Yves Trémorin - Artotheque de Caen

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DOSSIER PÉDAGOGIQUE
Yves Trémorin
La Derivada mexicana / La Dérivée mexicaine
du 25 juin au 3 septembre 2011
Artothèque de Caen
La Malinche, photographie, 2009 - ©Yves Trémorin
Exposition réalisée en partenariat avec :
L’Artothèque de Caen
le Centre Régional de la Photographie Nord-Pas-de-Calais, Douchy-les-Mines
le Centre Atlantique de la Photographie, Brest
le Centre Photographique d’Île-de-France, Pontault-Combault
le Musée des Beaux-Arts de Rennes
le Centro de Imagen, Mexico
Artothèque de Caen - Hôtel d’Escoville - Place Saint-Pierre - 14000 Caen
Tel : 02 31 85 69 73 - [email protected]
http://www.artotheque-caen.net
Exposition
Yves Trémorin
La Derivada mexicana / La Dérivée mexicaine
du 25 juin au 03 septembre 2011
Depuis plus de 15 ans, l’Artothèque de Caen suit et accompagne le travail photographique de Yves Trémorin,
l’un des membres fondateurs du groupe Noir Limite. Après son exposition personnelle en 1996 qui présentait
les séries La Tribu et Natures Mortes, l’Artothèque, dont la collection compte trois de ses photographies,
accueillait de nouveau en octobre 2010 les œuvres de Trémorin lors de l’exposition collective Quelques-uns
d’entre nous qui l’associait à Florence Chevallier et Philippe Bazin pour un hommage au critique d’art Bernard
Lamarche-Vadel.
Réalisée lors d’une résidence au Mexique, La Dérivée mexicaine confirme l’approche singulière et radicale de
ce photographe reconnu sur la scène internationale. Par cette nouvelle invitation, l’Artothèque affirme ainsi son
attachement et sa fidélité au travail de Yves Trémorin.
«En 2009, lors d’une résidence au Mexique de deux mois, Yves Trémorin a réalisé un ensemble de
photographies qui décrit le Mexique, d’une part, à travers la spécificité des corps de ses habitants
et, d’autre part, à partir d’imageries animale et objectale des figures symboliques communes aux
différentes cultures persistantes dans le monde contemporain. Yves Trémorin vit et travaille en
Bretagne. Le projet s’inscrit dans le cadre du programme Breizh Mex, d’échanges croisés avec le
Mexique, initié par L’Alliance Française et avec le soutien de la ville de Rennes, du Conseil Régional
de Bretagne et de la Ciudad de Mexico, du Centro de la Imagen, de la revue Farenheit au Mexique.
Yves Trémorin, au cours d’une résidence d’artiste de plusieurs mois au Mexique, s’est donné pour
objectif de rendre compte de ce qui caractérise ce pays tant d’un point de vue culturel, historique
que mythologique. Avec ses moyens d’artistes, il rapporte du voyage mexicain un fascinant ensemble
d’images tel un ethnologue d’un genre un peu particulier. Son habitude d’extraire par la photographie
un objet ou un portrait, de constituer, en quelque sorte, une collection servant l’étude qu’il s’est
fixée, prend ici tout son sens. Isolant comme à l’accoutumée ses sujets, ici sur un fond souvent noir,
il joue sur la position de l’explorateur occidental partant dans un pays lointain pour en ramener
au gré de ses dérives, objets et images qui deviendront comme les reliques muséales nécessaires
à la compréhension d’une civilisation aux codes différents des nôtres. Le jeu est d’autant plus fort
qu’au regard de ces photographies, se dresse effectivement un véritable portrait du Mexique.
Celui-ci se constitue à travers la spécificité des corps de ses habitants et des représentations de
figures symboliques qu’il retrouve dans ses images d’animaux ou d’objets et qu’il transpose dans
le champ de l’art contemporain. Nus ou portraits à la gestuelle inhabituelle semblent se référer au
seul domaine de la performance alors qu’ils reprennent un langage des signes explicitement lié à
des représentations enfouies dans la mythologie collective. Une photographie époustouflante d’un
chien noir peut se référer à la figure du Ahuitzotl, un dos tatoué au Quetzalcóatl — le célèbre serpent
à plumes —, un crapaud photographié frontalement au fond d’une grotte au dieu Tlaloc… Ce qui
est montré n’est jamais anodin, jamais fortuit : plusieurs strates de lecture sont à découvrir derrière
la simplicité apparente des images qui pourraient, au premier regard, être considérées comme un
catalogue factuel de personnes, d’animaux ou d’objets plus ou moins exotiques.»
