CENTRE Toute la mise en œuvre de ces stratégies et actions de santé publique ne peuvent se concrétiser sans le soutien d’un plan de communication pour les faire connaître autant dans le CSSS que dans le Réseau local de services. L’organisation des soins et des services de santé est également un déterminant de la santé et les intervenants de santé publique sont conviés à soutenir les autres secteurs du CSSS dans l’implantation de mesures préventives, c’est-à-dire, avant que la maladie ou le traumatisme ne surviennent. Parmi ces activités, nous retrouvons : l’organisation de services de consultation en matière de santé sexuelle adaptés aux adolescents et aux jeunes adultes; l’implantation d’un système intégré de récupération des seringues et aiguilles usagées; l’application de mesures multifactorielles de prévention des chutes destinées aux personnes âgées en perte d’autonomie. Les professionnels qui œuvrent au sein de la Direction des programmes de santé publique seront appelés à travailler au sein des continuums de soins et services qui seront progressivement mis en place au CSSS Richelieu-Yamaska afin de remplir la condition de réussite de ceux-ci en y intégrant les volets de prévenir, guérir et soutenir. Ils porteront le message de la promotion de la santé, de la prévention et soutiendront les actions à mettre en place en ce sens. La santé de la population s’est améliorée au cours des dernières décennies, il faut s’en réjouir. Toutefois, des gains importants sont encore possibles et surtout, il faut faire en sorte que ces gains profitent au plus grand nombre de personnes. Le Plan d’action local de santé publique vise précisément ce but. SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX http://www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska/sante-publique/plan-local.fr.html Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska RICHELIEU-YAMASKA Un plan local de santé publique pour répondre aux besoins de la population On ne le répétera jamais assez : investir dans la prévention est la meilleure façon d’investir dans la santé de la population. Comme on le sait, la plus récente réforme du système de santé au Québec donne maintenant aux CSSS une « responsabilité populationnelle ». Ceci implique donc qu’au-delà des soins et services à sa clientèle, le CSSS doit se soucier du maintien et de l’amélioration de la santé de l’ensemble de la population de son territoire. Le Plan d’action local de santé publique constitue un point de départ à une importante mobilisation des acteurs de tous les secteurs vers un même but : la santé de la population. Depuis les dernières années, plusieurs gains ont été observés en matière de prévention. On a qu’à penser à la vaccination. Par ailleurs, beaucoup d’enfants naissent encore dans des conditions qui ne favoriseront pas leur développement optimal, La version intégrale du Plan d'action local de santé publique est disponible sur notre site Internet à : Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska 2750, boulevard Laframboise, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 4Y8 450 771-3333 • www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska DE l’environnement se dégrade à plusieurs niveaux et les maladies chroniques sont toujours présentes. Les déterminants de la santé tels que les facteurs biologiques, les habitudes de vie, l’environnement, les conditions socio-économiques et l’organisation des soins et des services de santé sont de plus en plus reconnus comme ayant une influence majeure sur la santé et le bien-être des individus. Le CSSS est au cœur d’un réseau local de services et la promotion de la santé tout comme la prévention des maladies et des traumatismes sont au cœur de nos préoccupations. Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska Pourquoi un plan d’action local en santé publique? Simplement pour présenter et pour communiquer ce que nous entendons réaliser dans les prochaines années, dans quels secteurs, avec quels partenaires et par quels moyens. Bref, pour unifier nos efforts et nos ressources qui partagent le même objectif : la santé de notre population. Le Plan d’action local (PAL) définit les activités de santé publique à déployer sur l’ensemble du territoire d’ici 2012 en lien avec les priorités du Programme national de santé publique (PNSP) et du Plan d’action régional en santé publique (PAR). Le plan d’action actuel tient compte des particularités du territoire, de l’évaluation des plans d’actions locaux antérieurs (produits par nos trois CLSC avant la création de notre CSSS) et surtout de l’état de santé actuel de la population. La santé de notre population… En constante évolution Depuis 2004, les centres de santé et de service sociaux (CSSS) sont conviés à prendre en charge la santé de l’ensemble de la population de son territoire. Il faut dans un premier temps bien connaître cette population, notamment quant à son « état de santé » et de ses particularités. D’un point de vue général, nous pouvons tirer quelques grands traits qui caractérisent la population de notre territoire. L’espérance de vie à la naissance s’améliore, mais les inégalités persistent. En effet, on note des écarts entre les territoires de CLSC que l’on peut pourtant réduire. L’amélioration des conditions de vie, la création d’environnements sociaux et physiques favorables à la santé ainsi que la mise en place d’interventions préventives, notamment en ce qui concerne le développement des enfants et la prévention des maladies chroniques constituent des pistes