TABLE DES MATIÈRES
LISTE DES PRINCIPALES ABRÉVIATIONS…………………… 7
INTRODUCTION…………………………………………………...... 9
CHAPITRE I. LA NEUROÉCONOMIE : OBJET,
INSTRUMENTS, MÉTHODE………………………………..…..…. 17
1. DES AMBITIONS PLURIELLES… EN VOIE DE
CONVERGENCE……………………………………………………… 17
1.1. Deux programmes distincts : l’« économie comportementale
dans le scanner » versus l’« économie neuronale ».............................. 18
1) L« économie comportementale dans le scanner » (ECS) : les
neurosciences au service de l’économie……………………………. 18
2) L« économie neuronale » (EN) : l’économie au service des
neurosciences………………………………………………………. 18
1.2. Vers un agenda de recherche commun pour les
neuroéconomistes…………………………….……………………… 20
1) Lédification d’une « économie neuronale et comportementale ». 20
2) Les décisions « basées sur une valeur » : l’objet d’étude de la
neuroéconomie…………………………………………………..… 21
2. UN LARGE ÉVENTAIL D’INSTRUMENTS SOPHISTIQUÉS… 23
2.1. Des emprunts à de multiples branches des neurosciences
modernes……………………………………………………………... 23
2.2. Un aperçu des principaux instruments de mesure employés en
neuroéconomie……………………………………………………...... 27
3. LA BASE LOGIQUE DE LEXPÉRIMENTATION TYPE EN
NEUROÉCONOMIE………………………………………………… 34
3.1. Les fondements de l’IRMf, l’instrument emblématique de la
neuroéconomie……………………………………………………..... 34
3.2. Les grandes étapes d’une expérience type par IRMf……………. 36
1) Première phase : l’élicitation expérimentale de données
comportementales………………………………………………… 36
2) Deuxième phase : la mesure de données neuronales…………… 41
3) Troisième phase : la mise en correspondance des données
comportementales et neuronales…………………………………… 42
4) Quid des autres catégories d’expériences ?................................... 43
4. UNE RUPTURE MÉTHODOLOGIQUE VIS-À-VIS DE
TABLE DES MATIÈRES 212
LÉCONOMIE MODERNE…………………………………………… 44
4.1. Labandon de la méthodologie dominante de l’économie
moderne : de l’élaboration de modèles « réduits » à celle de modèles
« structurels »………………………………………………………… 45
4.2. Un retour aux sources de la discipline économique…………… 47
CHAPITRE II. NEUROÉCONOMIE ET NEUROSCIENCES
MODERNES : DES FRONTIÈRES POREUSES………………….. 49
1. LE CERVEAU DES ÉMOTIONS……………………………..…… 49
1.1. Les systèmes cognitifs…………………………………………… 50
1.2. Les systèmes des émotions et des affects……………………..… 53
1) Le système limbique…………………………………………...... 53
2) La « géographie » cérébrale des émotions…………………….… 60
3) Linterdépendance entre systèmes émotionnels et cognitifs…..… 62
4) Lhypothèse du « marqueur somatique »……………………...… 63
2. LE CERVEAU STATISTICIEN…………………………………… 65
2.1. Un nouveau paradigme pour les neurosciences : du cadre
« stimulus-réflexe » au cadre de « l’apprentissage de la récompense »
(reward learning)……………………………………………….…… 66
2.2. La dopamine et le système d’« apprentissage par renforcement ». 68
1) L« erreur de prédiction de la récompense »……………….…… 68
2) Une « préhistoire théorique » de la neuroéconomie………..…… 72
3) Lhypothèse du « cerveau bayésien »…………………………… 73
3. LE CERVEAU SOCIAL…………………………………………… 74
3.1. La théorie de l’esprit en psychologie sociale…………………… 75
3.2. Le système des neurones miroirs et la mentalisation…………… 77
3.3. Le système de l’empathie……………………………………..… 83
CHAPITRE III. LA NEUROÉCONOMIE EN QUESTION :
DÉBATS ET CONTROVERSES…………………………………… 87
1. LA FIABILITÉ DES RÉSULTATS ?................................................. 87
1.1. La production des données………………………………………. 88
1) Le faible nombre de données……………………………………. 88
2) Les expériences de terrain : une voie à développer……………... 89
3) Des simplifications statistiques discutables ?................................ 90
1.2. Linterprétation des données……………………………………. 91
1) Les techniques de localisation : de simples corrélations………... 93
2) Les techniques d’intervention : de réelles causalités……………. 95
1.3. Le problème de l’« inférence inverse »………………………….. 100
1) Lindétermination de la valeur fonctionnelle de l’activité
neuronale……………………………………………………………
101
2) Quelles parades adopter ?.............................................................. 102
2. LA LÉGITIMITÉ DE LA DÉMARCHE ?......................................... 107
TABLE DES MATIÈRES 213
2.1. La non pertinence des données non comportementales pour
tester des modèles de choix économiques : la thèse de l’« économie
sans esprit » (mindless economics)…………………………………... 108
2.2. La portée de la critique de Gul et Pesendorfer………………….. 109
3. LUTILITÉ DES RÉSULTATS POUR LÉCONOMISTE ?............ 115
3.1. Pourquoi les économistes ont-ils besoin de la neuroéconomie ?.. 116
3.2. Une appréciation d’ensemble de la critique…………………….. 118
CHAPITRE IV. LES ENSEIGNEMENTS DE LA
NEUROÉCONOMIE : PREMIER BILAN ET
PERSPECTIVES…………………………………………….. 121
1. LE POIDS DES ÉMOTIONS DANS LA PRISE DE DÉCISION
ÉCONOMIQUE………………………………………………………... 122
1.1. Les résultats de l’« économie comportementale dans le
scanner » : une confirmation objective de certains résultats de
l’économie comportementale………………………………….……... 122
1.2. Le caractère indispensable des émotions dans la prise de
décision « rationnelle » – le rôle du regret…………………………... 125
1.3. La coordination entre systèmes émotionnels et cognitifs dans la
régulation décentralisée des comportements…………………………. 128
1) Les décisions d’achat de biens de consommation courants……... 128
2) Les choix financiers : risque, ambiguïté et incertitude………….. 129
3) Les décisions sociales…………………………………………… 133
1.4. Le conflit entre raison et émotions les choix intertemporels et
l’impulsivité………………………………………………………….. 143
2. STOCHASTICITÉ ET SÉQUENTIALITÉ : DEUX PROPRIÉTÉS
SAILLANTES DU FONCTIONNEMENT CÉRÉBRAL……………. 146
2.1. Les innovations théoriques majeures de l’« économie
neuronale »…………………………………………………………… 146
2.2. Lhypothèse d’un « numéraire commun » dans l’évaluation des
récompenses : un système d’évaluation centralisé…………………… 148
1) La régulation centralisée des activités cérébrales et le circuit de
la dopamine………………………………………………………… 148
2) Une illustration : la question économique du choix intertemporel
et de l’impulsivité…………………………………………………... 151
2.3. La nature nécessairement stochastique du fonctionnement
cérébral……………………………………………………………….. 153
1) La récompense et le risque : deux dimensions inséparables du
choix………………………………………………………………... 153
2) Une illustration : retour sur les choix financiers………………… 155
2.4. Incertitude et apprentissage……………………………………… 156
1) La co-existence de plusieurs systèmes d’apprentissage :
214 NEUROÉCONOMIE
systèmes réflexes (pavloviens), routiniers, téléologiques………….. 156
2) Lapprentissage par renforcement et les neurosciences
computationnelles…………………………………………………... 158
3) La complémentarité entre les systèmes d’apprentissage………... 162
3. VERS UN « MODÈLE NEUROÉCONOMIQUE DE CHOIX »…... 167
3.1. Les composantes clés du modèle neuroéconomique standard…... 168
1) Le calcul du signal neuronal correspondant à la valeur subjective
d’une décision : la « représentation » de la valeur subjective……… 170
2) Le calcul du signal neuronal correspondant à l’utilité
« ressentie » : la « construction » de la valeur subjective………….. 173
3) La comparaison entre les valeurs subjectives des décisions : le
mécanisme de sélection…………………………………………….. 176
3.2. De premières implications potentielles en économie……………. 183
1) La neuroéconomie et les modèles d'utilité aléatoire…………….. 185
2) La neuroéconomie et l'économie publique comportementale…… 187
3.3. De nombreuses questions ouvertes……………………………… 190
1) La « construction » de la valeur reste encore mal connue………. 190
2) La réduction des « choix économiques » à des « actions »……... 191
Annexe - Quelques repères macroscopiques du cerveau…………… 194
BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE……………………………………. 197
REMERCIEMENTS…………………………………………………. 209
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