Eric Cez.
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Pour préparer la visite...
Loin d’une vision stéréotypée et touristique du Mexique, Yves Trémorin nous livre
une histoire singulière de ce pays et de sa culture. De ces photographies émergent
des séries d’indices, d’objets symboliques extraits des croyances et des rites
présents dans la culture mexicaine, passée et présente.
Le bestiaire mythologique :
- Le crapaud : serviteur de Tlàloc, dieu mythologique de l’eau et de la fertilité.
- Le coq : les combats de coq sont une pratique courante au Mexique.
Ses plumes évoquent également les parures des aztèques et des différentes tribus
indigènes. Elles servaient aussi de monnaie d’échange. À l’époque des aztèques,
le quetzal (ou couroucou royal) était un oiseau sacré, dont les plumes, de couleur
bleu et vert, étaient très prisées.
- Le chien sans poils ou Xoloitzcuintle : race canine maintenue depuis les aztèques.
Dans la mythologie, ces chiens nus guidaient les âmes des morts vers le mitclàn
(royaume des morts)
- La patte de poule : objet rituel, aliment consommé au Mexique.
- L’iguane : animal domestique, figure emblèmatique.
Les figures humaines
Références aux
préhispaniques.
sacrifices
humains,
postures
rappelant
les
sculptures
« (...) Mes modèles connaissaient les poses que je leur indiquais, faisant référence
aux sculptures préhispaniques. Les musées, surtout ceux d’anthropologie sont très
fréquentés par les mexicains. (...)
Yves Trémorin, propos recueillis par Laurence Imbernon, musée des Beaux-arts de
Rennes, avril 2011.
Figures féminines
- La Malinche : princesse indigène donnée en tribut à Hernan Cortés.
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Pour préparer la visite...
«Dans le long récit de Bernal Diaz del Castillo, Histoire véridique de la
conquête de la Nouvelle-Espagne, il explique comment Cortés a pensé
l’expédition et a su allier les ethnies contre les aztèques, à l’époque la
culture dominante, (...) c’est dans ce livre que j’ai découvert l’importance de
la Malinche, une princesse indienne donnée en tribut à Cortés, une femme
remarquablement intelligente qui parlait les langues indigènes et l’espagnol.
Elle a su expliquer à Cortés la situation politique du pays et elle a permis les
négociations avec les autres tribus. Elle est un personnage très important au
Mexique, et pour moi elle représente la beauté indienne. Elle est celle qui a
permis la fondation de la nation et en même temps celle qui a trahi son peuple.
Une double personnalité très complexe. Elle est très présente dans l’art, on
l’identifie par exemple avec les attributs de Xochiquétzal sous les traits de
Frida Khalo, sur une fresque de Riveira du Palacio Nacional, dévoilant sa
jambe nue tatouée devant un conquistador.»
Yves Trémorin, propos recueillis par Laurence Imbernon, musée des Beauxarts de Rennes, avril 2011.
Figures masculines
- L’homme qui crie (el Gritador) : Référence aux postures de la statuaire précolombienne, expressions que l’on retrouve dans les peintures murales de
l’artiste muraliste Diego Riveira.
- Tatouage de Quetzalcoatl (Serpent à plumes) : Un des principaux dieu du
Panthéon aztèque, culte revisité par la jeunesse contemporaine.
- Santa Muerte (Sainte Mort) : figure de culte mexicain.
Diverses églises (catholique, baptiste, presbytérienne, méthodiste) rejettent
et condamnent sa vénération en la considérant comme diabolique. L’église
catholique la considère comme une tradition païenne contraire à la croyance
chrétienne du Christ vainqueur de la mort.
- Tlazolteotl : déesse de la fertilité
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Pour préparer la visite...
Les représentations d’objets symboliques
Les masques de luchador : La lucha libre est un catch typiquement mexicain.
