LA PSYCHOLOGIE DE W. WUNDT (1832-1920) © L'Harmattan, 2003 ISBN : 2-7475-3676-9 Serge NICOLAS LA PSYCHOLOGIE DE W. WUNDT (1832-1920) L'Harmattan 5-7, rue de l'École-Polytechnique 75005 Paris FRANCE L'Harmattan Hongrie Hargita u. 3 1026 Budapest HONGRIE L'Harmattan Italia Via Bava, 37 10214 Torino ITALIE Du même auteur La mémoire humaine : Une perspective fonctionnaliste (2000). Paris : L'Harmattan (Coll. Psychologiques) (303 pages). Histoire de la psychologie (2001). Paris : Dunod (Coll. Topos) (128 pages). (traduction italienne sous le titre Storia della psicologia, Torino, Centro Scientifico Editore, 2002, XXIV + 144 pages). Histoire de la psychologie française : Naissance d'une nouvelle science (2002). Paris : In Press (Coll. Psycho) (360 pages). La mémoire et ses maladies selon Théodule Ribot (1881) (2002). Paris : L'Harmattan (Coll. Acteurs de la Science). (pp. VII-CXII ; 169 pages). La mémoire (2002). Paris : Dunod (Coll. Topos) (128 pages). SOMMAIRE I — LA VIE ET L'OEUVRE DE W. WUNDT 7 II — LES LOIS PSYCHOLOGIQUES DANS L'ÉCOLE DE WUNDT 27 Méthodes psychologiques Lois psychologiques Lois associatives et lois aperceptives Les lois des sciences morales Conclusion III — LA PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE DE WUNDT La méthode de la psychologie physiologique L'activité mentale et le système nerveux Les représentations La volonté et la théorie de l'aperception Conclusion 28 31 35 46 49 53 ...55 59 63 66 72 IV — LA VÔLKERPSYCHOLOGIE (SOCIO-PSYCHOLOGIE) DE WUNDT ..77 Le point de vue et la méthode Aperçu du champ d'investigation Les lois générales de développement V — LA MÉTAPHYSIQUE DE WUNDT La pensée Le sujet et l'objet La science Les idées directrices de la connaissance La métaphysique Le problème cosmologique Le problème psychologique Le problème ontologique Conclusion 78 83 .88 99 101 104 106 111 118 122 124 133 141 - I- LA VIE ET L'OUVRE DE W. WUNDT Le livre que nous proposons ici est un événement à plus d'un titre. Wundt reste certainement avec Freud le plus grand psychologue de tous les temps. Il est un des fondateurs de la discipline et son plus fameux promoteur. Son oeuvre est immense et touche presque à toutes les questions de la psychologie. Paradoxalement aucun ouvrage en langue française n'a été jusqu'ici consacré à ce personnage central de la psychologie allemande et mondiale que tous les historiens citent abondamment (voir Nicolas, 2001). Ce livre rassemble les contributions de quelques contemporains de Wundt qui ont assisté à son enseignement (H. Lachelier), qui ont travaillé directement sous la direction (G. Dwelshauvers), ou qui ont étudié attentivement son oeuvre (H. Norero). Il y a un siècle déjà, ces trois personnages ont publié, dans différentes revues ou recueils aujourd'hui difficilement accessibles, des articles spéciaux sur tel ou tel aspect de la philosophie et de la psychologie de Wundt qui, rassemblés ici, forment comme on le verra un tout vraiment cohérent. Pour cette raison, l'éditeur de ce livre a pensé qu'ils méritaient, par leur qualité et leur pertinence, d'être réédités pour former un ouvrage complet sur la psychologie de Wundt. Wilhelm Maximilian Wundt est né le 16 août 1832 dans le petit village de Neckarau, dans les environs de Mannheim, en Allemagne, dans le Grand Duché de Bade, d'un père prêtre protestant. À cause de ses difficultés scolaires, ses parents décidèrent en 1851 de l'envoyer au Lycée à Heidelberg où il commença à développer des intérêts intellectuels, et à lire énormément. Comme le financement des études posait problème après la mort de son père, il accepta l'opportunité d'étudier la médecine à l'Université de Tübingen (1851-1852) où son oncle Friedrich Arnold enseignait comme professeur d'anatomie et de physiologie. Le conseil de famille lui laissa quatre ans pour obtenir son diplôme de médecine. Après avoir échoué ses examens universitaires à Tübingen à cause de son manque de travail, il décida de terminer ses études en trois ans en retournant à l'Université d'Heidelberg. Wundt non seulement réussit ses examens de médecine (1855) mais fut classé