Symbole 1 Symbole 2 Définition unité

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Symb. 1 / Définition
Symb. 2
A
Adiabatique
γ
sans échanges de chaleur pv = c
Air (caractéristiques)
Autocorrélation
(voir aussi intercorrélation)
Avogadro
B
Boussinesq
Définition
C
Chaleur latente
Coefficient de frottement
Coefficient de traînée
Conductivité thermique
Constante des gaz parfaits
Constante solaire
1
T →∞ 2T
Rxx (τ) = lim
N
γ =7 5
gaz diatomique
convection
L
Cd
λ (k angl)
R
τp
Contrainte totale
τ
T
∫−T x(t + τ) x(t )dt
nb d'Avogadro 6.023 1023
⎛∂ U i ∂ U j ⎞ 2
− ui u j = νt ⎜
+
⎟− kδ i j
⎝ ∂ x j ∂ xi ⎠ 3
turbulence
Contrainte pariétale
Coriolis
Paramètre de Coriolis
Tvγ −1 = c te γ = Cp Cv γ = 5 3 gaz monoatomiq ue R=Cp-Cv
te
Formules de Sutherland
hypothèse
Boussinesq
unités
approximation : la masse volumique est considérée comme constante dans les équations, sauf dans les termes de poussée
ex : air 2.5 106 J.kg-1 à 273.15 K
cd ≡
D
1
ρU 2 L
2
Cf =
τp
1
ρU 2
2
où D traînée par unité de largeur [Nm-1], L longueur de plaque
Voir coefficient de frottement
voir formule de Sutherland pour l'air (voir air)
W·m-1K-1
-1
-1 -1
R = 8.314 (pour l'air, M=28.95g.mol , r = R/M = 287 J.kg .K ) R = Cp-Cv
J mol-1 K-1
L’énergie solaire qui parvient à la Terre (1367 w/m2 en moyenne au cours de l’année) varie alors de 6% (4 fois
l’excentricité) passant de 1408 W/m2 au point le plus proche à 1326 W/m2 au point le plus éloigné
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim/sysfacte/soleil/soleil1.htm
⎛ ∂u ⎞
τ p = µ ⎜⎜ ⎟⎟
⎝ ∂y ⎠ paroi
τ = − ρ < u ' v' > + µ
∂U
∂y
r
r
Coriolis (accélération de) = 2 ⋅ U × Ω
r
pour la terre Ω = 7.27 10
−5
[rd s-1] et localement
r
ω = Ω sin(latitude)
m s- ²
Paramètre de Coriolis f = 2Ω sin φ (φ latitude)
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-1-
Couche limite
atmosphérique
D
Diffusivité thermique
Diffusivité turbulente
Dirichlet
Divergence
E
Écart type
CLA
a (γ ang.)
K
cn. aux
limites
div
σ
Quelques centaines de mètres, la rugosité et les obstacles y induisent de la turbulence.
Subdivision :
• Couche d’Ekman, partie sup de la CLA, influence du frottement, des forces dues aux échanges thermiques, de la force
de Coriolis ; le vent subit une rotation avec l’altitude dûe à la force de Coriolis pour s’aligner en altitude avec le vent
géostrophique
• Couche de surface, force de Coriolis négligeable, direction du vent influencée par la topographie et par les variations
thermiques.
• Cous-couche rugueuse, de quelques dixièmes de mm (mer calme) à quelques dizaines de mètres (zone fortement
urbanisée). Écoulement turbulent, non homogène et instationnaire. Caractérisé par une rugosité globale z0 [m].
diffusivité thermique γ =
λ
m² s-1
ρ Cp
m² s-1
<eddy diffusivity>
conditions aux limites : Dirichlet
sur la frontière G = cste
div V = ∇.V (V quantité vectorielle)
Pour une composante ui de fluctuation de vitesse σ u =
i
Échelle grande (atmosph.)