«Il constitue un véritable espace de représentation, un espace très populaire
(...) On va à la lucha libre, exutoire où on laisse libre cours à l’expression de
ses penchants en s’appropriant les masques. (...)
Les lutteurs rejouent l’histoire du Mexique, l’histoire du monde. Il y a les Bons, les
Méchants, les Bons sont les Técnicos (El Santo, El Mistico, Pierroth...) ils luttent
avec style en respectant les règles tandis que les Rudos (Heavymetal, Black
warrior, El Satànico...), les mal élevés, représentent plutôt le peuple. Eux se
battent comme dans la rue en cherchant l’efficacité au mépris des conventions.
Certains passent de rudo à tecnico ou de tecnico à rudo.
(...)
J’ai repris pour titre des différents chapitres du livre les principaux défis de la
lucha libre : Mascara contra Mascara, quand deux lutteurs masqués s’affrontent,
le perdant est démasqué. Mascara contra Caballera, quand l’un des lutteurs n’a
pas de masque, si le chevelu perd, il est rasé sur le ring par son adversaire. Quand
aucun ne porte de masque, c’est un combat Caballera contra Caballera.»
Yves Trémorin, propos recueillis par Laurence Imbernon, musée des Beaux-arts
de Rennes, avril 2011.
- La poupée Huichole : poupée artisanale, objet populaire mexicain
- L’épi de maïs (Le maïs de vie) : Dès l’époque des Maya, un culte est voué au
dieu maïs, nourriture principale cultivée au Mexique.
- Le lance-pierre (Tlaquiltenango) : objet artisanal
- Fleur de Cuetzalan : Nom donné par l’artiste à cette fleur trouvée sur le
marché de Cuetzalan, petit village situé au nord de la ville de Puebla et réputé
pour son marché traditionnel.
Sites Internet
- http://tremorin.wunderblock.com
- http://ddab.org/tremorin
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Pour préparer la visite...
Un style photographique selon des dispositifs et un mode de représentation
paramétrés.
Les photographies d’Yves Trémorin, sont construites selon des paramètres précis
et récurrents :
> Refus de l’instantanéité, de la position du «photographe flâneur»
(photographies en studio)
> Mise en scène des sujets photographiés : qu’il s’agisse d’objets ou d’individus,
le traitement est équivalent
> Usage de la série : aucune œuvre «isolée», chaque image s’inscrit dans un
développement sériel
> Implication envers le sujet
> Point de vue frontal
L’artiste voyageur : l’exploration en images d’une autre culture
> Une anticipation du voyage au travers de l’histoire, de la littérature, du
cinéma, de la photographie nord-américaine et mexicaine...
> Une présentation d’objets, de portraits d’hommes, de femmes ou d’animaux,
isolés et émergeants d’un fond noir, comme des pièces à convictions.
> Un inventaire des différents codes de représentations liés à la culture mexicaine,
à la mythologie aztèque.
> Un attachement à photographier des fragments du quotidien, des éléments
prélevés lors de ses déplacements et de ses rencontres.
La photographie et le sacré
> Un rassemblement d’objets et de figures faisant allusion aux mythologies
aztèques, aux rites et coutumes religieuses
> Des images-symbôles
> Des sujets représentés sur fond noir, présentation héraldique, dualité
figure / fond : Idée d’un infini, d’une vision cosmogonique où l’on envisage
l’humanité comme un ensemble universel où des rapports peuvent être faits
entres les différentes cultures, les différents cultes à travers le monde.
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Rapprochements iconographiques
Edward Weston
Manuel Alvarez Bravo
Pepper, photographie 1930.
www.edward-weston.com
Graciela Iturbide
Nuestra Señora de Las Iguanas,
photographie, 1979.
gracielaiturbide.org
Françoise Quardon
Santa Frontera, 2009.
www.francoisequardon.fr
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Lexique
Les principales divinités aztèques :
Chicomecòatl : déesse du Maïs.
Huitzilopochtli : dieu du Soleil et de la Guerre.
Mictlantecuhtli : dieu de l’au-delà, père de Quetzalcòatl, représenté par un
squelette au dents protubérantes.
Ometeotl : dieu supérieur. On ne peut pas le représenter.
Quetzalcòatl : serpent à plumes, maître de l’Air.
Tezcatlipoca : dieu de la Nuit, du Froid et de la Mort.
Tlaloc : dieu de la Pluie et de la Végétation.
Tonantzin : déesse mère.
Xipe Topec : dieu de la Végétation printanière.
Le mythe des volcans Popocatépetl et Iztaccíhuatl :
le Popocatépetl au Mexique est l’un des plus hauts sommets du continent
américain. En langue aztèque, son nom signifie « montagne qui fume ».
L’Iztaccíhuatl est la troisième montagne la plus haute du Mexique après le pic
d’Orizaba (5 636 m) et le Popocatépetl (5 452 m). Il est l’un des éléments
centraux du parc national Iztaccíhuatl-Popocatépetl.
Dans la mythologie aztèque, Popocatépetl était un guerrier amoureux
d’Iztaccíhuatl. Le père d’Iztaccíhuatl l’envoya guerroyer en Oaxaca en lui
promettant la main de sa fille s’il revenait, le père pensant que cela était
impossible. Popocatépetl s’en alla, et on affirma à Iztaccíhuatl qu’il était mort
; elle en mourut de chagrin. Quand il revint, il mourut lui aussi de chagrin
en apprenant la perte de sa bien-aimée. Les dieux recouvrirent leurs corps
de neige et les changèrent en montagnes. Iztaccíhuatl fut appelée « femme
blanche» , en raison de sa ressemblance avec un corps de femme allongée.
Popocatépetl devint le volcan du même nom, faisant pleuvoir le feu sur terre,
mis en rage par la mort de son amante.
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Lexique
- Hernán Cortés :
Né en 1485 et mort en 1547, Hernán Cortés est originaire de Medellín en
Espagne. Fils d’un capitaine d’infanterie de famille noble, le gouverneur de
Cuba lui confia la mission d’explorer l’Amérique centrale. C’est avec une flotte
de 11 navires, d’une centaine d’hommes d’équipage et de 500 soldats qu’il
appareilla le 18 février 1519. Il fonda sur la côte du golfe du Mexique la Villa
Rica de la Vera Cruz, l’actuelle Veracruz qui est donc le 1er port colonial du
Mexique.
Beaucoup des hommes qui accompagnaient Cortés voulu reprendre la mer
après avoir reçu de riches présents des envoyés du chef aztèque, Moctezuma
II. Mais Cortés fit brûler 10 de ses 11 navires et engagea ses troupes vers
l’intérieur du pays. Il entra dans Tenochtitlán le 13 novembre 1519 où il
obtint la soumission de Moctezuma II. Ce dernier voyait en effet en lui le dieu
Quetzalcóatl réincarné.
En mai 1520, Cortés quitta la capitale pour affronter et vaincre les troupes du
gouverneur de Cuba, lancées en raison de la désobéissance de Cortés. A son
retour, il vit que la population s’était soulevée contre lui après avoir massacrée
les Espagnols restés sur place. Il dut attendre le 13 août 1521 pour reconquérir
la cité et la détruire complètement.
En 1522, Cortés fut nommé gouverneur et capitaine général de la NouvelleEspagne par l’empereur Charles Quint. Ses troupes parvinrent ensuite
à soumettre la presque totalité des Etats indiens. De 1528 à 1532, Cortés
séjourna en Espagne où il perd son poste de gouverneur mais obtient le titre
de Marqués del Valle de Oaxaca à son retour au Mexique. Il entreprit alors
encore quelques expéditions qui le menèrent entre autres en Honduras et sur la
presqu’île de Californie. Il mourut en Espagne près de Séville après avoir pris
part à la campagne d’Alger.
(source : www.mexique-fr.com)
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Visuels de l’exposition
Maïs de vie, photographie, 2009
© Yves Trémorin
Poupée Huichole, photographie, 2009
© Yves Trémorin
Pierroth, photographie, 2009
© Yves Trémorin
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Biographie
www.tremorin.net
Yves Trémorin est né à Rennes en 1959.