fort prometteuses en ce sens. Le vieillissement de la population et la prévalence croissante de certains facteurs de risque, entre autres, le surplus de poids, la mauvaise alimentation et le tabagisme ne font qu’accroître le fardeau des maladies chroniques telles que le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires et les maladies respiratoires. On note par exemple que 33 % de notre population présente de l’embonpoint et 16 % des personnes sont obèses. L’acquisition et le maintien de saines habitudes de vie résultent de plusieurs facteurs. On sait maintenant qu’un environnement favorable au changement se révèle le plus souvent nécessaire, au-delà de la bonne volonté et de la motivation. L’enfance et la jeunesse représentent des étapes déterminantes dans la vie. Des gains intéressants ont été faits en périnatalité et en jeunesse au cours des dernières décennies. Par contre, une statistique peu reluisante fait état que sur le territoire de la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe, le décrochage scolaire chez les garçons atteint le taux le plus élevé en Montérégie en 20062007, soit une proportion de 49 %. Depuis 2000, on assiste à une recrudescence sans précédent des infections transmissibles par le sexe et par le sang (ITSS) sur tout le territoire québécois. L’augmentation significative des cas de chlamydiose chez les jeunes de 15 à 24 ans et de l’infection de l’hépatite C chez les utilisateurs de drogues injectables est particulièrement préoccupante. Beaucoup de personnes atteignent le troisième âge en bonne santé. Cependant, la proportion de ceux qui sont aux prises avec des problèmes de santé et des incapacités augmente avec l’âge, tout comme le fait de vivre seul. Ainsi, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus projeté sur le territoire du CSSS en 2018 est de 38 400 personnes et pourrait atteindre 49 277 en 2026. On prévoit par contre que le nombre de personnes âgées entre 0 et 17 ans diminuera durant cette même période pour être de 37 513 en 2026. Nos priorités d’action en santé publique La santé de nos concitoyens exige d’entreprendre des actions afin de réduire les problèmes de santé qui sont évitables. Dans cette perspective, les mesures à prendre ou à renforcer nécessitent la collaboration de nombreux partenaires au sein d’une vaste entreprise d’actions individuelles et intersectorielles. La mobilisation de tous les secteurs de la société est indispensable pour atteindre nos objectifs de santé publique. Par ailleurs, il faut également opter sur la conscientisation de la population amorcée il y a de nombreuses années. La réalisation des interventions au sein de la communauté en sera facilitée à coup sûr! À l’instar du Plan d’action régional, le Plan d’action local met l’accent sur les stratégies définies dans le Programme national de santé publique et dont le potentiel est reconnu pour agir efficacement sur les déterminants de la santé. En plus de travailler en collaboration avec la Direction régionale de santé publique en matière de maladies infectieuses, de santé environnementale et de santé au travail dans des cibles de protection de la santé de la population, des priorités ont été dégagées à la suite de l’analyse de l’état de santé sur le territoire du CSSS. Les priorités retenues : Travailler avec nos partenaires sur la réduction des impacts sur la santé du décrochage scolaire et sur l’implantation de l’approche École en santé qui vise une planification conjointe entre le milieu de la santé et le milieu scolaire, ainsi que l’implantation des meilleures pratiques de prévention et du programme Fluppy visant le développement des habiletés sociales des enfants et la prévention des troubles du comportement. Poursuivre nos efforts sur la réduction des maladies chroniques en favorisant les efforts collectifs d’adoption de saines habitudes de vie, notamment par la promotion de l’approche 0-5-30 COMBINAISON PRÉVENTION. Cette approche favorise des activités avec les milieux, accompagnées de stratégies d’éducation à la santé, d’actions sur les environnements physiques appuyées sur des politiques favorables à la santé. Les milieux visés sont les municipalités, les milieux de travail, les milieux de vie des aînés, etc. Protéger la santé de notre population, notamment par des activités de vaccination, l’intensification des activités des services intégrés de dépistage et de prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) et des actions sur l’environnement. Avec la croissance anticipée du nombre de personnes âgées, accentuer les mesures pour garder ce groupe en santé. Par exemple, diffuser le « Programme d’intervention d’équilibre dynamique » (PIED) qui vise le bon équilibre et le maintien de la force musculaire afin de diminuer le risque de chutes chez les aînés. Le programme En santé après 50 ans qui vise les principales préoccupations des personnes vieillissantes est également un bon exemple des interventions à déployer sur l’ensemble de notre territoire. Intensifier nos actions en développement social et en développement des communautés. La participation des citoyens est au cœur du développement des communautés. Elle permet de connaître les problèmes de santé les plus importants à leurs yeux, comme les solutions les mieux adaptées. L’accent est alors mis sur le sentiment d’appartenance d’où l’expression : « communauté d’appartenance ». Le mouvement Villes et Villages en santé en est un exemple. Il s’appuie sur une vision positive holistique de la santé et du développement des communautés. Pourquoi