Échelle intégrale
ui2
À l’échelle de la planète, échelles synoptiques.
Supérieur à la centaine de km.
Constantes de temps typ.: 15 h - 70 j. Responsable des tendances météo à long terme
Λ ≡ ∫ ρ (τ ) dτ où l ' on utilise le
∞
integrale
0
Echelle intégrale Λ
coefficient d' intercorrélation
ρ (τ ) = ρ ( −τ ) ≡
Échelle méso (atmosphère)
Échelle micro
(atmosphère)
Échelle sub-méso (atm.)
Échelle synoptique
(atmosphère)
Échelle de longueur
caractéristique de la région
interne (couche limite).
Longueur visqueuse
u(t ) u(t + τ )
u2
Échelles régionales. Cste de temps typ. 2h (de 5 à 1000 km)
Taille inférieure au km. Constantes de temps 1 s à quelques minutes
Échelles intermédiaires entre méso et micro. Cste de temps typ. 10 mn
grande échelle, échelle des fronts des anticyclones et des dépressions
ordre de grandeur temporel : du jour à quelques jours.
z*
à partir de l'échelle de vitesse u* : z* =
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ν
u*
-2-
Échelle de vitesse (couche
limite)
u*
Énergie cinétique
turbulents
Énergie statique
k
à partir de la contrainte pariétale u* =
τp
ρ
voir vitesse de frottement
m2s-2
s = CpT + g ⋅ z [Men 2004]
ex : variation de température d'une masse d'air sec passant de 0 à 1000m ∆T =
Enthalpie
Épaisseur de la couche
limite planétaire (PBL)
H
h
H = U + PV
Hauteur de mélange ou hauteur de la PBL
Limite de diffusion verticale des panaches et bouffées. Intervient dans de nombreux paramètres ( z / h
Mesures directes préférables mais rares
Utilisation de considérations théoriques simples pour son estimation, par exemple :
h ≈ 0 .3
Équation de Fourier
Équation de Laplace
Équation de Poisson
Équations 1er ordre
Fourier
Laplace
poisson
1er ordre
Équations 2ème ordre
2ème ordre
Équations hyperboliques
Équations paraboliques
Ergodicité
elliptiques
hyperbolique
s
paraboliques
h / L ) et échelles.
u*
f paramètre de Coriolis, u*
f
cf. [Ary 1998] p98 (§4.8.2)
∆G = 1/D ∂G/∂t
∆G = 0
∆G + S = 0
a( x, y, f )
∂
2
2
f
∂x
2
∂
f
a
Équations elliptiques
g ⋅ 1000
≈ 10°
Cp
∂
∂ f
∂ f
+ b( x , y , f )
= c( x , y , f )
∂x
∂y
∂ 2 f
∂ 2 f
+
b
+
c
=e
∂ x∂ y
∂ x2
∂ y2
f
+
∂
2
f
∂y
2
= 0 (Laplace)
1 ∂ 2 f
=
⋅
∂ x 2 c2 ∂ t 2
α
2
∂
∂ f
=
∂t
∂ x2
2
f
(c = cste)
(α = cste)
Hypothèse d’ergodicité : C'est l'une des bases fondamentales du traitement du signal aléatoire.
Pour un signal ergodique nous pouvons remplacer les moments statistiques par des moments temporels.
F
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-3-
Fahrenheit
flux
Flux de chaleur turbulent
de surface
Formules de Sutherland
deg. Fahrenheit Θ °C = 5/9(θ - 32) θ en °F
flux de g : g par unité de surface
H0
G
gradient
H
I
Intensité de turbulence
Intensité globale de
turbulence
Intercorrélation
J
K
Kolmogorov
H 0 = − θ ' w' 0 ρ C p
H 0 = −ρC pu*θ*
u*, θ*
Formules permettant d'évaluer la conductivité de l'air lambda et la viscosité mu de l'air à la température T
Dans Excel :
Tr
300
µr
1.85E-05
Sm
110.4 0.368*Tr
λr
0.0262
Sl
194.4 0.648*Tr
ρ0
1.177
T
lambda
mu
ρ0
Fourier
[ ]m-²
cn. aux
limites
grad
400
0.0336
2.29E-05
0.883
= λr*(T/Tr)^(3/2)*(Tr+Sl)/(T+Sl)
= µr*(T/Tr)^(3/2)*(Tr+Sm)/(T+Sm)
= ρ0/T*Tr
conditions aux limites : Fourier
∂G
= cste ⋅ (G - G 0 )
∂n
grad G = ∇ ⋅ G (G quantité scalaire)
emploi abusif du Taux de turbulence
ui ui
(
2k
1 2
où k est l’énergie cinétique du mouvement turbulent k =
u x + u 2y + u z2
2
U
U
1 T
Rxy (τ) = lim ∫ x(t ) y (t − τ)dt
T →∞ T 0
pour des composantes fluctuantes de vitesse : Ru u (∆r , ∆t ) = ui (M , t )u j (M + ∆r , t + ∆t )
i j
I=
=
microéchelles
microéchelles de Kolmogorov
.
( )
η ≡ ν3 ε
14
[m]
plus petite échelle, au delà, la viscosité empêche leur formation.
τ ≡ (ν ε )
[s]
constante de temps de cette plus petite échelle.
υ ≡ (νε )
[ms-1] échelle de vitesse correspondante.
12
14
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)
-4-
ηt =
k3 2
tourbillons énergétiques, action sur le mouvement moyen, longueur de
ε
mélange ou échelle intégrale.
η ⎛⎜ k 1 2η ⎞⎟
=
= R 3t 4
⎜
⎟
ηt ⎝ ν ⎠
Nombre de Reynolds turbulent.
voir spectre d’énergie et de dissipation
L
Laplacien
Loi de paroi
Ref.: Cousteix
Loi de paroi - près de la
paroi - sous couche
laminaire
∆
∂ 2g ∂ 2g ∂ 2g
∆g = ∇ . ∇g ∆g =
+
+
∂ x2 ∂ y2 ∂ z2
U + = f ( y+ )
loi universelle
Viscosité dominante U = τ p
y
µ
ou U
+
= y+
+
En pratique valable pour y < 3
Remarque la désignation de sous couche laminaire est assez impropre car l'écoulement n'a pas les caractéristiques d'un
écoulement laminaire. Les fluctuations de vitesse y sont importantes.
Loi de paroi - région
interne loin de la paroi région inertielle
logarithmique
Loi de paroi - région
tampon - buffer layer
Loi de paroi - Région
externe - loi des vitesses
déficitaires
C'est la turbulence qui devient prédominante U
+
=
loi universelle χ constante de Von Karman χ= 0.41
+
En pratique valable pour y > 40
1
χ
ln y + + C
et C voisin de 5
Elle raccorde la sous-couche "laminaire" et la région inertielle logarithmique
Région entièrement contrôlée par la turbulence. On exprime le défaut de vitesse par rapport à la vitesse extérieure.
y δ
Ue −U
y
⎛ y⎞ ⎛ y⎞
= Φ (η ) avec η = et où la fonction Φ (η ) =
Φ ' ⎜ ⎟ d ⎜ ⎟ est calculée à partir de la limite de la
1
U
δ
⎝δ ⎠ ⎝δ ⎠
τ
∫
couche limite. pour être compatible avec la loi logarithmique, Φ' peut être de la forme Φ ' =
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1δ
χ y
-5-
Longueur de Monin
Obukhov
− u*3 θ
L=
[Pah 2001] (k=0.4 cste de Karman, θ température, g=9.81, u*
kg w' θ' 0
L
Complément
L=
M
Moment
Moyenne
N
Nabla
Neumann
mod eq
x,
(τ0 ρ)3 2
u*2
=
θ* température de frottement [Ary 1998]
k ( g T0 )(H 0 ρ ⋅ Cp ) k ( g T0 )θ*
Ho flux de chaleur turbulent de surface
masse molaire
moment : U·U
x
∇
cn. aux
limites
m-1
∂
∂x
∂
nabla: vecteur ∇
∂y
∂
∂z
conditions aux limites : Neumann condition sur le gradient de la variable sur la frontière
Nombre de Mach
Nombre de Péclet
M
Pe
M = u/a
a
γ
Pe =
=
( angl )
u⋅ L u⋅ L
Nombre de Prandtl
Pr
Pr =
Nombre de Reynolds
Re
Nombre de Reynolds
turbulent
Rt
Nombre de Richardson
kg mol-1
m² s-²
Ri
Rib, RiB, Rih
Re =
ν
a
uL
=
∂G
= cste
∂n
sans
ν
(angl )
γ
sans
sans
ν
η ⎛⎜ k 1 2η ⎞⎟
= R 3t 4
=
ηt ⎜⎝ ν ⎟⎠
voir Kolmogorov
Caractérise l'importance relative de la flottabilité et du cisaillement sur la turbulence.
Gradient :
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Ri =
g ∂ θ ∂z
T0 ∂V ∂z 2
[Ary 1998]
-6-
Volumique (bulk)
De mélange (mixed)
Bulk for PBL
Rib =
g ∆ θ zr
T0 V r2
2
g (∂ θ ∂z ) z r
RiB =
T0
V r2
Rih =
g ∆θ h
T0 Vh2
h épaisseur de la couche limite
(instable ou flux ascendant si θ nuage < θ environnement))
Nuage
∆θ v = θ v nuage − θ v environnement
LOC limit of convection
LCL lifting condensation level
LFC level of free convection
CAPE convective available potential energy CAPE =
O
P
Prandtl turbulent
Pr
produit vectoriel
∧
Produit vectoriel
Q
Quantité de mouvement
R
Région de paroi - région
interne - sous couche
visqueuse
Richardson
Rotationnel
S
Spectre d’énergie
∧
Pr turbulent νT/γT
x
x'
yz '− zy '
r
r
r r
U y V y'
U × V zx '− xz '
z
z'
xy '− yx '
r r r
r
r r
W = U ^V
W = U ⋅ V ⋅ sin α
z LOC
∫z = z
LFC
g
θ
∆θ v ( z ) dz
W
α
V
U
m·V (rem : le tfr de qté de mmt par unité de surface et de temps → pression ou contrainte)
kg·m·s-1
Comprend la sous-couche "laminaire", la région tampon et la région inertielle logarithmique
… voir nombre de Richardson
rot
rot V = ∇ ∧ V
Densité spectrale d’énergie E(K)
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m3 s-1
ou
-7-
∞
(Lau 95)
k = ∫ E ( K )dK
0
m2s-1/m-1
-1
K nombre d’onde [m ]
k énergie cinétique turbulente [m2s-2]
Spectre de dissipation
∞
∞
ε = ∫ D( K )dK = ∫ 2ν K 2 E ( K )dK
(Lau 95)
0
E(K)
0
2
D( K ) = 2ν K E ( K )
D(K)
0
Stabilité (de la couche
limite terrestre ou PBL)
Sutherland (formule de)
m3 s-3
ou
m2s-3/m-1
Densité spectrale de dissipation D(K)
h/L
h
hk g H 0
hk gθ
=− 3
=− 2 *
L
u* T0 ρC p
u* T0
KM
K
basé sur la théorie de la similitude dans la PBL [Ary 1998] p. 101 ; en
l'absence d'informations sur les flux de surface de quantité de mouvement et de chaleur, on utilisera le nombre de
Richardson volumique pour la PBL.
L, h épaisseur de la couche limite planétaire (PBL)
Formules permettant d'évaluer la conductivité de l'air λ et la viscosité µ de l'air à la température T
Tr = 300,µ r = 1.85e − 05,λr = 0.0262
Sm = 110.4 = 0.368 * Tr ,Sl = 194.4 = 0.648 * Tr
⎛T ⎞
pour l’air λ = λ r * ⎜
⎟
⎝ Tr ⎠
32
(Tr + Sl )
(T + Sl )
32
(Tr + Sm)
(T + Sm)
⎛T ⎞
µ = µr *⎜ ⎟
⎝ Tr ⎠
Dans Excel :
Tr
300
µr
1.85E-05
λr
0.0262
ρ0
1.177
T
lambda
mu
ρ0
400
0.0336
2.29E-05
0.883
Sm
Sl
110.4
194.4
0.368*Tr
0.648*Tr
= λr*(T/Tr)^(3/2)*(Tr+Sl)/(T+Sl)
= µr*(T/Tr)^(3/2)*(Tr+Sm)/(T+Sm)
= ρ0/T*Tr
T
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-8-
Taux de déformation
si j
Taux de dissipation
Taux de turbulence
Température potentielle
ε
1 ⎛ ∂ ui ∂ u j ⎞
= ⎜
+
⎟
2 ⎝ ∂ x j ∂ xi ⎠
s-1
par unité de masse [W·kg-1]
rapport entre l’écart type de la fluctuation et la vitesse moyenne I u =
i
θ
⎛ P ⎞
θ ( z ) = T ( z )⎜⎜ 0 ⎟⎟
⎝ P( z ) ⎠
σ ui
Ui
m2 s-3
Peut aussi être rapporté à U
R / Cp
[Men 2004 p.2 eq 1.2]
Température qu'aurait une parcelle d'air si on la ramenait, par une transformation adiabatique, à une pression de référence
P0 que l'on prend en général égal à 1000 hPa. Sur l'émagramme, on suit une courbe adiabatique sèche jusqu'à 1000 hPa, en
partant du point représentant la température et la pression de la particule d'air.
http://www.meteofrance.com/FR/glossaire/designation/1284_curieux_view.jsp
Température de frottement
U
V
Variables de paroi (couche
limite)
Variables internes
θ*
U+
z+
Vent géostrophique
θ* = −
H0
ρ ⋅ Cp ⋅ u*
θ* =
θ ' w' 0
u*
H0 Flux de chaleur turbulent de surface
0 partir des échelles de vitesse et de longueur dans la CL
U+ =
Ut
u*
z+ =
z
z*
Ut est la vitesse tangentielle
Vent en altitude non influencé par la « rugosité ». Se calcule à partir du gradient de pression (cartes isobariques)
V =
Viscosité cinématique
ν
Vitesse de frottement
Uτ, υ∗
grad p
r
2 ρ Ω sin(lat )
direction : hémisphère nord tangent aux courbes isobares sens : vers la droite en regardant depuis les hautes pressions
voir aussi formule de Sutherland
poiseuille (Pl) = 1 pascal.seconde (Pa.s)
Un sous-multiple encore usité mais dont l’usage est déconseillé, est le poise (Po ou P), ancienne unité CGS :
1 poise (Po, P) = 0,1 Pa.s
ν = µ/ρ
vitesse de frottement u* définie par
à 20°C : ν air =
Vitesse du son
(vérif sgn…)
a
⎛ ∂ ux ⎞
= ρ u*2
⎟
⎝ ∂ y ⎠ x =0
µ⎜
⎛ γ p ⎞1 2 ⎛ γ RT ⎞1 2
⎟
vitesse du son a = ⎜
⎟ =⎜
⎝ M ⎠
⎝ ρ ⎠
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u* = Uτ =
τp
(
⎛ ∂u ⎞
= ν ⎜⎜ ⎟⎟ = − u ' w' 0
ρ
⎝ ∂y ⎠
m² s-1
)1 2
m
-9-
Vorticité
W
X
Y
Z
zza Signet « a »
zzc heuristique
zzc stochastique
ω
ω = rot(u) = ∇ ∧ u
En attente
(processus) à une valeur d'une variable A correspond une valeur simplement probable de B; variable # ou variable
aléatoire. Qui est dû au hasard. (Math) Qui relève du calcul des probabilités.
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-
- 10
_________________________________________
Couche limite turbulente
Cousteix
5.4 Région interne, région externe - loi logarithmique
Condition de non glissement à la paroi
=> il existe au moins deux régions dans la CL, résultant de l'analyse du frottement total
∂U
− ρ < u ' v' > + µ
∂y
loin de la paroi dominée par la turbulence - région externe, turbulence développée.
près de la paroi, dominée par la viscosité - région de paroi ou région interne.
région intermédiaire, région logarithmique (en raison du profil des vitesses).
Région interne - Loi de paroi
Épaisseur faible => frottement total reste égal au frottement de paroi
Bibliographie
très partielle…
[Ary 1998]
S. Pal Arya, Air Pollution Meteorology and Dispersion, Oxford University Press, 1998
[Pah 2001] Markus Pahlow, Marc B. Parlange and Fernando Porté-Agel, On Monin–Obukhov Similarity In The Stable
Atmospheric Boundary Layer
Boundary-Layer Meteorology
Publisher: Springer Netherlands
ISSN: 0006-8314 (Paper) 1573-1472 (Online)
DOI: 10.1023/A:1018909000098
Issue: Volume 99, Number 2
Date: May 2001
Pages: 225 - 248
[Men 2004] Laurent MENUT, Introduction à la modélisation en dynamique et chimie de l'atmosphère, Polycopié de cours,
DEA "Chimie de la pollution atmosphérique et physique de l'environnement, LISA Créteil, 2004
Compléments
Monin Obukhov
Laurent MENUT - [[email protected]]
Laboratoire de Météorologie Dynamique
http://euler.lmd.polytechnique.fr/menut/DEA_POLYCOURS2004.pdf
extrait, p.41 / Éléments repris sans doute de P. Arya
En théorie des similitudes, la théorie de Monin-Obukhov est une extension permettant d'estimer les flux
turbulents dans toute la couche limite et en période stable et instable. On définit une nouvelle variable, θ*,
de conception proche de u*, dénommée température de frottement et telle que :
H0
θ* = −
(4.38)
ρ ⋅ Cp ⋅ u*
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H0 : Flux de chaleur turbulent
On définit aussi la longueur de Monin-Obukhov L telle que :
θ0 u*3
L=
k ⋅ g H0 ρ C p
(
)
(4.39)
Cette variable L est homogène à une longueur et définit l’épaisseur de la couche en contact avec le sol dans
laquelle les processus de flottabilité dominent les processus de cisaillement de vent pour la production de
la turbulence. Par suite, z/L sera donc un paramètre de stratification verticale thermique de l’atmosphère et
quantifiera la hauteur au dessus du sol à laquelle la production de turbulence est due à part égale aux forces
mécaniques et de flottabilité. Le tableau 4.2 présente des valeurs ”typiques” de longueur de MoninObukhov en fonction de la stabilité atmosphérique.
L [m]
L ≤ -105
-105 ≤ L ≤ -100
-100 < L < 0
0 < L < 10
10 ≤ L ≤ 105
105 ≤ L
Stabilité
Neutre
Instable
Très instable
Très stable
Stable
Neutre
TAB. 4.2 – Valeurs typiques de longueurs de MoninObukhov L
A partir de la hauteur de la couche limite h et de la longueur de Monin-Obukhov L, qui sont deux
”longueurs”, on peut définir des critères de stabilité de l’atmosphère :
h L < 0 correspond à une production de turbulence et donc à une
atmosphère instable (convective).
h L ≈ 0 définit une atmosphère neutre
h L > 0 correspond à une atmosphère stable (la flottabilité détruit de la
turbulence)
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