Il poursuit des études de Mathématiques à l’Université de Rennes I. L’ensemble
Cette femme-là, 1983, pose ses principaux axes de travail : mises en scène dans
un dispositif paramétré de manière rigoureuse, utilisation du médium dans sa
spécificité propre, travail sur ses proches et son environnement, vision intime et
en gros plan, objectivité quasi scientifique. Il est membre fondateur du groupe
Noir Limite, 1986-1991. Après des travaux exclusivement en vidéo We Others,
1996-1999, il revient à la photographie en élargissant son champ d’application
de l’image photonumérique à l’image électronique obtenue au microscope tout
en multipliant les supports de diffusion pour des images autour de ses thématiques
de prédilection.
Nature morte n°14, photographie, 1993
Collection Artothèque de Caen
Nature morte n°17, photographie, 1993
Collection Artothèque de Caen
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Biographie
Expositions personnelles (sélection)
2011
La Derivada mexicana
La Derivada mexicana
La Derivada mexicana
La Derivada mexicana
Douchy-les-Mines
La Derivada mexicana
/
/
/
/
La
La
La
La
Dérivée
Dérivée
Dérivée
Dérivée
mexicaine,
mexicaine,
mexicaine,
mexicaine,
Artothèque de Caen
Musée des Beaux-Arts de Rennes
Centre Atlantique de la Photographie, Brest
Centre Régional de la Photographie Nord Pas-de-Calais,
/ La Dérivée mexicaine, Galerie l’Aquarium, Valenciennes
2009
Les Amants Magnifiques, Galerie de l’Alliance Française de Mexico
BREIZHTORYTHM, Maison de la Bretagne, Paris
BREIZHTORYTHM, Lendroit Galerie, Rennes
2008
BREIZHTORYTHM, Centre d’Art Passerelle, Brest
2007
RECENT*, Paris, Galerie Gilles Peyroulet & Cie
Chine Intérieure / Homographie #3 Festival Agitato, Le Triangle, Rennes
2006
Homographies, Le Triangle, Rennes
2005
Blasons & Figures, Château de Châteaudun, commande du CNAP pour le festival Images au
Centre
2004
La Légende du Pavillon, Pantin, pavillon des arts de Pantin, festival Photo&Légende,
Rose Digitale, Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
2003
Natures Mortes et autres Objets, Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
2001
Guns - Manzanita St, Galerie de l’école des Beaux-Arts, Brest
Twist to East, Brno, Dum Umeni
2000
We Others, Frac Basse-Normandie, Caen
Guns, Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
1999
D’ar ger, Musée des Beaux-Arts, Rennes
We Others, Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
1998
Poupig, Théâtre de l’Hôtel de Ville, Le Havre
Poupig, Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
1997
Catherine - La Mort, Poitiers, Ecole des Beaux-Arts
1996
Tribu - Natures mortes, Galerie Isabelle Bongard, Paris
Tribu - Natures mortes, Caen, Artothèque de Caen
La Mort, Ecole Régionale des Beaux-Arts, Rouen
1995
Natures mortes, Mai de la photographie, Collège des Jésuites, Reims
1994
Tribu - Natures mortes, Prieuré des Bénédictins, Vitré
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Biographie
Expositions collectives (sélection)
2011
Le beau est toujours bizarre, Carte blanche à Philippe Piguet, Frac Haute-Normandie, Sotteville-lèsRouen
Chevallier / Marlot / Trémorin, École des Beaux-Arts de Rouen
L’art est un sport de combat, Musée des Beaux-Arts de Calais
L’objet photographique, une invention permanente, Maison Européenne de la Photographie, Paris
5ème Bienale Murmures, Abbaye de Bon-repos, Saint-Gelven
2010
Quelques-uns d’entre nous - hommage à B. Lamarche Vadel, Artothèque de Caen
Unique - hommage à B. Lamarche Vadel, Galerie Michèle Chomette, Paris
Une situation - hommage à B. Lamarche Vadel, École Supérieure d’Art de Quimper
Conversations entre œuvres - hommage à B. Lamarche Vadel, L’Imagerie, Lannion
2009
Dans l’oeil du critique, Bernard Lamarche-Vadel et les artistes, Musée d’art moderne de la Ville de
Paris
Mythos Kindheit - The Myth of Childhood: Haus Fur Kunst Uri, CH-Altdorf
