5
Remerciements
Pourquoi une deuxième thèse ?
C’est au Professeur Yvon Pesqueux, après une première thèse en droit des sociétés, que je
dois cette riche idée de rédiger une seconde thèse, cette fois-ci, sur travaux, relatifs à la
Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE).
C’est un nouvel exercice de thèse, donc périlleux, quoiqu’il en soit. J’assume ce choix car le
thème, à la croisée des chemins entre la philosophie, le droit et la gestion, me passionne. Il fait
le lien entre mes études littéraires, option philosophie, mon enseignement et ma thèse en droit
des sociétés, avec mes recherches récentes en gestion en Ethique, RSE et Gestion des
Ressources Humaines (GRH) à l’Université Lyon III.
Qu’il me soit permis de remercier Celui qui croyait « à l’insu de son plein gré » avoir accepté
de diriger une thèse de courte durée. Grâce à Lui, j’ai tenu, contre vents et marées, pour traiter
un objet recherche issu des sciences de gestion avec, de manière originale, une administration
de la preuve tirée des sciences juridiques.
La méthodologie est largement complétée par les travaux de recherches appliquées dans le
cadre de la commission DDRS (Développement Durable et Responsabilité Sociétale) de
l’AFNOR (Association Française de Normalisation), en réponse aux questionnements
multiples et réguliers des différentes parties prenantes et personnalités membres, représentant
toutes formes d’organisations.
Je tiens aussi à saluer, pour leur soutien sans faille, Bernard Guillon, Anne-Laure Boncori,
François Domergue, Patricia David, Françoise de Bry et Gurvan Branellec, Dimitri Pag-yendu
Yentchare, mes amis Béatrice, Bernard et Fabienne pour leur aide précieuse … de même que
mes collègues de l’ECE Lyon, les dirigeants de l’INSEEC, en particulier, Catherine Lespine.
Je remercie surtout les membres éminents de l’ADERSE et du réseau Tétranormalisation de
m’avoir accordé cette seconde respiration.
« Non, rien de rien,
Non, je ne regrette rien… »