un plan d’action local en santé publique? Simplement pour présenter et pour communiquer ce que nous entendons réaliser dans les prochaines années, dans quels secteurs, avec quels partenaires et par quels moyens. Bref, pour unifier nos efforts et nos ressources qui partagent le même objectif : la santé de notre population. Le Plan d’action local (PAL) définit les activités de santé publique à déployer sur l’ensemble du territoire d’ici 2012 en lien avec les priorités du Programme national de santé publique (PNSP) et du Plan d’action régional en santé publique (PAR). Le plan d’action actuel tient compte des particularités du territoire, de l’évaluation des plans d’actions locaux antérieurs (produits par nos trois CLSC avant la création de notre CSSS) et surtout de l’état de santé actuel de la population. La santé de notre population… En constante évolution Depuis 2004, les centres de santé et de service sociaux (CSSS) sont conviés à prendre en charge la santé de l’ensemble de la population de son territoire. Il faut dans un premier temps bien connaître cette population, notamment quant à son « état de santé » et de ses particularités. D’un point de vue général, nous pouvons tirer quelques grands traits qui caractérisent la population de notre territoire. L’espérance de vie à la naissance s’améliore, mais les inégalités persistent. En effet, on note des écarts entre les territoires de CLSC que l’on peut pourtant réduire. L’amélioration des conditions de vie, la création d’environnements sociaux et physiques favorables à la santé ainsi que la mise en place d’interventions préventives, notamment en ce qui concerne le développement des enfants et la prévention des maladies chroniques constituent des pistes fort prometteuses en ce sens. Le vieillissement de la population et la prévalence croissante de certains facteurs de risque, entre autres, le surplus de poids, la mauvaise alimentation et le tabagisme ne font qu’accroître le fardeau des maladies chroniques telles que le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires et les maladies respiratoires. On note par exemple que 33 % de notre population présente de l’embonpoint et 16 % des personnes sont obèses. L’acquisition et le maintien de saines habitudes de vie résultent de plusieurs facteurs. On sait maintenant qu’un environnement favorable au changement se révèle le plus souvent nécessaire, au-delà de la bonne volonté et de la motivation. L’enfance et la jeunesse représentent des étapes déterminantes dans la vie. Des gains intéressants ont été faits en périnatalité et en jeunesse au cours des dernières décennies. Par contre, une statistique peu reluisante fait état que sur le territoire de la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe, le décrochage scolaire chez les garçons atteint le taux le plus élevé en Montérégie en 20062007, soit une proportion de 49 %. Depuis 2000, on assiste à une recrudescence sans précédent des infections transmissibles par le sexe et par le sang (ITSS) sur tout le territoire québécois. L’augmentation significative des cas de chlamydiose chez les jeunes de 15 à 24 ans et de l’infection de l’hépatite C chez les utilisateurs de drogues injectables est particulièrement préoccupante. Beaucoup de personnes atteignent le troisième âge en bonne santé. Cependant, la proportion de ceux qui sont aux prises avec des problèmes de santé et des incapacités augmente avec l’âge, tout comme le fait de vivre seul. Ainsi, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus projeté sur le territoire du CSSS en 2018 est de 38 400 personnes et pourrait atteindre 49 277 en 2026. On prévoit par contre que le nombre de personnes âgées entre 0 et 17 ans diminuera durant cette même période pour être de 37 513 en 2026. Nos priorités d’action en santé publique La santé de nos concitoyens exige d’entreprendre des actions afin de réduire les problèmes de santé qui sont évitables. Dans cette perspective, les mesures à prendre ou à renforcer nécessitent la collaboration de nombreux partenaires au sein d’une vaste entreprise d’actions individuelles et intersectorielles. La mobilisation de tous les secteurs de la société est indispensable pour atteindre nos objectifs de santé publique. Par ailleurs, il faut également opter sur la conscientisation de la population amorcée il y a de nombreuses années. La réalisation des interventions au sein de la communauté en sera facilitée à coup sûr! À l’instar du Plan d’action régional, le Plan d’action local met l’accent sur les stratégies définies dans le Programme national de santé publique et dont le potentiel est reconnu pour agir efficacement sur les déterminants de la santé. En plus de travailler en collaboration avec la Direction régionale de santé publique en matière de maladies infectieuses, de santé environnementale et de santé au travail dans des cibles de protection de la santé de la population, des priorités ont été dégagées à la suite de l’analyse de l’état de santé sur le territoire du CSSS. Les priorités retenues : Travailler avec nos partenaires sur la réduction des impacts sur la santé du décrochage scolaire et sur l’implantation de l’approche École en santé qui vise une planification conjointe entre le milieu de la santé et le milieu scolaire, ainsi que l’implantation des meilleures pratiques de prévention et du programme Fluppy visant le développement des habiletés sociales des enfants et la prévention des troubles du comportement. Poursuivre nos efforts sur la réduction des maladies chroniques en favorisant