premier de sa promotion. Malgré ce succès, il n'était pas encore disposé à entreprendre une carrière médicale. Sous la pression de sa famille, il vise d'abord un emploi de médecin militaire. Mais comme il n'y a aucune place de libre, il accepte un travail temporaire comme assistant de clinique chez son professeur, le pathologiste Ewald Hasse. Durant cette période, il continue cependant ses recherches afin de préparer sa thèse pour le doctorat en médecine qu'il obtient en novembre 1855. Wundt passe le semestre suivant (mars 1856 sept. 1856) à effectuer un séjour à Berlin où il étudie la physiologie avec Johannes Müller (1801-1858) et Emil Du-Bois Reymond (1818-1896). Le résultat le plus notable de cette aventure fut sa décision de continuer en physiologie plutôt qu'en médecine et d'entreprendre une carrière universitaire. Immédiatement après son retour à Heidelberg, il soutient son Habilitation (février 1857) puis fut recruté en août de l'année suivante (1858) comme assistant de Hermann (von) Helmholtz (1821-1894) à Heidelberg où il restera jusqu'en 1864. Durant cette période, il lut assidûment les écrits récents en psychologie (Herbart, Lotze, Fortlage, George, Volkmann) aussi bien que les oeuvres des prédécesseurs (Wolff, Kant). En plus de ses tâches de laboratoire et d'enseignement en physiologie, il donnait des cours réguliers sur des sujets comme l'anthropologie en 1859 et la psychologie comme science naturelle en 1862. C'est de cet enseignement que sont parus deux ouvrages majeurs de Wundt. En 1862, il publie sa Contribution à la théorie de la perception sensorielle où il étudie surtout l'influence des mouvements de l'oeil sur la conception de l'espace. Dans l'introduction du livre, il propose pour la première fois la constitution officielle d'une nouvelle science : la psychologie expérimentale. Comment en était-il arrivé là ? Comme physiologiste, il avait d'abord pensé que les perceptions sensibles sont tout simplement une oeuvre des propriétés physiologiques de nos organes des sens. Mais ses études entreprises en 1857-1858 sur le sens de la vue lui révélèrent la présence d'un acte (psychologique) de synthèse créatrice qui devint peu à peu son guide pour comprendre les fonctions supérieures de l'imagination et de l'entendement. L'année suivante voit paraître ses Leçons sur l'âme de l'homme et des animaux (Wundt, 1863) qui contenaient déjà en germes sa psychologie sociale (Vôlkerpsychologie) et où il annonce que la constitution de la psychologie comme discipline autonome ne peut se faire en considérant seulement la psychologie expérimentale. En effet, il souligne les nombreuses tentatives qui ont été 8 faites pour rattacher la psychologie aux sciences naturelles et suggère que la clé du succès réside dans l'utilisation des méthodes expérimentales aidées en cela par l'histoire et l'ethnologie. Pendant l'année universitaire 1863-1864, Wundt établit un petit laboratoire de physiologie chez lui, supportant lui-même avec ses revenus les frais d'édition de ses premiers ouvrages de physiologie (Manuel de physiologie humaine, 1864-1865 ; Recherches sur la mécanique des nerfs et des centres nerveux, 18711876) et de médecine (Traité élémentaire de physique médicale, 1867). Il continua son enseignement et ses recherches en physiologie avant d'être promu professeur associé. Quittant peu après Helmholtz, durant les six années suivantes qu'il passa à Heidelberg, il continua à enseigner et à beaucoup publier. Finalement, en août 1871, il fut nommé professeur extraordinaire et donna même des cours en anthropologie et en psychologie médicale. En plus de ses obligations régulières, Wundt fut chargé de l'enseignement de physiologie pendant le semestre d'été 1871 en remplacement de Helmholtz qui avait accepté un poste à l'Université de Berlin. Avant de quitter Heidelberg pour Zurich puis Leipzig, Wundt publia son Traité de psychologie physiologique (Wundt, 1874), le premier du genre, qui eut un succès considérable si l'on en juge par ses multiples rééditions (6 en tout) jusqu'au début du siècle (la seconde édition de ce livre sera traduite en