i)A ,“ cherché dans le développement de a=^ sera (-1)"1-1 ' "' d'où l'on concl.uera : ^a A 2t,,t _ A 2n,2 + A 2n,3 3 2 — 4 AN) 2u+l ( 17) A 2n +1,1 A 2n+1,2 2 3 + A2n +1,3 + 4 A 2n+9,211 +1 2 11 +2 e, n étant un nombre entier positif quelconque plus grand que zéro. Cberchons enfin le coefficient de k dans le second membre de l'équation (16) ou dans fe développement de l( 1`+ +1- )an,, ^ . 'faut que désigne l'un des nombres x =o ` ^ ^ 0, 1, 2, 3 . ...(tn-1), le coefficient, de k dans la factorielle 1{-1-m ( m+l — (k+a1-4) (k+m-2.-1)...(k+l)k(k— i)...(k-2.) )— 1 • 2 • 3 • • . • ,• (m+1) sera évidemment • Sidter, s ē hrique. 1 l),.2.lX1.ie alg (m i)(m 1),.2.1X1 . I • 2che (m -}-1do 189 (-1) 1 nt cherch rchéē sera dortc nclZ—) 1 1 g Z— ( t z a°'>^ m1 na ) (m) dereprésenten s aurons suivant que tnmr•epr ēsente un nombre pair ou un nombre impair: an Le coeffi 82n,2 (2,2) 8 2„,o a2n,1 (( // 101 ^ — \9 ^ (18) a21,+1,0 /2r 1 a 211,20-1 //_ A22 11 1^^ 122111 (— l2n+ 1,2 ( n-1° I • 13„ 8 2n+1,2n •ln J+ l` (a(211-1211-1-11 )n+r / 1 ^ 2n 1 ^ 0 1, 2, 3 iinquelcon desnombres s formules on ēécrit crit d'apr d'après ē s I'I'équation ē quation _ 1 ā la place de ('t + 1) a,n_1 ,x -E- (m —A) a,, on ena satrs sairs peine: n ēé tant tant u (2) 8 3n l -1,11 °20-1,1 -h• - sn 111) I1 ( ) ( .2 '2n-l,2.... `^ 2n-1,211 -2 a'2n-1,2 q 11` ( 2J 411 12n-1) — ( - 1 )n+1 (2n.1-I ) ß, (19) a2n,1 ^•^ n3 u3 \ 2ll 7211-1-1 7211+l ll / c 2; a 21-1,20-1 0 - ` . . . . ^1 ^ ^ 1 % ^^ = ) ue n ēquant équant un no entier quelconque plus zzéro. ē dernières derniè for rr exemple, d'apres d'après ces dernieres On aur Sidlermulessérie 3B1 — ` — 5132 — I 4 . - +b Sidler, sur une s ērie algébrique. 190 h 7113 = 6 1 — 9B, = 8 m 15 " 120 — - f ^0_ - 51 +6 Z8 -i- 1191 66 ; 2 4 16 70 1 191 _ 120 56 28 ^ 1 8 etc. comme on a en géné— concluera encore, On en mal (i^^'1 ) = (n2nx) , que le dénominateur du eile nombre de Bernoulli est nécessairement facteur du produit : (n +1)(u±2)(n+3). • • .(2n+1). Aus einem Briefe von Hrn. Dr. Schläfli aus Batum, So armselig die malacolopische Beute in Con19. Mai 1856. . stantinopel ausgefallen , so wurde auf der diessmaligen Schwarzenmeerreise mein Sammeleifer um so besser belohnt. Mit dem Vorsatz, Ihnen später mit der Sendung der gesammelten Sachen weitere Details darüber zu gehen, begnüge ich mich diessmal nur mit einer kurzen Zusammenstellung der Fundorte : Von Sinope habe ich von meiner ersten Reise noch 4 Spec. (1 Bul., 3 Hel.) mitgebracht. Während einem 8tägigen Aufenthalte im schönen Trapezunt fand ich circa 26 Spec., worunter Sie , wie ich ,hoffe,, .;recht hühsche Sachen finden werden, namentlich an kleinen zierlichen Helices. In Battun angelangt wurde ich gleich nach Redut-Kaleh beordert, wo ich während 3 Wochen wieder das Lagerleben genoss. Beim ersten Anblick dieses unw irthlichen Dünendorfes versprach ich mir 'wirklich nicht die 34 Spec., die mir in einigen Tagen in die Hände fielen. (Es sind