Quoi de neuf pour la cognition dans le trouble dépressif majeur

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Quoi de neuf pour la cognition dans le
trouble dépressif majeur :
Derniers résultats cliniques
Avec le soutien institutionnel de Lundbeck
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Quoi de neuf pour la cognition dans le trouble dépressif majeur : Derniers résultats cliniques
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Target Audience
Cette activité éducative est destinée à un public international composé de professionnels de santé non américains, notamment
des psychiatres et médecins généralistes intervenant dans la prise en charge de patients atteints de troubles dépressifs majeurs.
Goal
Cette activité a pour objectif d’accroître la sensibilisation et de discuter des résultats d’études récentes sur les antidépresseurs dans
les troubles cognitifs et le trouble dépressif majeur.
Learning Objectives
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
1. Discuter des implications cliniques du dysfonctionnement cognitif dans le trouble dépressif majeur et son impact sur
l’évolution de l’état de santé du patient
2. Connaître les derniers résultats des études évaluant la fonction cognitive chez les patients sourant de troubles dépressifs
majeurs traités par antidépresseurs
Informations sur la rédactrice en chef et déclarations publiques
Leanne Fairley, diplômée en journalisme, Directrice scientique, WebMD Global, LLC
Leanne Fairley, diplômée en journalisme, a déclaré nentretenir aucune relation nancière pertinente.
Informations sur les auteurs/facultés et déclarations publiques
Intervenant :
Guy M. Goodwin, Académie des sciences médicales du Royaume-Uni, W.A. Handley Professeur de psychiatrie, service de
psychiatrie, Université d’Oxford, Oxford, Royaume Uni
Guy M. Goodwin, Académie des sciences médicales du Royaume-Uni, a déclaré les conits d’intérêt suivant :
Est intervenu en qualité de conseiller ou consultant auprès de : AstraZeneca Pharmaceuticals LP; Boehringer Ingelheim
Pharmaceuticals, Inc.; Bristol-Myers Squibb Company; Cephalon, Inc.; GlaxoSmithKline; Janssen-Cilag; Eli Lilly and Company;
Lundbeck, Inc.; Merck Sharp & Dohme Corp.; Otsuka Pharmaceutical Co., Ltd.; P1vital; Roche; SERVIER; Sunovion Pharmaceuticals
Inc.; Takeda Pharmaceuticals North America, Inc.; Teva Neuroscience, Inc.
A reçu des subventions de recherches cliniques de : Servier
Détient des parts, des stock options ou des obligations de : P1vital
Est intervenu en qualité d’expert judiciaire auprès de : Eli Lilly and Company
Le Prof. Goodwin n’a pas l’intention de discuter des utilisations non autorisées de médicaments, dispositifs mécaniques, produits
biologiques ou techniques diagnostiques approuvés par l’Agence européenne des médicaments.
Le Prof. Goodwin n’a pas l’intention de discuter de médicaments, dispositifs mécaniques, produits biologiques ou techniques
diagnostiques en phase d’expérimentation n’ayant pas encore été approuvés par l’Agence européenne des médicaments.
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Participant :
Le Dr. Roger S. McIntyre, Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, a déclaré les conits d’intérêt suivant :
Est intervenu en qualité de conseiller ou consultant auprès de : AstraZeneca Pharmaceuticals LP ; Bristol-Myers Squibb Company ;
Eli Lilly and Company ; GlaxoSmithKline ; Janssen-Ortho Inc. ; Lundbeck, Inc. ; Merck & Co., Inc. ; Organon Pharmaceuticals USA Inc.
; Pzer Inc ; Shire
Est intervenu en qualité de conférencier ou membre d’un bureau de conférenciers auprès de : AstraZeneca Pharmaceuticals LP ; Eli
Lilly and Company ; Janssen-Ortho Inc. ; Lundbeck, Inc. ; Merck & Co., Inc. ; Pzer Inc.
A reçu des subventions pour la recherche clinique allouées par : AstraZeneca Pharmaceuticals LP ; Eli Lilly and Company ; Janssen-
Ortho Inc. ; Lundbeck, Inc. ; Pzer Inc ; Shire
Le Prof. McIntyre n’a pas l’intention de discuter des utilisations non autorisées de médicaments, dispositifs mécaniques, produits
biologiques ou techniques diagnostiques approuvés par l’Agence européenne des médicaments.
Prof McIntyre a l’intention de discuter de médicaments, dispositifs mécaniques, produits biologiques ou techniques diagnostiques
en phase d’expérimentation nayant pas encore été approuvés par l’Agence européenne des médicaments.
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Quoi de neuf pour la cognition dans le trouble dépressif majeur : Derniers résultats cliniques
Guy M. Goodwin, FMedSci: Je m’appelle Guy Goodwin. Je suis professeur de psychiatrie à l’Université d’Oxford. J’ai le plaisir de
vous accueillir à cette présentation intitulée « Quoi de neuf pour la cognition dans le trouble dépressif majeur : Derniers résultats
cliniques. » J’ai grand plaisir à être accompagné de Roger McIntyre, professeur de psychiatrie et de pharmacologie à l’Université de
Toronto, et Président de l’unité de Psychopharmacologie au réseau universitaire de santé.
Dans ce programme, nous allons discuter des implications cliniques du dysfonctionnement cognitif dans le trouble dépressif
majeur (TDM) de même que des constatations récentes concernant la cognition dans le TDM et les eets des antidépresseurs sur
la cognition.
Roger, pouvez-vous commencer par nous parler des implications du dysfonctionnement cognitif dans le TDM et son impact sur
l’évolution de la santé des patients ?
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Roger S. McIntyre, MD, FRCPC: Tout d’abord, nous devons commencer par réexaminer les critères. Parmi les critères de
diagnostic pour un épisode dépressif, on note entre autres, les troubles de la cognition, et particulièrement, la concentration. Si
nous considérons l’écosystème clinique dans lequel nous nous retrouvons tous les jours en tant que cliniciens, nous savons que
les patients se plaignent souvent de problèmes cognitifs. Ils ne se plaignent pas uniquement de problèmes relatifs à la mémoire
et à la concentration, mais également relatifs à leur capacité organisationnelle de même qu’à leur vitesse de traitement des
informations.[1] Tous les domaines sont donc aectés.
Nous voyons également, non seulement régulièrement en tant que cliniciens mais également dans la recherche, que les dicultés
cognitives sont habituelles et persistantes. Elles persistent même après la résolution d’autres domaines de la dépression tels que
l’humeur triste. Prises ensemble, elles se rencontrent souvent.
Dans le cas des nombreux individus sourant de dépression que nous rencontrons, ce sont les problèmes de cognition à
proprement parlé dont ils se plaignent et qu’ils manifestent, qui sont des facteurs médiateurs dans leurs problèmes fonctionnels.
Cela comprend des problèmes dans l’environnement professionnel, familial et social. Personnellement, je pense que ce facteur
déterminant de l’évolution fonctionnelle souligne la pertinence de la cognition liée à la dépression.[1]
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