les efforts collectifs d’adoption de saines habitudes de vie, notamment par la promotion de l’approche 0-5-30 COMBINAISON PRÉVENTION. Cette approche favorise des activités avec les milieux, accompagnées de stratégies d’éducation à la santé, d’actions sur les environnements physiques appuyées sur des politiques favorables à la santé. Les milieux visés sont les municipalités, les milieux de travail, les milieux de vie des aînés, etc. Protéger la santé de notre population, notamment par des activités de vaccination, l’intensification des activités des services intégrés de dépistage et de prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) et des actions sur l’environnement. Avec la croissance anticipée du nombre de personnes âgées, accentuer les mesures pour garder ce groupe en santé. Par exemple, diffuser le « Programme d’intervention d’équilibre dynamique » (PIED) qui vise le bon équilibre et le maintien de la force musculaire afin de diminuer le risque de chutes chez les aînés. Le programme En santé après 50 ans qui vise les principales préoccupations des personnes vieillissantes est également un bon exemple des interventions à déployer sur l’ensemble de notre territoire. Intensifier nos actions en développement social et en développement des communautés. La participation des citoyens est au cœur du développement des communautés. Elle permet de connaître les problèmes de santé les plus importants à leurs yeux, comme les solutions les mieux adaptées. L’accent est alors mis sur le sentiment d’appartenance d’où l’expression : « communauté d’appartenance ». Le mouvement Villes et Villages en santé en est un exemple. Il s’appuie sur une vision positive holistique de la santé et du développement des communautés. CENTRE Toute la mise en œuvre de ces stratégies et actions de santé publique ne peuvent se concrétiser sans le soutien d’un plan de communication pour les faire connaître autant dans le CSSS que dans le Réseau local de services. L’organisation des soins et des services de santé est également un déterminant de la santé et les intervenants de santé publique sont conviés à soutenir les autres secteurs du CSSS dans l’implantation de mesures préventives, c’est-à-dire, avant que la maladie ou le traumatisme ne surviennent. Parmi ces activités, nous retrouvons : l’organisation de services de consultation en matière de santé sexuelle adaptés aux adolescents et aux jeunes adultes; l’implantation d’un système intégré de récupération des seringues et aiguilles usagées; l’application de mesures multifactorielles de prévention des chutes destinées aux personnes âgées en perte d’autonomie. Les professionnels qui œuvrent au sein de la Direction des programmes de santé publique seront appelés à travailler au sein des continuums de soins et services qui seront progressivement mis en place au CSSS Richelieu-Yamaska afin de remplir la condition de réussite de ceux-ci en y intégrant les volets de prévenir, guérir et soutenir. Ils porteront le message de la promotion de la santé, de la prévention et soutiendront les actions à mettre en place en ce sens. La santé de la population s’est améliorée au cours des dernières décennies, il faut s’en réjouir. Toutefois, des gains importants sont encore possibles et surtout, il faut faire en sorte que ces gains profitent au plus grand nombre de personnes. Le Plan d’action local de santé publique vise précisément ce but. SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX http://www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska/sante-publique/plan-local.fr.html Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska RICHELIEU-YAMASKA Un plan local de santé publique pour répondre aux besoins de la population On ne le répétera jamais assez : investir dans la prévention est la meilleure façon d’investir dans la santé de la population. Comme on le sait, la plus récente réforme du système de santé au Québec donne maintenant aux CSSS une « responsabilité populationnelle ». Ceci implique donc qu’au-delà des soins et services à sa clientèle, le CSSS doit se soucier du maintien et de l’amélioration de la santé de l’ensemble de la population de son territoire. Le Plan d’action local de santé publique constitue un point de départ à une importante mobilisation des acteurs de tous les secteurs vers un même but : la santé de la population. Depuis les dernières années, plusieurs gains ont été observés en matière de prévention. On a qu’à penser à la vaccination. Par ailleurs, beaucoup d’enfants naissent encore dans des conditions qui ne favoriseront pas leur développement optimal, La version intégrale du Plan d'action local de santé publique est disponible sur notre site Internet à : Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska 2750, boulevard Laframboise, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 4Y8 450 771-3333 • www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska DE l’environnement se dégrade à plusieurs niveaux et les maladies chroniques sont toujours présentes. Les déterminants de la santé tels que les facteurs biologiques, les habitudes de vie, l’environnement, les conditions socio-économiques et l’organisation des soins et des services de santé sont de plus en plus reconnus comme ayant une influence majeure sur la santé et le bien-être des individus. Le CSSS est au cœur d’un réseau local de services et la promotion de la santé tout comme la prévention des maladies et des traumatismes sont au cœur de nos préoccupations. Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska