D - Stud`Ant STAPS

publicité
UE3: CORPS, SPORT ET INDIVIDUS
LA VISION
•
•
C'est le sens de la perception visuelle
Elle utilise la parti visible du rayonnement électromagnétique, c'est-à-dire les
longueurs d'onde comprises entre 400 et 750 nm
Composition du système visuelle
Nerfs optiques vont se croiser : chiasma optique et se prolonge par le tractus optique.
S'insère dans le corps grenouillé latéral → Radiations optiques → Cortex visuel
L’œil
•
La lumière va pénètre dans l’œil par une ouverture variable « la pupille »
commandée par « l'iris » (partie colorée)
•
Cette lumière traverse « le cristallin » (qui baigne dans deux liquides) ; la
courbure de cette lentille (cristallin) peut être modifiée par l'action « des muscles
ciliaires », afin de permettre à « l’œil de former des images claires, sur la rétine,
d'objets placés à diverse distances » (processus d'accommodation)
•
Ce faisceau de lumière focalisée sur la rétine qui contient des « bâtonnets » et des
cônes sensibles (à la lumière) est transmis par le « nerf optique « jusqu'au
« cerveau »
Dysfonctionnement de l’œil
•
Œil hypermétrope : Plus l'objet s'approche, plus il est
flou
•
Œil Myope : Plus l'objet, s'éloigne, plus il est flou
•
Œil astigmate : Étirement de l'objet dans le plan
antéropostérieur
•
Œil Presbyte : Vieillissement du cristallin rendant
difficile la focalisation sur des objets de près (arrive vers
40-45 ans)
L’œil, et l'image inversée
Le Nystagmus
•
•
•
L’œil ne voit que par des différentiations d’activité des récepteurs au cours d'un
temps très court
Pour cela, l’œil est constamment en mouvement par de très faible tremblement
appelés micro-nystagmus
si on paralyse les muscles oculaires, et supprime ainsi le micro-nystagmus, l’œil
devient aveugle
La rétine
•
•
⁃
⁃
C'est l'organe sensible de la vision
Elle est composée d'environ :
5 millions de cônes
⁃
Densité maximale dans la fovéa
⁃
permet la perception des formes et des couleurs.
120 millions de bâtonnets
⁃
Absents de la fovéa
⁃
fonctionnement même en faible luminosité, permet la détection des
mouvements
Les cônes
3 Types de cônes :
⁃
64% permettant la perception du rouge
⁃
32% permettant la perception du vert
⁃
2% permettant la perception du bleu
Vision tri-chromatique
•
⁃
⁃
toutes les couleurs sont obtenues à parti de 3 primaires :
mélanges additifs (lumières)
les 3 primaires correspondent au longueur d'ondes donnant lieu au maximum
d’absorption
Rappel : couleur des objets
•
Mélanges soustractifs (surfaces) – une surface absorbe certaines longueurs d'onde
et en réfléchis d'autre : sa couleur apparente correspond aux longueurs d'onde
réfléchies = soustraire au blanc
Adaptation à l’obscurité et à la lumière.
•
⁃
⁃
⁃
Temps d'adaptation de 20 à 25 minutes pour l'obscurité :
Dilatation pupillaire
régénération de la protéine récepteur dans les photo-pigments
ajustement fonctionnel de la rétine pour permettre aux ganglionnaires d'utiliser
un maximum d'info provenant des bâtonnets.
→ Passage d'une vision des cônes au bâtonnet
Transduction
•
les cônes et bâtonnets assurent la transduction du signal lumineux (photons ) en
signaux électriques (potentiels récepteurs) et chimiques (via le neurotransmetteur,
glutamate)
Distinctions dans le champ visuel
•
•
•
Champ visuel : espace visible quand les deux yeux regardent droit devant
Environ 180°
Hémichamp : champ visuel divisé par une ligne imaginaire passant en son plein
centre. 4 zones :
•
1- Hémichamp temporal gauche → Se projette dans A- Hémirétine nasale
gauche
•
2- Hémichamp nasal gauche → Se projette dans B- Hémirétine temporale
gauche
•
3- Hémichamp nasal droit → Se projette dans C- Hémirétine temporale
droite
•
4- Hémichamp temporal droit → Se projette dans D- Hémirétine nasale
droite
• Champ visuel binoculaire : Partie commune visible par les hémichamps
nasaux / les hémirétines temporales
•
Environ 120°
Nerf optique
•
•
•
•
Deuxième paire des 12 nerfs crâniens
composé d'environ 1,2 millions d'axones issus des cellules ganglionnaires (de la
rétine optique)
ils partent des yeux, puis se rejoignent au chiasma optique
Enfin, le chiasma se poursuit par les tractus optiques et se terminent au niveau
des corps genouillés latéraux
Nerf, chiasma et tractus optique
Chiasma optique
•
•
•
•
•
⁃
⁃
Partie du cerveau où les deux nerfs optiques se croisent
il permet la décussation d'un certain nombre d'axones en provenance de la rétine,
c'est-à-dire leur changement de côté pour assurer le traitement croisé de
l'information
c'est donc le lieu du rassemblement des informations visuelles d'un même
hémichamp visuel par les deux rétines.
il permet la stéréoscopie (interprétation du relief) et l'inversion des images des
deux rétines qui sont à l'envers, permettant ainsi un vision « à l'endroit »
Décussation partielle :
Au sein de chaque nerf optique, les axones en provenance du côté nasal de la
rétine vont changer de côté au niveau du chiasma optique.
Au sein de chaque nerf optique, les axones en provenance du côté temporal de la
rétine vont garder le même côté au niveau du chiasma optique.
Décussation partielle
•
•
Hémichamp nasal projette dans la parti ipsilatérale → Pas de décussation
Hémichamp temporale projette dans la partie contralatérale → Décussation
•
⁃
⁃
Corps grenouillé gauche reçoit :
hémichamp nasal gauche / hémirétine temporale gauche
hémichamp temporal droit / hémirétine nasale droite
•
⁃
⁃
Corps grenouillé droit reçoit
Hémichamp temporale gauche /hémirétine nasale gauche
Hémichamp nasal droit /hémirétine temporale droite
Tractus optique
•
projette essentiellement sur le corps grenouillé latéral
•
Autres cibles :
⁃
Projection directe dans l'hypothalamus (partie ventrale du thalamus) : rythmes
biologiques, cycle sommeil-éveil, cycle obscurité-lumière
Corps genouillé latéral
•
•
•
•
•
•
⁃
•
⁃
Six couches de cellules distinctes de 1 (la plus ventrale) à 6 (la plus dorsale)
Sert à réguler le flot d'information de la rétine au cortex visuel
Pour chaque 10 impulsions nerveuses qui atteignent le corps genouillé latéral
seulement environ 4 le quitte
Premier endroit sur la voie visuelle de la perception visuelle où ce que nous
ressentons influence notre perception visuelle.
Ses neurones sont innervés à parti des cellules ganglionnaires de la rétine, et
projettent leurs axones dans le cortex visuel primaire
couche ventrale 1 et 2 sont plus grosses → sensible aux mouvements
couches magnocellulaires (bâtonnet)
couches 3 à 6 sont plus petites → sensible aux couleurs
couches parvocellulaire (cônes)
Le cortex visuel
•
•
•
Le corps genouillé latéral se projette sur le lobe occipital
Les différentes propriétés du stimulus visuel vont activer les aires du lobe
occipital de manière différentes
ces aires ont un activité selon la notion de champ récepteur
Champ récepteur
•
•
•
⁃
⁃
Un champ récepteur est la portion du champ visuel qui, lorsqu'on présente un
stimulus lumineux en son sein, modifie la réponse de ce neurone
Les neurones ne répondent qu'à certaines caractéristiques précises du stimulus
Le champ récepteur d'un neurone est le sous-ensemble des paramètres des
stimulations qui modifient son activité
Longueur d'onde excitant le neurone
Orientation de l'objet...
Ex : Champ récepteur de l'orientation
•
⁃
⁃
⁃
L'activité du neurone est
Maximale pour une certaine orientation
modérée pour des orientations proches
très faibles ou nulle pour les autres orientations lointaines
Ex :Champ récepteur de l'orientation (dessin panneau stop)
•
Activités des neurones permettant de coder les différentes orientations des lignes
de l’objet.
Ex :Champ récepteur du mouvement
•
•
Activation maximale du neurone si l'objet se déplace dans le sens préférentiel du
mouvement
Activité faible du neurone si l’objet se déplace dans le sens non préférentiel
Aires visuelle du cortex
•
•
•
•
•
V1 : ?
V2 : perception des contours
V3 : perception de la forme de l'objet
V4 : perception des couleurs
V5 : mouvement et profondeur
•
Les différentes propriétés du stimulus visuelles sont perçues dans des aires
différents puis assemblées
Différentes voie de l'information
•
Percevoir pour reconnaître ou pour agir
•
Vision de la reconnaissance : voie
•
Vision de la motricité : voie vers zone pariétal puis frontal
Ce qui est vu, ce qui est déduit...
•
Le cerveau reconstruit une partie de l'information visuelle
•
Il applique les règles qu'il connaît du monde réel
•
La perception que nous avons du monde est en partie inférée par notre cerveau
CONCLUSION
•
•
•
•
•
•
•
•
On ne perçoit pas tout ce qu'on voit
On ne perçoit des choses qu'on ne voit pas
On ne perçoit en fonction de ce qu'on sait
On perçoit en fonction d'un contexte visuel
Percevoir c'est interpréter
On perçoit en fonction de notre mouvement
On perçoit en fonction de notre appareil perception
la perception dépend de l'observateur.
LE SYSTEME SOMESTHÉSIQUE
La somesthésie désigne un ensemble de différentes sensations (pression, chaleur,
douleur..) provenant de plusieurs region du corps. Ces sensations sont élaborées à partir
des informations fournies par de nombreux récepteurs sensitifs du système
somatosensoriel, situera san les tissus de l’organisme ( mécanorécepteur, fuseaux
neuromusculaire des muscles, fuseaux neurotendineux.) C'est le principal système
sensoriel de l’organisme humain. C'est un besoin fondamental, premier système à être
fonctionnel au cours de la vie foetal, à partir du 3ème mois de grossesse.
On peut vivre « relativement bien » en étant privé des autres systèmes sensoriels. La
privation des stimulations somesthésiques provoque des troubles psychologiques,
majeurs et irréversibles.
Organisation générale:
Le système somesthésique a 2 composantes principales:
- Un sous système de détection des stimuli mécaniques comme le toucher léger, les
vibration, et la pression.
- Un sous système pour la détection des stimuli douloureux et la température.
De la sensation à la perception:
La sensation est un phénomène physiologique résultant d’une excitation d’un récepteur
et produisant un afflux nerveux afférent.
la perception est la prise de conscience du stimulus.
Les récepteur:
Propriétés des récepteurs:
- Vitesse d’adaptation: baisse dans l’activité du récepteur lorsque le stimulus reste
constant.
- Sensibilité/Seuil d’activation: Intensité maximale requise du stimulus pour être
détecté.
Récepteurs de la somesthésie:
Les récepteurs sont de natures très différentes mas peuvent être classés en 3 catégories:
- Mécanorécepteurs: détecteurs de pression
• Sensibilité cutanées
• Sensibilité articulaire et musculaire
- Thermorécepteurs: détecteurs de la température
- Nocicepteur: détecteurs de la douleur.
Mécanorécepteur:
Sensibilité mécanique cutanée
- La peau a une innervation très riche, notamment sur la face et aux extrémités.
- 3 spécificités principales pour ces mécanorécepteur:
• Sensibilité à la pression: appuis importants sur le revêtement cutané
• Sensibilité à la vibration: variation de pression dans une gamme de fréquence de 30 à
1500 Hz
• Sensibilité au toucher (tact): Sensibilité a la vitesse.
Sensibilité mécanique musculaire et articulaire:
- Permet de connaitre la position de notre corps dans l’espace et de nos membres par
rapport à notre corps, ainsi que d’apprécier la resistance du mouvement.
- 3 spécificités principales pour ces mécanorécepteur:
• La sensibilité à la position: informe des angles formés par chacune de nos
articulations. et donc de la position relative de nos membres entre eux et par
rapport au corps. La précision en est faible et elle présente peu ou pas
d’adaptation.
• La sensibilité au mouvement: sensation de vitesse , de direction et d’amplitude.
Les seuils de sensibilité pour ces trois paramètres sont plus faibles dans les
articulations proximales (épaules) que dans les articulation distales (main).
• La sensibilité à la force se superpose à la sensibilité à la pression (étirement de la
peau et pression exercée par un objet à porter). Il est donc difficile de distinguer
l’information en provenance des propriocepteurs de chèque provenant des
mécanorécepteurs cutanés.
Thermorécepteurs:
Permet la sensibilité au froid et au chaud.
Elle dépend de 3 facteurs:
- Température avant stimulation:
• si l’extérieur est à 10°, une eau a 20° parait chaude.
• si l’extérieur est à 30°, une eau a 20° parait froide.
- De la vitesse de changement de température
• La sensation de froid ou de chaud apparaît à condition que les variations de
températures soient au moins de 6° par minute. Si la variation de température est plus
lente, l’écart thermique peut devenir très important avant que nous ne ressentirons un
changement de température.
- De la suface stimulée
• La sensibilité thermique augmente avec la surface stimulée.
• La sensation disparaît rapidement, par adaptation complète des récepteurs. (Quand nous
plongeons dans notre bain le matin, la sensation d’eau très chaude s’estompe assez
rapidement)
La zone qui correspond à une adaptation complète des récepteurs constitue la zone de
neutralité thermique. elle se situe chez l’homme (nu), entre 33 et 35°C pour la surface
entière du corps.
La sensation thermique devient carrément douloureuse si la température cutanée est
inférieur a 15°C ou supérieur a 44°C
Les récepteurs au froid, liés à des fibres myélinisées fines (5-15 m/s) sont superficiels,
localisé dans l’épiderme.
Les récepteurs au chaud, liés à des fibres amylénique (0,7-1,2 m/s), sont plus profonds
dans le derme.
La densité de la peau en thermorécepteurs est très variable et toujours inférieure à celle
des mécanorécepteurs.
Nocicepteur:
Nous possédons des récepteurs sensoriels à haut seuil mis en jeu uniquement par des
stimulations provoquant des lésion de l’organisme.
Ces stimulations nocives mettent en jeu des « nocicepteurs », dont l’activité provoque
une perception consciente particulière: la douleur.
Il faut distinguer l’activité des nocicepteurs et la douleur:
- La perception de la douleur est relativement indépendante de l’activité des
nocicepteurs.
- Les nocicepteurs peuvent être très activés sans qu’il y ait douleur - à l’opposé, une
douleur peut être très intense sans activation majeure des nocicepteurs.
Le rôle de la douleur
- C’est avant tout un signal d’alarme qui met en jeu des réflexes de protection nous
permettant de nous soustraire aux stimuli nocifs - de soulager les parties de notre
corps soumises à de trop fortes tensions.
- Les rares patients naissant avec un déficit de la sensation douloureuse vivent avec le
risque permanent de s’autodétruire puisqu’ils ne réalisent jamais quand ils se font
mal, ils meurent en général assez jeunes.
trois caractéristiques:
- Localisation de la douleur
• La douleur provenant de la peau est qualifiée de superficielle.
• une douleur provenant des muscles et des articulations est qualifiée de profonde.
- Intensité de la stimulation
• douleur vive, très localisée et qui s’estompe rapidement: fibres myélinisées de fins de
diamètres (10 m/s)
• Douleur sourde/lente, diffuse, mal localisée, qui disparaît beaucoup plus lentement
(douleur lente): fibres amynéliniques (1 m/s)
• L’impulsion brève et intense les 2 types de terminaisons et la différence entre les vitesses
de conduction des 2 types de fibres explique le décalage des sensations ressenties.
• Hyperalgésie: Le seuil ou la douleur est laissée et des stimuli mom douloureux tels que le
port de vêtement deviennent insupportables (exemple: coup de soleil).
- Durée de la stimulation
• « courte »: inférieur à 6 mois. Les douleurs aigües, généralement limitées à l’organe
atteint (carie, brûlures) sont des douleurs d’alarme, vives, précoces, bien localisées, qui
s’accompagnent de vives réactions végétatives (tachycardie, tachypnée, sueurs) et de
réaction motrices
• « Chronique »: supérieur à 6 mois. syndrome du membre fantôme
Du capteur sensoriel au cortex:
Concept de voie etiquette
- Voie et projection corticale définissent entièrement:
• La modalité sensorielle
• la localisation du récepteur sensoriel.
—> Chaque capteur a sa voie propre jusqu’au cortex
toutes les voies de la somesthésie: 3 neurones du récepteur au Cortex somesthésique.
- sensibilité mécanique
- sensibilité thermique et nociceptive.
Sensibilité mécanique:
voie dorsale - lemnisque médian
Connecté au neurone de premier ordre / neurone primaire
- Axone dans nerf périphérique (axone de ce neurone)
- Corps cellulaire dans ganglion spinal
- se connecte au:
• Noyau gracile: membre inférieur
• Noyau cunéiforme: membre supérieur
• Via colonne vertébrale ipsilatérale.
Connecté au neurone de deuxième ordre
- corps cellulaire dans noyau gracile/cunéiforme
- Axone croise axe médian dans le tronc cérébrale: décoration (= passage dans la
zone controlatérale)
• Faisceau lemnisque médian
- Projection sur thalamus
Neurone de troisième ordre
- corps cellulaire: thalamus
- Projection sur cortex somesthésique primaire (SI)
SI (prononcé S1):
- Lobe pariétal en arrière de la ….
Chaque région du corps se projette sur une zone déterminée du cortex. la surface de
cette zone est proportionnelle à l’importance de la région du corps pour les relations
Sensibilité thermique et nociceptive:
voie spina-thalamique
Neurone de premier ordre
- Ganglion spinal
- Projection sur corne dorsale
Neurone du deuxième ordre:
- corp cellulaire dans la corne dorsale du meme segment médullaire, coté ipsilatéral.
- croisement de l’axe médian dans le meme segment médullaire
- projection sur thalamus
Neurone du troisième ordre:
- thalamus vers SI
ORGANISATION ET RÔLE DU SYSTEME NERVEUX (S1)
• Le système nerveux:
- Contrôle le fonctionnement des organes
- coordonne les mouvements musculaires
- véhicule les informations motrice vers les effecteurs
- reçoit et intègre les informations sensorielles des effecteurs
- chez les animaux doté d’un cerveau limbique régule les émotions
- chez les animaux dotez d’un cerveau cognitif, régule l’intellect
Organisation du SN:
• Le SN est composée de:
- encéphale
- moelle épinière
—> définit le SN central (SNC)
- nerfs périphérique (crânien)
—> Système nerveux périphérique
• Le SN somatique:
- Vie de relation de l’organisme avec son milieu extérieur:
—> perception/action
—> transmission au cerveau des informations sensorielles
—> contrôle de l’équilibre des mouvements
- on distingue:
—> système moteur
—> système sensoriel
• SN végétatif (ou Autonome)
—> Régulation des fonctions vitales internes
—> Réalise l’équilibre de notre milieu interne (homéostasie) en coordonnant des
activités comme:
- digestion
- respiration
- circulation sanguine
- excrétion
- sécrétion d’hormones
Les structures nerveuses participant aux SNS et SNA appartient aux SNC et SNP
• Le SN végétatif se divise en:
- SN sympathique (ou Orthosympathique)
—> prépare l’organisme à l’activité physique et intellectuelle
—> devant un stress important —> fuite ou lutte
- Dilatation des bronches
- Augmentation du cardio
- dilatation pupille
- augmentation de la tension arterielle
- Diminution de l’activité digestive
—> 2 Neuro Transmetteurs: Noradrénaline et l’Adrénaline
• SN parasympathique:
- Ralenti général des fonctions
- Conserver l’énergie
- Ce qui est accéléré par le système sympathique est ralenti par le système
parasympathique
- NeuroTransmetteur: l’acéthylcoline
- Seul les fonctions digestives et l’appétit sexuel sont favorisés par le système
parasympathique
Organisation de l’encéphale:
Il comporte:
- le cerveau
- le tronc cérébrale
- le cervelet
Protégé par 2 systèmes:
- la boite crânienne
- les méninges —> méningite
• Dure mère
• Arachnoïde
• Pie mère
Le cerveau:
Composé d’une surface lisse (gyrus) et de replis (scissures/sillons).
• 3 scissures principales:
- Scissures de Rolande (Lobe frontal et pariétal)
- Scissure de Sylvius (Lobe frontal et temporal)
- Scissure inter hémisphérique
• Cerveau divisé en aire ayant différentes parties:
- Lobe frontal: Planification, langage, mouvement volontaire.
- Lobe pariétal: modalités sensorielles, impliqué dans la perception dans l’espace et
dans l’attention.
- Lobe occipital: Centre visuel
- Cervelet: Coordination des mouvements ainsi que la posture
- Tronc cérébral: Plusieurs fonctions: motrice et sensitive
- Lobe temporal: Audition, langage et mémoire
•
-
Structure interne:
Corps calleux: relié par 4 lobes entre eux —> Coordination
Thalamus: Sensitive, sensorielle, moteur. Fait rentrer en sommeil ou en réveil.
Hypothalamus: Connexion du thalamus avec la glande endocrine, l’hypophyse. liaison
entre système nerveux et endocrinien
- Hypophyse: Production des hormones
- Hippocampe: Rôle central dans la mémoire et navigation spatiale
- Amygdale: gestion des émotions primaire: faim, peur pulsion sexuelle
ORGANISATION DE LA MOELLE EPINIERE
• Contenue dans le canal rachidien
- juxtaposition des foramens des vertèbres
- Rôle de soutient
Fracture vértébrale
• Risque de lésion de la moelle épinière
• Perte de la sensibilité et de la motricité sous la lésion
—> Paraplégique/Tétraplégique
La moelle épinière:
• Neurones et cellules ghales/gliales (?)
• Transmission des messages nerveux entre le cerveau et le reste du corps
• circuit neuronaux indépendant qui contrôlent des réflexes.
Anatomie de la moelle épinière:
2 types de matières:
- Matière blanche/substance blanche: contient les axones des neurones sensoriels et
des motoneurones. Rôle: transmet les information motrice et sensoriel.
- Matière grise/Substance grise: Corps cellulaires des neurones. Centre nerveux car
c’est la que se déroulent le phénomène des réflexes.
Substance grise —> Centre de traitements des informations
Substance blanche —> Voie de transmission des informations
Partie dorsale de la ME: Partie sensorielle
Partie ventrale de la ME: Partie motrice
Traitement des informations
Conduction des informations
Dorsal
Centre de la sensibilité (corne
supérieure)
Voies des sensibilité (voies
afférentes)
Ventral
Centre de la motricité (corne
antérieur)
Voies des motricité (Voies
efférentes)
La colonne vertébrale est divisée en 31 segments = segments médullaires. A chaque
segment médullaire il y’a une paire de neurone spinaux avec des motoneurones et des
neurones sensoriels (une voie motrice et une voie sensorielle).
Il y’a des nerfs mixtes —> connexion entrantes et sortantes.
• Notion de métamérie
- Chaque racine innerve un territoire corporel précis
- métamérie = correspondance entre une racine rachidienne et une partie du corps
• La moelle épinière:
- Rôle descendant/efférent —> Moteur (ventral)
- Rôle ascendant/afférent —> Sensorielle (dorsale)
- Rôle de déclenchement de mouvement réflexe.
Nerfs crânien:
12 nerfs issu directement (vers la moelle épinière) depuis l’encéphale.
Nerfs spinaux:
31 paires de nerfs spinaux. Motricité et sensibilité. ils sont mixtes:
- 8 cervicaux
- 12 thoraciques
- 5 lombaires
- 5 sacrés
- 1 coccygien
Rôle du SN:
- Fonctions sensitives
- Fonctions intégratives
- Fonctions motrices
Communication SNC et SNP
- voie afférente: SNP —> SNC
- voie efférente: SNC —> SNP
Mouvements réflexes et mouvements volontaires
Le
réflexe:
• Réponse
musculaire
à un stimulus
- involontaire
- stéréotypée
- très rapide
• Réponse induite par un arc réflexe, le mécanisme de réponse intégré d’un centre
nerveux sans intervention du cerveau et de la volonté consciente.
Le réflexe myotatique
• Contraction d’un muscle en réponse à son étirement non sollicité.
• Implique:
- Fuseau neuromusculaire
- Motoneurones
Innervation du muscle:
• Les neurones dont les axones innervent les fibres musculaires squelettiques portent le
nom de motoneurones
• Quand il atteint le muscle, l’axone d’un neurone se divise en plusieurs branche
• Chaque branche établit une seule jonction avec le muscle
• Ainsi, un seul motoneurones innerve un grand nombre de fibres musculaires, mais
chaque fibre musculaire est régie par un seul motoneurone
L’unité motrice
• Un motoneurone et les fibres musculaires qu’il innerve constitue une unité motrice
• Quand un potentiel d’action se produit dans un motoneurone, toutes les fibres
musculaires qui appartiennent à son unité motrice se contractent
Motoneurones
• Le motoneurone alpha s’innerve sur les fibres musculaires extrafusales
• il est responsable de la contraction des fibres musculaires innervées.
• Le motoneurone Y (gamma) s’innerve sur les fibres musculaires intrafusales, sur le
fuseau neuromusculaire.
• il ajuste la sensibilité des fuseaux neuromusculaires à leur propre étirements.
Fuseau neuromusculaire
• Mécanorécepteur constitué de fibres musculaires modifiées
• disposée parallèlement aux fibres du muscle, il est sensible à:
- étirement des fibres musculaires (sensibilité statique)
- changement d’étirement des fibres musculaires (sensibilité dynamique)
1. Détection de l’allongement du muscle par le fuseau neuromusculaire: voie afférente
2. Transmission de l’information nerveuse au motoneurone alpha
3. déclenchement dune contraction musculaires par le motoneurone alpha: voie
efférente
—> réflexe monosynaptique
Réflexe myotatique et innervation réciproque
• fait appel à un interneurone inhibiteur
• il secrète un neurotransmetteur particulier (glycine ou GABA), qui inhibe l’activité
d’un autre neurone
• il va servir à relâcher le muscle antagoniste
1. détection de l’allongement du muscle par le fuseau neuromusculaire: voie afférente
2a. transmission de l’information nerveuse au motoneurone alpha
2b. activation de l’interneurone inhibiteur
2c. inhibition du motoneurone activant le muscle antagoniste
3a. Déclenchement dune contraction musculaire par le motoneurone alpha
3b. relaxation musculaire du muscle antagoniste
cas pratique: l’entorse de la cheville
Rôle des motoneurones GAMMA
• Comment peut on changer l’étirement d’un muscle si un réflexe corrige notre action
automatiquement?
• Le motoneurone Y module la sensibilité du fuseau neuromusculaire. En cas de
contraction volontaire, son seuil d’excitation est élevé à un niveau trop haut pour qu’il
envoie un signal afférent.
Réflexe myotatique inverse
• il permet la relaxation du muscle innervé
• Nécessite l’activation de l’organe tendineux de Golgi, présent à la frontière entre le
muscle et le tendon
1. détection du raccourcissement du muscle par l’organe tendineux de golgi: voie
afférente
2a. activation dun interneurone inhibiteur
2b. activation dun interneurone excitateur
3a. inhibition du motoneurone alpha contrôlant la contraction du muscle agoniste
3b. axcitation du motoneurone alpha contrôlant la contraction du muscle antagoniste
4a. relaxation du muscle agoniste
4b. contraction du muscle antagoniste
—> Réflexe polysynaptique
Réflexe de flexion/ d’évitement
lorsqu’un stimulus douloureux est ressenti:
jambe touchée
-Activation des motoneurones alpha des
muscles fléchisseurs de la jambe
désactivation des motoneurones alpha
des muscles extenseur de la jambe
Eloigner le membre de la source de
douleur
jambe controlatérale:
-activation des motoneurones alpha des
muscles extenseurs de la jambe
-désactivation des motoneurones alpha
des muscles fléchisseurs de la jambe
Assurer la stabilité posturale
• la vitesse de transmission de la douleur sourde est de 1 m/s (fibre amyélinique)
• L’arc réflexe a une vitesse beaucoup plus élevé.
• La main est retirée de la source de chaleur avant que vous ayez une perception
consciente de la douleur
LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES
La motricité volontaire
•
•
•
Fonction qui permet à un organisme de se déplacer et d'interagir avec le milieu
extérieur en mobilisant son squelette
Mouvement provoqué par la contraction d'un muscle ou de groupes musculaires
Le mouvement est toujours intégré dans une action, orienté vers un but.
Les voies descendantes de la motricité
•
Voies descendantes
− Déclenchement mouvements volontaires
− Séquences motrice avec un déroulement temporel complexe
Cortex Moteur
Cortex moteur primaire (M1
(aire 4))
•
Chaque région du
corps se projette sur
une zone déterminée
du cortex . La surface
de cette zone est
proportionnelle à la
finesse de la motricité
de cette région du
corps :
HOMONCULUS
MOTEUR
Aire motrice supplémentaire et aire pré-motrice
•
•
Impliquée dans sélection des mouvements sur la base d'indice interne :
production de séquences motrices mémorisées, indépendantes de stimuli
externes
Impliquée dans coordinations mouvements complexes bilatéraux
•
Lésion de l’Aire Motrice Supplémentaire (AMS)
− réduction des mouvements « spontanées », à déclenchement interne
− Mouvement exécutés en réponse à stimuli externes pas affectés
•
Lésion de l'Aire Pré-Motrice (APM)
− Détériore la capacité d’exécuter des mouvements sur la base d'indices
visuels conditionnels, c'est-à-dire si un mouvement doit être choisi parmi
d'autres.
•
APM et AMS impliqués dans sélection de mouvements spécifique ou de
séquences motrices à partir du répertoire des mouvements possibles
Le cervelet
Les fonctions motrices du cervelet
•
Vermis :
− fonction posturale
•
Cervelet intermédiaire
− Contrôle des mouvements en cours d’exécution
•
Cervelet latéral :
− Réglage des paramètres de l’exécution (force, vitesse, amplitude)
− Apprentissage d'un mouvement nouveau
Ganglion de la base / noyaux gris centraux
•
•
•
Ensemble de noyaux souscorticaux impliqués dans la
motricité
Ils assurent la construction
du plan d'action
Ils assurent également leur
mémorisation :
− Mémoire des savoirfaire
Activité des motoneurones
•
L’activité des motoneurones est contrôlées par trois influx nerveux
− Réflexes spinaux :
− Faisceau cortico-spinal ou faisceau pyramidal : Les influx venant du cortex
primaire : neurones pyramidaux (corps cellulaire dans cortex moteur
primaire)
− Système extra-pyramidal : Les influx venant du tronc cérébral : système
multineuronal comportant un grand nombre de synapses dans plusieurs
régions de l'encéphale (cervelet / GB). Ces voies convergent finalement
dans le TC au niveau de la formation réticulaire
La voie pyramidale
•
•
Voie direct et monosynaptique.
Responsable de la motricité volontaire
Chaîne de 2 neurones
− Neurone 1 = Neurone central dont
le trajet est cortico-spinal
− Neurone 2 = Motoneurone de la
corne ventrale (motoneurone
périphérique)
•
Faisceau Pyramidale (FP) descend du cortex cérébral traverse la capsule interne et
se dirige verticalement vers le tronc cérébral et la Moelle Épinière (ME)
•
Dans le tronc cérébral, au niveau de la moelle allongée, FP croise (en grande
partie) la ligne médiane (décussation pyramidale) et descend du coté opposé de
l'hémisphère cérébral d'origine.
•
FP se divise en 2 faisceaux : un volumineux
faisceau pyramidal croisé et un fin faisceau
pyramidal
•
Ce dernier = faible contingent de fibres
motrices pyramidales qui n'ont pas subi la
décussation. Il descend donc du même coté
que celui d'origine et se place dans le
cordon ventral de la ME (près de la fissure
médiane).
•
Les neurones contenus dans le faisceau pyramidale du même coté en s'articulant
dans la corne ventrale avec les motoneurones alpha au niveau de chaque
neuromère (segment de moelle grise)
•
Les neurones contenus dans le faisceau pyramidal direct croisent la ligne médiane
au niveau de chaque neuromère et s'articulent à leur tour avec les motoneurones
de la corne ventrale du côte opposé
LES SYSTÈMES SENSORIELS
I.LE SYSTÈME VISIO-MOTEUR
Notre système visuel reçoit de l'information et va analyser ce qu'on voit. Via rétine →
cerveau.
Yeux : dispositif musculaire pour chercher l'information aussi.
Comment cet œil bouge et quel est son impact ?
Processus cérébraux qui se mettent en place
→ au fur et à mesure de l'age se dégrade
-
IMBERT expérience :
Chaton dans une pièce noir :
→ un moi obscurité → chaton aveugle
>> système visuelle a des périodes propice pour se développer
Nos yeux convergent vers un même point, ce qui donne la profondeur au champ et du
relief
L'homme a 2 yeux frontaux → Vision 3D
Appareil Visuel + Appareil moteur → primats des primates
(Schéma de l’œil )
6 Muscles :
- 4 muscles droits : Intérieur, extérieur, supérieur, inférieur
- 2 obliques : Grand oblique, petit oblique
3 Nerfs :
- Nerf III : Nerf oculomoteur commun
- Nerf VI : Nerf oculomoteur externe
- Nerf IV : Nerf Pathétique
Mouvement oculaire : Seulement Rotation
- Adduction / abduction
- Élévation / dépression
- Torsion
→ Type de Mouvement :
-
Saccade : passage d'un point de fixation à un autre 95% du temps (v en °/s)
-
Poursuite : La poursuite nécessite un élément physique réel pour la déclencher.
En imagination ce sera de la saccade.
-
Micro Saccade : Déplacement très rapide qui permet à l’œil de se reposer
-
Nystagmus optique : Suivre et Revenir : exemple un train en gare
→ L’œil crée des hypothèses dès la première prise d'information
→ Ces muscles sont infatigables. Ils se reposent seulement pendant certain cycle de
sommeil.
Étendu du système visuelle du :
- Développement de la rétine : si on ne stimule pas, l’œil ne fonctionnera pas
(analogie : software dans un hardware).
Performance : reflet de son activité cérébrale.
→ Avoir de bonnes bases
→ Rééducation des bases
NERF :
Corps cellulaires de ces nerfs tous réunis dans une zone de notre cerveaux : Noyau
Oculomoteur
Performance d'un cerveaux → réseaux : nombre de neurone + capacité à créer des
synapses
IDENTIFICATION fait par l'apprentissage
Ce ne sont pas seulement les propriétés musculaires qui détermine la performance mais
essentiellement les propriétés cérébrales.
(Schéma carte visuelle)
II.LE SYSTÈME VESTIBULAIRE : GÈRE L’ÉQUILIBRE
Le système vestibulaire nous soutient en permanence. Il s'optimise avec l’expérience. Il a
besoin d'information sur le centre de gravité, le tonus musculaire, etc. grâce auxquelles il
pourra assurer la position bipédie.
→ Capteur : équilibre / déséquilibre
Équilibre statique : Tant que la projection du centre de gravité est proche du centre de
la zone d'équilibre = Polygone de sustentation.
Il s'effectue quand on marche, quand est immobile.
Équilibre dynamique : Projection du centre de gravité sortie du polygone de
sustentation (ex:saut)
→ Enclenchement de réflexe dès que ceci est involontaire
→ Le tout géré par 2 appareils vestibulaires : cavités osteo-cartilagineux (derrière
l'oreille).
Appareil baigne dans un liquide « exolymphe »
Lésions d'un AV :
Ex : droit :
- Flexions membres droits
-
Extensions membres gauches
Nystagmus
→ second appareil vestibulaire replacera le rôle du premier : mais perte de rapidité
Lésions de 2 AV :
• Perte totale de l'équilibre les yeux fermés
• Oscillation constante de la tête
Système visio-moteur et vestibulaire travaille en collaboration.
→ La vision stabilise le corps
3 types de motricité :
•
Volontaire
•
Automatique : marche, écriture, ...
•
Réflexe : une fois stimulation déclencher, on ne peut pas arrêter le mouvement
→ Polygone de sustentation virtuelle, on s'appuie sur l'air (ou sur l'eau). L'air est une
force avec laquelle on peut jouer. (ex : gym)
Polygone de sustentation virtuelle et réel, on utilise les deux tous les jours.
L’appareil Vestibulaire :
• détecte les rotations
- déplacement linéaire
- détecte la projection du centre de gravité soit bien centré.
Constitué de :
- 3 canaux semi-circulaires : donne la position de la tête dans l'espace
- 2 poches: détectent les translations dans le plan horizontale et verticale
-
Baigne dans l'exolymphe et est remplis d'endolymphe, ce n'est pas
compartimenté, l'endolymphe circulent partout.
Il va mettre de la pression et va permettre son bon fonctionnement
-
La partie Utriculo saculaire détecte les accélérations lors de la translations
Les canaux circulaires détectent les accélérations lors de la rotation (angulaire)
-
-
Dans les ampoules : Sensation action décélération et accélération est dû à la
déformation de la cupule de gel par le mouvement de d'endolymphe dans lequel il
baigne.
Même principe dans le macula de la saccule sauf que la cupule de gel est libre.
Caillou (otoconie )appuie une force sur le kinocil dans la macula
Caillou (otoconie) plie le kinocil sur les stereocil dans la saccule
→ Double information qui permette de déterminer l'orientation de la pesanteur.
→ c'est deux informations me dise que ma tête est dans le plan horizontal
information envoyé par le nerf VIIIv
Cette Appareil vestibulaire va nous sauvegarder par des réflexes
• dans les activités quotidiennes ex : ascenseur
• Chute arrière : basculement de la tête en avant → Canal sagittal stimulé
→ Reflex : Flexion des jambes, extension des bras vers l'arrière → Dorsiflexion
• Chute avant : basculement de la tête en arrière → Canal sagittal stimulé
→ Reflex : Flexion des jambes, extension des bras vers l'avant → Ventriflexion
Liens entre ce que l’appareil vestibulaire va détecter et la compensation du système
visuel et ses limites :
Mal des transports :
exemple : Route sinueuse :
Avant virage → on se voit tourner mais on vestibule droit
Sortir virage → on se voit droit mais on vestibule tourner
•
→ Le cerveau à 2 informations qui ne collent pas (dissonance) , il envoie donc des
signaux de détresses : Nausée, vomissement , perte de connaissance
→ Mémorisation de ces informations : Reprise des signaux avant même de monter dans
la voiture.
Pas de solution réel au moment de la mise en situation du conflit.
•
Mal de L'espace :
Dans l'espace (situation d’apesanteur) :
- Le répartition égale du sang dans tout le corps
-
Plénitude de la tête (taux de sang plus élevé dans la tête)
Muscles inutiles
Notion de risque diminuée fortement
On retrouve les mêmes symptômes.
- Les 2 poches n'ont plus d'informations (direction de force d'attraction terrestre)
→ Déclenchement des signaux de détresses.
- Quand l'appareil vestibulaire n'est plus utilisé, on arrive plus a s'orienter
physiquement mais aussi psychologiquement.
→ Malaise psychologique. ( exemple du dessin fait dans l'espace)
L’appareil vestibulaire même sans pesanteur peut travailler grâce de l’entraînement.
L'appareil vestibulaire aura aussi un impacte directe sur notre musculature.
(schéma)
Ce sont les noyaux vestibulaires qui influence les noyaux oculomoteur et les neurones
pré-moteur.
Décalage de l'appareil vestibulaire. Ainsi le système visuel prend le prima sur l'appareil
et donne la première information. L'appareil vestibulaire permet de confirmer aussi cette
information.
Systèmes sensorielles nécessite un apprentissage pour se perfectionner.
En cas de déficit de l'un, les autres prennent le relais mais restent moins efficaces.
Téléchargement