6 amin6s." (Dr . Albert Szent-Gyorgi) L'6lectro-m6decine semble donc reli6e au TMP et recharger sa batterie de stockage. Ceci est important, car accroitre I'apport de nutriments est 6galement un outil efficace pour la r6paration cellulaire. Ceci est particulidrement vrai dans les traumatismes oi la circulation est entrav6e par des vaisseaux sanguins broy6s ou coupes, ou par I'inflammation et I'enflure qui compriment les capillaires, bloquant ainsi la circulation d la fois vers les cellules bless6es et indemnes. La th6rapie PEMF augmente le stockage d'6nergie et I'activit6 cellulaire A l'6chelle sous-atomique, lorsque les champs puls6s se r6pendent et se retirent d travers un tissu, les molecules de prot6ines, telles que les cytochromes dans les mitochondries des cellules, gagnent des electrons et, ce faisant, accumulent de l'6nergie. Mdme si les pics instantan6s des amplitudes de l'6nergie magn6tique sont hds 6lev6s, la moyenne des amplitudes rnagn6tiques g6n6r6es par le PEMF-100 reste faible. L'6nergie totale moyenne transmise aux tissus n'est pas assez forte pour cr6er de la chaleur dans les cellules, ni pour les atomes des cellules de vibrer suffisamment pour entrainer une hausse thermique, ni pour un electron de passer d une orbite plus 6lev6e et d'6mettre de la chaleur quand il retourne d son orbite d'origine. ll n'y a d'6nergie suffisante que pour augmenter l'6lectron-spin, par cons6quent, l'6nergie est stock6e dans les mitochondries des cellules en convertissant I'ADP (ad6nosine diphosphate) en mol6cules d'ATP plus rapidement. Les mol6cules d'ATP accumulent et transportent l'6nergie qui est ensuite utilis6e dans toutes les fonctions m6taboliques des cellules vivantes. Comprendre les effets de la th6rapie PEMF et du PEMF-100 ir l'6chelle atomique n6cessite une compr6hension de base de la m6canique quantique qui est fournie ici. R6soudre l'6quation de Schrddinger pour une mol6cule et d6terminer l'amplitude probable deses 6lectrons sur un nombre infini de trajectoires possibles donne les 6tats de vibration d'une mol6cule. Ceci d6crit la fagon dont l'6tat quantique ou la fonction d'onde d'une mol6cule ou des modifications aux systdmes physiques dans le temps. Une mol6cule diatomique, qui implique un seuldegr6 de libert6 de vibration (celle de I'allongement de la liaison entre l'6lectron et le positon), fournit une description simple (Atkins et al, 2002). Certaines consid6rations de m6canique quantique montrent que, pendant I'excitation 6lectronique d'une mol6cule particuliire dans le m6me 6tat orbital, l'6nergie de l'6tat triplet excit6 est inf6rieur d celui de son 6tat singulet correspondant (S1). Dans les biomol6cules, le passage non-radiatif de l'6tat 52 d l'6tat 51 est g6n6ralement le m6canisme dominant. Ce point de passage entre deux 6tats 6lectroniques de la mdme multiplicite de spin est appel6e conversion interne ("1C") (Atkins et al, 2002). Le processus d'lC est alors suivi d'une relaxation vibrationnelle rapide (diminution) oU l'excds d'6nergie vibratoire est dissip6e en chaleur, la mol6cule se trouve alors au plus bas, le point z6ro du niveau vibratoire de l'6tat 6lectronique 51. De ld, il peut revenir d son 6tat 6lectronique fundamental, S0 (zero), en 6mettant un photon par radiation. Les champs magn6tiques puls6s variables dans le temps 6mis par le PEMF-100 apparemment affects les 6tats 6lectroniques par le systdme de passage ("lSC"), qui est I'excitation de l'6tat Si d l'6tat Ti, otr Ti est l'6tat triplet correspondant (avec 2 6lectrons non appari6s), Le type de passage ISC est fortement affecte par le couplage spin-orbite, qui relaxe la propri6t6 de spin de l'6lectron en la m6langeant avec un caractdre orbital(Szent-GyorgyiA, 1976;Atkins et al, 2002). Ce type de passage ISC mdne la phosphorescence plut6t qu'd la fluorescence et ce avec des propri6t6s thermiques radicalement diff6rentes. Les m6taux lourds, I'oxygdne mol6culaire ayant un 6tat fondamental triplet, des mol6cules paramagn6tiques comme I'h6moglobine, et les atomes lourds tels que I'iode augmentent le taux de passage (Prasad, 2003). En changeant de position autour du noyau de I'atome, un 6lectron g6ndre de l'6nergie et 6met une r6sonance magn6tique de fr6quence sp6cifique. Ainsi, la fr6quBnce sp6cifique de la r6sonance magn6tique des tissus du corps et des organes divers est le produit des fr6quences atomiques individuelles, mol6culaire et cellulaires, sp6cifiques aux mol6cules qui forment le tissu ou un organe particulier. La th6rapie PEMF confond donc la r6sonance magn6tique sp6cifique inh6rente en la modifiant temporairement dans chaque atome, mol6cule, cellule, et donc tissu et organe. Du point de vue de la biophysique, les marqueurs physiologiques repr6sentent un niveau "d'ordre ou de d6sordre" dans la r6sonance magn6tique d'un atome normal qui correspond d des facteurs internes et externes. Les champs 6lecho-magnetiques puls6s generes par le PEMF-100 et les appareils similaires fournissent une 6nergie suffisante a l'6lectron qui, sous tension et donc affecte la r6sonance magn6tique de l'atome. Lorsque la rdsonance magn6tique est perturb6e, la r6sonance magn6tique des 6lectrons d l'6chelle atomique aussi pr6sente un changement, un changement de phase qui ddrange et brise les voies, habituellement ordonn6es, de communication transmise de I'atome d la mol6cule, de la mol6cule la cellule, de la cellules aux tissus, et des tissues aux organes. Ce d6phasage influence ainsi les caract6ristiques physiques et chimiques des marqueurs physiologiques. La th6rapie PEMF s'est r6v6l6e b6n6fique pour de nombreuses fonctions 6nergiques du corps. Les nombreux types de cellules vivantes qui composent les tissus et organes du corps sont comme des unit6s 6lectrochimiques minuscules. Elles sont aliment6s par une "batterie"qui est constamment recharg6e par la chimie du m6tabolisme des cellules dans une boucle ferm6e de l'6nergie biologique. i i La th6rapie PEMF augmente la souplesse et l'6lasticit6 de la membrane cellulaire Une 6tude intitul6e: "Modulation de la production de collagdne dans les fibroblastes cultiv6s par des champs magn6tiques de faible fr6quence" par Munay J. et.al. (Biochim Biophys Acta) montre que la synthdse totale des prot6ines a augment6 dans les cellules confluentes trait6es avec un champ magn6tique puls6 pour 24 h de culture ainsi que dans des cellules trait6es pour un total de 6 jours. Cependant, dans les cellules trait6es pendant 6 jours de culture, I'accumulation de collagdne a et6 sp6cifiquement am6lior6e par rapport aux prot6ines totales, alors que durant une exposition d court terme, la production de collagdne n'avait augment6 qu'en accordance avec les prot6ines totales. Ces r6sultats indiquent qu'un champ 6lectro-magn6tique puls6 peut sp6cifiquement augmenter la production de