français par E. Rouvier en 1886). C'est le chefd'oeuvre de sa psychologie expérimentale (même si son Précis de psychologie paru en 1896 reste un très bon exposé de la discipline) où il met en avant le concept d'aperception hérité de Leibniz et Herbart ; il y expose notamment les méthodes et les fondements physiologiques de la psychologie et ne traite en détail que les parties de la psychologie qui peuvent recevoir par ce moyen une explication particulière (la description et l'analyse sont reléguées dans l'ombre par l'expérimentation). Ses travaux de psychologie expérimentale, réalisés avec l'aide de nombreux collaborateurs, vont d'ailleurs peu à peu le convaincre que la volonté est le centre de la vie psychique et de là à l'idée de l'indépendance de la psychologie à l'égard de la physiologie et de la métaphysique. La psychologie fut ainsi la première voie qui le conduisit des sciences de la nature à la philosophie. La même année (1874), il reçut la proposition d'une chaire de "philosophie inductive" à l'Université de Zurich. Les compétences de Wundt en philosophie étaient reconnues après un premier ouvrage sur le sujet (Die physikalischen Axiome, 1866) où il essayait de 9 tirer les principes de la physique de cette loi que tout a sa raison, mais en s'appuyant aussi sur cette autre loi que tout ce qui se produit dans la nature se ramène à des mouvements. Cette seconde loi, il la prouvait, elle aussi, par cette raison que le mouvement est le changement le plus simple, puisqu'une chose qui se meut ne change que sa position par rapport à d'autres choses, sans perdre nécessairement pour ce motif aucune de ses propriétés. La rédaction de ce livre l'avait amené à s'intéresser à la théorie de la connaissance. L'Université de Zurich était une institution relativement jeune, considérée à l'époque comme un tremplin vers lequel les jeunes universitaires se dirigeaient pour ensuite, et assez rapidement, être propulsés à des postes dans des Universités allemandes plus prestigieuses. Wundt suivit cette tradition et en mai 1875 fut appelé à Leipzig où il enseigna pendant de très nombreuses années (jusqu'en 1917) dans une chaire la psychologie et la philosophie. C'est à l'Université de Leipzig qu'il crée le premier laboratoire de psychologie dans le monde (1879) et la première revue de psychologie intitulée Philosophische Studien (1881) (20 volumes publiés entre 1881 et 1903). De nombreux chercheurs allemands et étrangers vont transiter par le laboratoire de Wundt entre les années 1880 et 1900 ; parmi ceux-ci, il faut citer ici le psychologue belge Georges Dwelshauvers (1866-1937) qui a donné en 1912 un résumé, dans une oeuvre collective sur la philosophie allemande au XIX' siècle, de la psychologie expérimentale de Wundt représentée dans toute son ampleur par le fameux Traité de psychologie physiologique (première édition en 1874) dont nous avons parlé plus haut. Dans les années suivantes, au cours des années 1880, Wundt va aussi s'intéresser de plus en plus aux questions philosophiques comme le montre la publication d'une série d'ouvrages sur le sujet dont les thèmes étaient développés dans ses propres cours (Logique, 18801883 ; Éthique, 1886). Wundt commença d'abord par réaliser un travail philosophique d'ensemble, qui fit connaître non seulement les méthodes, mais encore la nature et le but dernier de la science psychologique telle qu'elle était comprise à Leipzig. Les méthodes psychophysiques, utilisées en psychologie expérimentale de laboratoire, sont-elles les seules qui soient à la disposition du psychologue ? Les faits une fois établis, mesurés, pourront-ils être ramenés à des lois ? S'il y a des lois, ces lois sont-elles comparables à celles des sciences physiques ? Enfin quels sont les rapports de la psychologie avec les autres sciences, et particulièrement 10 avec les sciences morales ? Telles sont les questions auxquelles il manquait encore une réponse précise. Cette réponse sera donnée dans son ouvrage sur la Logique (Wundt, 1880-1883), et plus particulièrement dans le second volume de 1883 superbement analysé par le philosophe