Nancy Writebol, missionnaire américaine atteinte du virus Ébola

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 POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 4 août, 2014 Pour de plus amples informations, veuillez contacter Palmer Holt @ 704 662 2569 [email protected] Nancy Writebol, missionnaire américaine atteinte du virus Ébola, retourne mardi aux États-­‐Unis pour la continuation de son traitement médical ; Son état est toujours stable CHARLOTTE, CAROLINE DU NORD – Nancy Writebol, missionnaire américaine qui a contracté le virus Ébola pendant qu’elle travaillait au Libéria, devrait revenir mardi aux États-­‐Unis pour la continuation de son traitement, selon la SIM (www.simusa.org), l’organisation chrétienne missionnaire à laquelle elle appartient. Son état est toujours grave mais stable. Comme le docteur Brantly, Writebol était membre d’une équipe collaborative de la SIM et de l’organisation d’aide internationale Samaritan’s Purse, quand ils ont contracté le virus tous les deux. Le même avion d’évacuation médicale qui a transporté le docteur Brantly aux États-­‐Unis le 2 août pour la continuation de son traitement, est en route vers le Libéria pour chercher Mme Writebol. Cet avion, équipé d’une tente unique de confinement biologique, retournera à la base de forces aériennes de Dobbins, près d’Atlanta. Mme Writebol sera ensuite transportée à l’Hôpital universitaire Emory et mise en quarantaine dans une unité spéciale d’isolement créée en collaboration avec les Centres de contrôle et de prévention de la maladie. « Nous sommes encouragés et tellement reconnaissants d’apprendre que la condition de Nancy demeure stable et qu’elle rentrera bientôt, » a dit Bruce Johson, président de SIM USA. « Son époux David m’a dit qu’elle avait un meilleur appétit dimanche et qu’elle avait demandé un de ses plats préférés – de la soupe aux patates libériennes – et du café. » Dans quelques jours, David Writebol reviendra aux États-­‐Unis par un autre vol. Il sera réuni avec sa femme en la « visitant » à travers une fenêtre dans l’unité d’isolement. Les missionnaires évacués du Libéria sont arrivées aux États-­‐Unis dimanche dernier. Le groupe, qui comporte deux adultes et six enfants, est logé temporairement sur le campus de la SIM à Charlotte. La SIM observe des protocoles les plus strictes établis par les Centres de contrôle et de prévention de la maladie et par l’Organisation mondiale de la santé afin d’assurer la sécurité de son personnel et du public. Des spécialistes médicaux en maladies infectieuses ont autorisé le départ du Libéria par avion commercial de chaque membre du groupe à être évacué. À leur retour, chacun a passé un examen médical. Aucun membre du personnel de la SIM qui est de retour ne manifeste de symptômes de l’infection. Le personnel médical de la SIM, en collaboration avec d’autres professionnels du secteur médical, suivront leur état de santé et s’occuperont de leur bien-­‐être. « Très franchement, ceux qui sont de retour aux États-­‐Unis ont besoin d’un asile tranquille et temporaire où ils peuvent se reposer, se détendre et recevoir l’amour d’autres membres de la famille de la SIM, » a dit Johnson. « L’intérêt de la part des médias est élevé. Nous demandons qu’on protège la vie privée de notre personnel. » Bien que le personnel non-­‐essentiel ait quitté Libéria, la SIM a envoyé un autre médecin missionnaire de la SIM pour apporter son aide au traitement des malades du virus Ébola dans un centre de traitement mis à part sur le campus de la SIM / ELWA qui couvre une superficie de 65 hectares à Monrovia, Libéria. « Notre Hôpital ELWA est dirigé par de capables médecins, administrateurs et du personnel libériens, » a dit Johnson. Deux médecins expatriés de la SIM travaillant sur le site ont soigné Dr Writebol, Dr Brantly et d’autres malades en collaboration avec leurs collègues libériens. Le personnel libérien des autres ministères de la SIM, y compris sa station de radio et un groupe qui s’occupe de l’éducation sanitaire du public, est toujours à l’œuvre. Vous pouvez lire en anglais à www.simusa.org des mises à jour de la condition de Madame Writebol et le rôle de la SIM en luttant contre cette épidémie d’Ébola au Libéria. La SIM est une organisation chrétienne missionnaire dont le personnel compte presque 3.000 ouvriers travaillant dans plus de 65 pays. En plus de la médecine, la SIM sert tous les continents dans les domaines de l’éducation, du développement communautaire et de la santé publique tout en rendant un témoignage chrétien. Deux des trois fondateurs de la SIM sont décédés du paludisme pendant la première année de fondation de l’organisation. Pourtant, la SIM a continué et a réussi à devenir une des missions médicales les plus importantes au monde. PHOTO : Nancy Writebol 
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