émis (la fréquence,
l’intensité, la du-
rée …).
Un bruit est une
perturbation so-
nore choisie ou su-
bie, appréciée ou
pas. Nous sommes
constamment en
présence du bruit
que ce soit dans
les espaces pu-
blics et dans notre
quotidien. Chaque
individu a sa
propre perception
du bruit, par
exemple la mu-
sique d’un individu
peut être considé-
rée comme un bruit
néfaste et négatif
chez un autre. Un
bruit peut faire
partie intégrale-
ment de l’identité
du lieu bien qu’il
peut vite se trans-
former en gêne. La
nuisance sonore
dépend également
des caractéris-
tiques des sons
QU’EST-CE QU’UN BRUIT?
CONNAÎTRE SON ENNEMI !
Dans notre cadre
de vie familial et
professionnel nous
sommes subis à
une multitude de
bruits plus ou
moins dangereux
et désagréables.
On peut citer les
appareils électro-
ménagers, les
bruits liés aux
transports routiers
prenant en compte
les bruits de la cir-
culation automo-
bile, les bruits et
vibrations liés aux
transports des
voies ferrées con-
cernant principale-
P A Y S D E L A L O I R E
Relandeau Alexandre
Kalombo Hans
Année 1, n° 1
Un bruit, un
ennemi
Sommaire :
Qu’est ce qu’un bruit
Connaître son enne-
mi
L’unité et la fré-
quence du bruit
Les limites de notre
oreille
Les risques
Les solutions appor-
tées
La prévention avant
tout
Dans ce numéro :
Article intérieur 2
Article intérieur 2
Article intérieur 2
Article intérieur 3
Article intérieur 4
Article intérieur 5
Article intérieur 6
Légende accompagnant l'illustra-
tion.
ment le métro…
Cependant il existe
d’autres sortes de
bruit que nous sous
-estimons et igno-
rons les consé-
quences tels que
les voix humaines
(cris, chants), le
volume de la radio
et de la télévision,
les instruments de
musique (qui enre-
gistrent des sons
de très hautes fré-
quences), les con-
certs, les Mp3 et
des nuisances so-
nores liés au travail
industriel
(machines, chutes
d’objets …).
té. L’oreille com-
mence à être en
danger à partir de
80-90 dBs ce qui
équivaut à un aspi-
rateur. Le risque de
surdité est quant à
lui atteint à partir
de 85 dBs. A titre
Quels sont les li-
mites de mon
oreille ? C’est une
question que beau-
coup peuvent se
poser. Le bruit est
le 2 ème facteur
environnemental
négatif pour la san-
de comparaison un
avion ou un mar-
teau piqueur at-
teint 120 dBs, le
centre de Paris
77dBs.
LES LIMITES DE NOTRE OREILLE !
L’UNITE ET LA FREQUANCE DU BRUIT
mesure la hauteur
d’un son ; plus le
son est aigu plus la
fréquence est éle-
vée. L’oreille hu-
maine a la capacité
de capter les fré-
quences allant de
16 Hertz à 20 000
Hertz.
Il existe un appareil
permettant de me-
surer le niveau so-
nore d’un bruit ou
d’un son : le sono-
mètre.
Des chercheurs et
spécialistes du
bruit ont mis au
point une unité per-
mettant de mesu-
rer l’intensité du
bruit : le décibel
(dB). La fréquence,
exprimée en Hertz
« Le bruit est le
2ème facteur
environnement
négatif »
Page 2
Un bruit, un ennemi
Les risques sont de
plus en plus grands et
les conséquences de
plus en plus drama-
tiques. En effet, 1 ly-
céen sur 10 à des pro-
blèmes d’audition,
soit 2 fois plus qu’il y
a 10 ans. Il existe des
effets nocifs sur le
système cardio-
vasculaire et des diffi-
cultés d’apprentis-
sage. Certains per-
sonnes habitent près
d’une salle de con-
cert, cela peut entraî-
ner d’autres pro-
blèmes : problème de
sommeil, maux de
tête, palpitation, op-
pression…
En France, la surdité
professionnelle est
reconnue comme une
maladie par l’Assu-
rance Maladie.
L’industrie étant l’un
des secteurs les plus
touchés par la surdité
les entreprises doi-
vent donc s’équiper de
murs antibruit. Un
mur antibruit coûte
encore 150 000 eu-
ros…
est un donc un réel
enjeu de Santé Pu-
blique.
Les solutions passent
en grande partie par
l’éducation à l’écoute,
l’apprentissage des
sons dès l’école et
surtout le respect
d’autrui. Quelque soit
les problèmes ou les
conséquences, la
lutte contre le bruit
LES RISQUES !
LES SOLUTIONS APPORTEES
sieurs moyens effi-
caces peuvent être
mis en place pour li-
miter les nuisances
dues aux bruits tels
que d’inculquer aux
jeunes architectes
des méthodes permet-
tant d’isoler le bruit
dans les bâtiments
intérieurs…
Il reste cependant
beaucoup de chose à
améliorer sur la quali-
té sonore des lieux.
Heureusement des
solutions existent !
Elles consistent à re-
donner une qualité
sonore aux espaces.
La qualité première
d’un espace public
doit proposer des am-
biances agréables
pour l’oreille. Plu-
« L’industrie étant
l’un des secteurs
les plus touchés
par la surdité »
Page 3
Année 1, n° 1
sique sans
mettre le son au
maximum. Et
pour les con-
certs, n’oubliez
pas vos bou-
chons de protec-
tion, cela ne vous
empêchera pas
d’apprécier le
spectacle et en
Quelques con-
seils, un Mp3
peut aller à 110
dBs au maxi-
mum, l’oreille est
donc en souf-
france. Pour évi-
ter ce mal laisser
le volume à la
moitié, il est pos-
sible d’écouter
de la bonne mu-
plus vous proté-
gez vos oreilles !
LA PREVENTION AVANT TOUT
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