CCA, Andratx ,Palma de Mallorca, [Poupig]
Naturellement Humain, Centre Joseph Kessel, Villepinte
2008
Locked in - Casino du Luxembourg, Luxembourg
Du réel inflitré, Collection Frac Bretagne - Galerie Le Lieu, Lorient
Grande Image, projection extérieure, Projet/Projection # 4 - Ecole Supérieure
des Beaux-Arts, Le Mans
2007
Grande Image, projection extérieure, Projet/Projection #1 - Ecole Supérieure
des Beaux-Arts, Le Mans
2006
Réinventer le Visible, 2O ans de photographie contemporaine dans la collection de la Maison Européenne
de la Photographie - Erfurt, Kunsthalle
Faites vos jeux, oeuvres de la collection du Frac Bretagne - Saint Brieuc, Musée d’Art &
d’Histoire,
Objets, Rencontres photographiques de Solignac
Gilles Mahé et ses copains - Centre International d’Art Contemporain, Pont-Aven
2005
La vie de l’homme - Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
Naissance - Musée de l’homme, Paris
Séance d’automne, avec Jean-Philippe Lemée - Tourcoing, Ecole Supérieure d’Expression
Plastique
2004
Portraits - Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
Voyageur Universel - Kunstwere in Erlangen
Retour de Vacances - Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
Communes Images – Blanc-Mesnil, Le Forum
2003
Faiseurs d’histoires - Rennes, Galerie du TNB - Frac Bretagne
Projets de Projets, avec Jean-Philippe Lemée - Rennes, Galerie 40mcube et Galerie Art &
Essai, Université Rennes 2
Le diable évidemment - Musée des Beaux-Arts, Brest
Le pire est à venir - Musée Nicéphore Niépce, Châlon-sur-Saône
Portraits-Visages 1853-2003 - Bibliothèque Nationale - Site Richelieu, Paris
Pensées Sauvages - La Galerie du Petit Château, CAUE 92, Sceaux
2002 Objets d’art, objets de désir - Galerie Gilles Peyroulet & Cie, Paris
Gewalt Bilder - Museum Bellerive, Zurich
2000
Le siècle du corps - Musée de l’Elysée, Lausanne
A table ! - Villa du Parc, Annemasse
Le Grand Tour - Fundazione per la fotografia, Palazzo Bricherasio, coll. Musée Niépce, Turin
Hommage à Bernard Lamarche-Vadel - Galerie Michèle Chomette, Paris
Exposition Yves Trémorin- 25/06 - 03/09/11
Renseignements Pratiques
Yves Trémorin
La Derivada mexicana / La dérivée mexicaine
du 25 juin au 03 septembre 2011
Exposition réalisée en partenariat avec :
L’Artothèque de Caen
le Centre Régional de la Photographie Nord-Pas-de-Calais, Douchy-les-Mines
le Centre Atlantique de la Photographie, Brest
le Centre Photographique d’Île-de-France, Pontault-Combault
le Musée des Beaux-Arts de Rennes
le Centro de Imagen, Mexico
Dates
et horaires
> du 25 juin au 03 septembre 2011 à l’Artothèque de Caen
Ouverture du mardi au samedi de 14 h à 18 h 30.
Fermeture les lundis, dimanches et jours fériés.
Entrée libre.
> Vernissage le samedi 25 juin à partir de 18h30 à l’Artothèque de Caen
> Les samedis de l’art
Visite commentée de l’exposition le samedi 2 juillet 2011 à 15h.
Entrée libre
> Édition
La Dérivée mexicaine - Texte de Michel Poivert
Livre édité aux éditions Loco avec la participation du Centre National des Arts Plastiques,
du Musée des Beaux-Arts de Rennes, du Centre Régional de la Photographie Nord-Pas-de-Calais,
du Frac Basse-Normandie, du Frac Bretagne, de l’Artothèque de Caen et de l’Artothèque de Vitré.
Contacts
Artothèque de Caen
Claire Tangy, directrice
Patrick Roussel, assistant
Marie Leloup, chargée de communication
Alexandra Spahn, documentaliste et chargée de médiation.
Artothèque de Caen Hôtel d’Escoville Place Saint-Pierre 14000 Caen
Tel : 02 31 85 69 73 [email protected] http://www.artotheque-caen.net
L’Artothèque de Caen est financée par la Ville de Caen, avec la participation du Ministère
de la Culture et de la Communication, Drac de Basse-Normandie, du Conseil général du
Calvados et du Conseil régional de Basse-Normandie.
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