Atelier 3 : Thème : Qualité des soins Ann Cuthill “In England, and I am sure in France, we always leave the best to last. This is the report back from the third and best workshop: I was very pleased to be invited to join this group because quality is obviously at the heart of our work. I was very heartened at the beginning of the workshop that the definition of quality was understood by both sides, both sides of the Channel seem to be very similar. We then had a very, very informative presentation by our French colleagues, with excellent translation incidently, explaining the quality of care from the University and the student perspective in France. And this certainly led to a much wider discussion to include the professionals in healthcare. Participation from both the panel and the audience and a lively discussion took place although we did find short of time. The few points that I’d like to particularly emphasise, that were very similar on both sides of the Channel, were those of the training. It was our understanding that the training of the student nurses here in France is very similar to that in England, with definite links between the University and the placements. We are also in total agreement that evidence-based practice is the foundation of quality of care.” We also highlighted that the documentation required on both sides of the Channel was imperative and in leading place. But I was very heartened, at the end of our discussion, that we had actually put the patient as the pivotal person when we’re looking at the quality of care, and we discussed the patients’ service and patient in public involvement played a vital role in the quality of care and decisions that were made. Thank you!” Linda Way « Effectivement, nous avons abordé la formation des professionnels avec beaucoup de similitudes de part et d’autre et nous avons également évoqué, pour illustrer par des exemples, des protocoles qui sont écrits de part et d’autre. Nous avons surtout insisté sur la nécessité de rédiger des protocoles en lien avec des pratiques, et non pas des protocoles pour des protocoles. Nous sommes bien conscients que la démarche qualité peut être un risque dans ce sens là. Nous avons également soulevés la prise en compte de la qualité dans nos différents systèmes de santé dans la mesure où, au Royaume Uni, 80% des soins sont réalisés « en première ligne » par des cabinets multidisciplinaires qui se trouvent en-dehors de l’hôpital. Ce constat soulève la question d’une démarche qualité, une démarche d’accréditation pour les secteurs à domicile, réflexion sur laquelle nos amis anglais ont déjà largement contribué puisque confrontés au système. En France, cela reste encore un balbutiement, même si par ailleurs les infirmières de ville/infirmière libérales, pour ne citer qu’elles, sont appelées à retourner vers l’hôpital pour conforter leurs formations et développer des pratiques et des techniques plus avancées à domicile. Nous avons également beaucoup insisté, et c’est peut-être aussi le mot de la fin, sur la nécessité dans la prise en compte de la qualité, de toujours garder en ligne de mire le patient 1/2 J:\4 Interreg\Media Materials\Conference Materials for Website\Report of Workshop 3.doc qui est sans doute la seule personne qui puisse dire que les soins sont de qualité et si il est satisfait de la démarche qualité. Sur ce sujet, nous nous somme tout à fait retrouvés et nous étions d’accord pour dire que peutêtre que, s’il était difficile quelques fois d’évaluer des pratiques en terme de comportements et de valeurs, le patient lui pouvait très bien traduire son ressenti et c’était in fine ce qu’il fallait retenir dans l’évaluation de la qualité. » 2/2 J:\4 Interreg\Media Materials\Conference Materials for Website\Report of Workshop 3.doc