etdeluidonnerunsens.Cepositionnementdupatientfaceà
sestroublesestessentiel(unsoutienpsychologiquepeutêtre
nécessaire),ilpermettrauneacceptationetunedynamiquede
traitementbienmeilleure,car«guérirunpatient,c’estl’aguerrir!».
Ainsi,ilpourrafairequecetaccidentdeparcours–lamaladie–
nesignepasl’arrêtdesonhistoiredevie,maisqu’ilpuisse
l’intégreretladépasser.
Lesdifférentesméthodesdetraitementsediscutentensuite.
Labiologiedeterrain,parsonapprochesynthétiquedelasitua‐
tionduterrain,proposeunealternativepersonnaliséeautraite‐
mentstandard(allopathique)delamaladiediagnostiquée.
Nousallonsvousdécriredansleschapitresquisuiventquel‐
quesaffectionstypiques,avecleurstraitementsclassiques,en
mettantenavantlestroublesduterrainquenousavonspu
observer,ainsiquelestraitementsnaturelslesplussouventpro‐
posésparlecalcul,quisesontrévélésmajoritairementefficaces.
Celivren’estpasunrecueilde«recettes»thérapeutiques:
unemêmeaffectionpeutavoirdesmodalitésdifférentes,des
causesetdesadaptationsvariables!D’oùl’intérêtd’uneévalua‐
tionduterrainquivamettrecesdysfonctionsenévidence,les
quantifier(cequelacliniquenepeutpasfaire)etchoisirles
correctionsoptimalessusceptiblesd’améliorerlecas.Sila
biologiedeterrainauncoût,ilestviteamortiparlaprécision
diagnostiqueetlarapiditéd’actiondessolutionsproposées.
Discoursdumédecinàsonpatient,enfindeconsultation:
«Lepremiermédicamentestpourvotrearthrite,maiscetraite‐
mentpeutvouscauseruninfarctus.Lasecondeprescriptionest
pourprévenircerisque,maiscemédicamentpeutendommager
votrefoie.Letroisièmeremèdeestdoncpourprévenircerisque
hépatique,maisilpeutattaquervotrerate.Lequatrièmemédica‐
mentprotègevotrerate,maisilrisquedefairedégénérerla
prostate.Lecinquième…!»