
  Vulnérabilité sismique du bâti d’Aigle  iii 
Préface 
Ce rapport présente les résultats d’un projet pilote sur l’évaluation de la 
vulnérabilité sismique du bâti de la ville d’Aigle située dans le canton de 
Vaud. Ce projet s’inscrit dans le contexte d’une prise de conscience 
croissante de l’importance du risque sismique en Suisse. Afin de pouvoir 
gérer ce risque d’une manière rationnelle, il faut pouvoir le quantifier. Au 
vu de l’influence prépondérante de la tenue sismique des bâtiments sur le 
risque, il est essentiel de mieux connaître la vulnérabilité réelle du bâti. Ce 
projet est une contribution à l’effort de recherche requis. 
Ce projet de recherche a été réalisé dans le cadre d’un mandat de 
recherche attribué par l’Etablissement Cantonal d’Assurance (ECA) du 
Canton de Vaud au Laboratoire de Construction en Béton de l’Institut de 
Structures, (IS – IS.BETON) de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne 
(EPFL). Il a été réalisé sous la direction du Prof. Dr M. Badoux et du Dr K. 
Peter. 
 
Remerciements 
Nous tenons à remercier premièrement et chaleureusement 
l’Etablissement Cantonal d’Assurance du Canton de Vaud pour le soutien 
financier et technique qui a rendu possible cette recherche. Nous 
remercions particulièrement son directeur M. J.-R. Guignard pour son 
appui efficace et visionnaire. Nous avons également beaucoup apprécié 
les contributions apportées par MM. M.O. Burdet, J.-D. Verdon et J.M. 
Lance à ce projet. 
Nous tenons également à remercier l’administration communale d’Aigle 
et en particulier MM. F. Kaehr et Nicolet pour leur temps et la mise à 
disposition de données, actuelles et d’archives, concernant la ville d’Aigle 
et ses bâtiments. Nous remercions aussi Mme P. Yoakim du bureau 
d’Architectes Nicollier et Pilloud (la Tour-de-Peilz, 1814) pour le temps 
qu’elle nous a consacré et les documents qu’elle a mis a notre disposition 
concernant le bâtiment de l’Alimentarium de Vevey. 
Plusieurs collaborateurs de l’IS.BETON ont contribué à cette recherche. 
Nous remercions en particulier MM. V. Pellissier et G. Oreiller, Nous 
remercions également Mlles J. Massonne, D. Pache ainsi que M. B. Gardel 
pour leur contribution. 
 
        Les auteurs