Anna Potereau
Physiologie de l’appareil locomoteur
Mécanisme d’adaptation physiologique à l’exercice musculaire
Bioénergie
ATP 60joule/mole mais réserve de 5x10^(-6)
Anaérobie lactique : 2 ATP +lactate
Au bout d’une minute et perdure
Se met en place plus tard et augmente
progressivement
Substrats :
Substrat préféré, faible cout en O2
Pic au bout d’une minute
Meilleur quotient respiratoire mais
gourmand en O2
Substrat essentiel au bout de 30
minutes
Définitions :
Force : traduit une masse x accélération en Newton
Travail : traduit une force x distance en Joule
Puissance : traduit un travail par unité de temps en Watt
Notion de respiration cellulaire et respiration externe
La VO2 augmente avec la puissance jusqu’à une VO2 max qu’on ne peut depasser.
Facteurs déterminants la VO2 max :
-Masse corporelle et IMC : cout du travail musculaire augmente chez l’obèse, pente de la VO2 vs la puissance est d’environ
10ml/min/Watt
- Le sexe : VO2max chez l’homme : 45Ml/min/Kg et 35 chez la femme
-L’âge : diminution de 1% par an après 25 ans
-Patrimoine génétique
-Entrainement
-Facteurs environnementaux
Adaptation ventilatoire à un effort d’intensité progressive :
1ère phase : phase aérobie : production de CO2 et absorption d’O2 évoluent parallèlement
2ème phase : phase aérobie/anaérobie compensée : le système tampon neutralise les lactates
3ème phase : phase aérobie/anaérobie décompensée : le système tampon est dépassé, hyperventilation.
Notion de seuil ventilatoire : puissance à laquelle la ventilation augmente de manière non linéaire, environ 50/60% de la
VO2max.
Mécanismes mis en jeu :
Afférences corticales, hypothalamus, chémorécepteurs périphériques et centraux, mécanorécepteurs pulmonaires
(inhibent les centres respiratoires) , mécanorécepteurs musculaires ( induction des centres respiratoires)