P De Geytère, CPC - I Dumond- Bidaud, PEMF - M Gadpaille,PEMF - N Mutnik, CTICE- A Perdriat, CPC –
4. Bibliographie :
- « L’enseignement scientifique à l’école maternelle », André GIORDAN CDDP de
Nice, Z’Editions
- « Le corps en questions », E.PAUTAL CDDP du Limousin, 2002
- « A la découverte du monde du vivant » Outils pour le cycle, CRDP du Centre-
Orléans, 2006.
- « la découverte du monde vivant » Tavernier pédagogie, Bordas
5. LE CONCEPT DE VIVANT – Proposition de progression PS/MS/GS
C’est en comparant les objets d’étude que l’on fait émerger les caractéristiques d’un
concept. Pour l’étude du vivant il s’agit de mettre en relation constamment l’animal
(l’humain), le végétal et le monde des objets.
Le concept de vivant dans les programmes de 2008 apparait dans la compétence
suivante : connaître des manifestations de la vie animale et végétale, les relier à de grandes
fonctions : croissance, nutrition, locomotion, reproduction.
Afin d’identifier ces fonctions, de les rendre compréhensibles aux élèves, nous proposons
une démarche qui recherche, en comparant divers objets d’étude, les ressemblances et les
différences.
De ces ressemblances naîtront les caractéristiques du concept : chaque animal et chaque
végétal ont des points communs (ils naissent, se nourrissent, respirent, se reproduisent et
peuvent mourir).
Pour les PS :
Les objets d’étude « vivants » (l’enfant, l’animal, le plante) sont confrontés au « non-
vivant » (la poupée, l’ours en peluche, la fleur en plastique…).
Par exemple :
La nutrition : l’enfant et l’animal ont une bouche qu’ils peuvent ouvrir, ils mangent et boivent ;
la poupée et la peluche ont une bouche qui ne bouge pas et ne peuvent être nourris.
La plante dans l’eau se conserve plusieurs jours puis se fane et sèche. Sans eau le
processus s’accélère. La fleur en plastique ne change pas quelque soit l’expérience.