français H. Lachelier qui avait assisté à Leipzig aux cours de Wundt à cette même période sur ce sujet. La conception dominante que présente Wundt est la suivante : la personne humaine est une volonté, et c'est même ce qui l'empêche de s'absorber dans la personnalité sociale : bien qu'elle subisse les lois de la société, sans laquelle elle ne pourrait ni se développer ni même exister, elle conserve son indépendance (cf. aussi l'Éthique, Wundt, 1886). Mais le chef-d'oeuvre philosophique de Wundt reste cependant le Système de philosophie (Wundt, 1889) (voir aussi son Introduction à la philosophie, 1901, où l'auteur caractérise les tendances diverses dans l'histoire de la philosophie) qui forme la suite de son Traité de psychologie physiologique et la systématisation de sa Logique. Comme le souligne H. Lachelier dans son analyse du livre, qui est reproduite ici, la volonté devient fondamentalement pour Wundt la grande loi de l'esprit. Entre 1900 et 1920, Wundt va se consacrer à la rédaction de sa Vôlkerpsychologie (socio-psychologie ou psychologie des peuples) (10 volumes) destinée à l'investigation des fonctions supérieures (par opposition aux fonctions inférieures de l'esprit étudiées par la psychologie expérimentale). En effet, abandonnée à ses seules ressources, la psychologie expérimentale est insuffisante, elle n'a pas de prise sur les phénomènes psychiques supérieurs. Il faut la compléter par la Vôlkerpsychologie qui a pour objet l'étude des lois psychologiques les plus générales du devenir collectif. Dans la société, on trouve des productions dont l'origine et l'évolution sont sociales : à ce titre elles peuvent s'appeler des productions sociales ; leur ensemble constitue « le devenir collectif ou social ». Tout ce qui est produit dans la société et même tout ce qui est produit sous l'influence du milieu social ne constitue pas une production collective dans l'acception rigoureuse du mot. Les productions sociales ne sont pas autres que la langue, la mythologie (avec la religion), les moeurs et coutumes ; il faut y ajouter quelques productions qui sont en connexion intime avec celles qui viennent d'être énumérées tels sont l'art, la poésie et le droit à leurs débuts. Quand on examine le développement de toutes les productions sociales, on les trouve régies par des lois psychologiques absolument universelles, malgré la variété indéfinie des phénomènes. Au fond, ces lois explicatives du devenir 11 social sont des lois de la psychologie individuelle. Mais, s'exerçant dans la société, elles se compliquent de l'interaction des individus et ainsi elles engendrent les productions sociales telles que nous pouvons les constater. La psychologie des peuples, mise en présence des données historiques (linguistiques, mythologiques, éthiques), tâche ainsi de trouver les lois générales de leur développement. Comme le montre l'analyse, que nous reproduisons ici, du sociologue H. Norero, spécialiste de la sociopsychologie de Wundt, la Vôlkerpsychologie est volontariste, plus encore que la psychologie individuelle expérimentale. Très engagé politiquement lors la première guerre mondiale au cours de laquelle il publiera de nombreux livres et pamphlets, en faveur de l'Allemagne, son aura scientifique en souffrira fortement. On trouvera dans plusieurs ouvrages (Wundt, 1885, 1910, 1911a, 1913, 1921) la collection des principaux articles écrits par Wundt et l'on pourra se reporter aux articles publiés dans la revue électronique « Psychologie et Histoire » pour avoir de plus amples informations sur W. Wundt (mort le 31 août 1920) dont l'oeuvre, en tant que physiologiste, psychologue et philosophe reste inégalée. Bibliographie sur la vie et l'oeuvre de Wundt Arnold, A. (1980). Wilhelm Wundt — Sein philosophische System. Berlin : Akademie-Verlag. Bringmann, W.G., & Tweney, R.D. (Eds.) (1980). Wundt studies. Toronto : C.J. Hogrefe. Lamberti, G. (1995). Wilhelm Maximilian Wundt (1832-1920). Bonn : Deutscher Psychologen Verlag GmbH. Meischner, W., & Eschler, E. (1979). Wilhelm Wundt. Leipzig : UraniaVerlag. Nicolas, S. (2001). Histoire de la psychologie. Paris : Dunod. Rieber, R.W. (Ed.) (1980). Wilhelm Wundt and the making of a scientific psychology. New York : Plenum. Wundt, E. (1927). Wilhelm Wundts Werk. München : C.H. Beck. Wundt, W. (1920). Erlebtes und Erkanntes. Stuttgart : A. Krôner. 12 Bibliographie des principaux ouvrages de W. Wundt Wundt, W. (1862). Beitrage zur Theorie der Sinneswahrnehmung (Contribution à la théorie de la perception sensorielle). Leipzig und Heidelberg : C.F. Winter (pp. xxxii, 451). *Sommaire: Einleitung (pp. xi-xxxii) (Introduction) - I. Ueber den Gefühlssinn, mit besonderer Rücksicht auf dessen raumliche Wahrnehmungen (pp. 1-65) (Sur les sensations perceptives, eu égard spécialement aux perceptions spatiales) - II. Zur Geschichte der Theorie des Sehens (pp. 66-104 ) (Sur l'histoire des théories de la vision) - III. Ueber das Sehen mit einem Auge (pp. 105-181) (Sur la vision monoculaire) - IV. Ueber das Sehen mit zwei Augen (pp. 182-298) (Sur la vision binoculaire) - V. Ueber einige besondere Erscheinungen des Sehens mit zwei Augen (pp. 299375) (Sur quelques phénomènes particuliers de vision binoculaire) - VI. Ueber den psychischen Prozess der Wahrnehmung (pp. 376451) (Sur les processus psychiques de perception). Wundt, W. (1863). Vorlesungen über die Menschen und Thierseele (2 vol.) (Conférences sur l'âme de l'homme et des animaux). Leipzig : L. Voss (pp. xiv, 491 ; viii, 463). (2 e édit. 1892 en un volume profondément remaniée et racourcie, Hamburg & Leipzig : L. Voss, pp. xii, 495; 3` édit. 1897 révisée, pp. xii, 519 ; 4 e édit. 1906 révisée, pp. xiv, 547 ; 5` édit. 1911, pp. xii, 558 ; 6 e édit. 1919, pp. xvi, 579 ; 7e édit. 1922, pp. xvi, 579) Wundt, W. (1865). Lehbuch der Physiologie des Menschen (I, II, III) (Manuel de physiologie humaine). Erlangen : F. Enke (1' édit. : pp. xiii, 661 ; 2 e édit. 1868 : pp. xvii, 729 ; 3e édit. 1873 : pp. xii, 790 ; zle édit. 1878 : pp. xii, 851). Traduction française annotée par H. Bouchard (1872) sur la seconde édition allemande révisée et augmentée de 1868. Nouveaux éléments de physiologie humaine. Paris : F. Savy. pp. vi , 623. Wundt, W. (1866). Die physikalischen Axiome und ihre Beziehung zum Causalprincip. Ein Capitel aus einer Philosophie der Naturwissenschaften (Les axiomes physiques et leur dépendance au principe de causalité. Un chapitre de philosophie des sciences de la nature). Erlangen : F. Enke (pp. iv, 137). (2e édit. 1910 remaniée sous le titre Die Prinzipien der mechanischen 13 Naturlehre. Ein Kapitel aus einer Philosophie der Naturwissenschafien (Principes de la théorie mécanique de la nature). Stüttgart : F. Enke, pp. xii, 217). *Sommaire : I. Einleitung (pp. 1-5) (Introduction) - II. Die sechs physikalischen Axiome (pp. 6-77) (Les six axiomes physiques) III. Ontologische Antinomieen (pp. 78-87) (Antinomies ontologiques). IV. Das Causalgesetz (pp. 88-107) (La loi de causalité) V. Der Satz vom zureichenden Grunde (pp. 108 114) (Le théorème de la cause suffisante) - VI. Deduction der Axiome (pp. 115-132) (Déduction des axiomes) - VII. Zusammenhang der Axiome (pp. 133-137) (Cohésion des axiomes). Wundt, W. (1867). Handbuch der medicinischen Physik. Erlangen : F. Enke (traduction française avec de nombreuses additions par D'. F. Monoyer (1871). Traité élémentaire de physique médicale. Paris : J.B. Baillière, pp. xxiv, 704 ; deuxième édition française revue et corrigée par A. Imbert (1883), pp. xx, 796). (Des phénomènes et des lois physiques en général (I). De la pesanteur (II). Du son (III). Optique (IV). De la chaleur (V). De l'électricité (VI). Wundt, W. (1871). Untersuchungen zur Mechanik der Nerven und Nervencentren (I). Ueber Verlauf und Wesen der Nervenerregung (Recherches sur la mécanique des nerfs et des centres nerveux: Première partie : Sur le développement et la nature de l'excitation nerveuse). Erlagen : F. Enke. *Sommaire. Einleitung (Introduction) (pp. 1-20). I. Von der extrapolaren Schliessungsserregung (De l'excitation de clôture extrapolaire) (pp. 21 120). II. Von der intrapolaren Schliessungsserregung (De l'excitation de clôture intrapolaire) (pp. 121-159). III. