4 fev.2013 La révolution des technologies numériques Quand l ' informatique vient renfort en de la Les4 " Assises des technologies numériques de santé ont permis Le nuage est partout À l ' les clésde ce ne sont pas entre de faire le point sur la mains des Français Le situation française des données médicales par caractérisée un manque est un genre dans lequel ' d investissement en matière excellent les Américains à de transfert rapide « cloud computing » ( et de stockage des données consiste à stocker sur des mais aussi par de distants des données nombreuses solutions habituellement thérapeutiques innovantes. sur des serveurs locaux le poste de l utilisateur ) LE DrLAURENT imagerie médicale pèse de affirme sans ambages « plus lourd tout comme ' Aujourd hui et pour la de santé en général. on ne peut plus exercer nécessite des capacités de médecine sans informatique ». dont ne disposent Pour le fondateur du site « plupart des établissements. Doctissimo » qui intervenait dans Caillet de la cadre des zlee Assises des de France ( FHF ) le technologies numériques de santé « lui-même « Dans les résistance des professionnels publics il faudrait un santén' est plus tenable ils d euros d doivent s' approprier ces nouvelles sur les systèmes d technologies » Avec une mise en santé pour être à garde claire à la clé l intrusion mais ce milliard n' est pas du numérique dans le domaine » de la santé« va redistribuer pouvoir médical versceux qui La charrue avant les boeufs. Autre motif d inquiétude pour ont le pouvoir informatique ». nombre d experts la capacité des infrastructures françaises à faire circuler très rapidement l in entendre , . , notamment , , ' . ' ' l formation numérique Certains départements disposent de la fibre optique d autres pas Et dans les zones rurales il est souvent difficile de transmettre des fichiers volumineux « En France on parle beaucoup de telé-santé mais sans trop se préoccuper de savoir si les infrastructures sont suffisantes » regrette Patrice Cristofini des ventes du département santé de Huawei n° 2 mondial des équipementiers en télécommunications À l inverse dans les pays émergents « l »' e-santé explose selon lui car ils par développer les infrastructures avant les . . . , , , ' . , , . , , responsable , ' . , , , , commencent ». applications , , , . , ' ' , ' . ' : , . ' ' : ' Lecteur de glycémie et smartphone Tout n' est pas sombre. Les assises ont témoigné de cette révolution numérique au service de solutions thérapeutiques ( lire aussi ci-dessous ) facilitant la vie des patients et le travail des . , soignants. Le dernierlecteur de glycémie de 13G Star est un exemple. Il se connecte à un smartphone ou à une tablette affiche les données et l historique et les envoie Sanofi 1 , , , ' , à l établissement de santé voire au nutritionniste. Comme tout lecteur de glycémie il peut fonctionner sans le smart au médecin ' , , , 1/2 phone celui-cine servant que pour la transmission instantanée des données. D autres innovations voient le jour Un patient doit prendre un médicament dès qu' il arrive chez lui ou à son bureau ?Grâce à la géolocalisation il est alertépar SMS dès qu' il s' approche de l un de seslieux. Selon Jérôme Stevens directeur général de Direct Medica une expérimentation est en cours à l , ' . , ' , , ' européen ( HEGP ) Lepatient effectue des examens biologiques entre hôpital Georges-Pompidou . deux séances de chimiothérapie et les résultats sont envoyés directement à l HEGP « Avec ce système tout est prêt quand le patient revient pour une nouvelle séance C' est la chimio qui attend le patient à l HEGP et ' non l inverse » assure-t-il. La grande bataille du numérique en santé n' est pas gagnée. Comme le rappelle le Dr JeanFrançois Thébaut membre du collège de la Haute Autorité de santé ( HAS ) des résistances restent à surmonter « En France les professionnels de santé restent notoirement sous-équipés ' . , . , Seulement 68 %% des généralistesfrançais ont recours à des dossiers médicaux électroniques , , . , en informatique regrette-t-il , , même si la dernière convention les incite financièrement à le faire . » > HENRI DE SAINT ROMAN 2/2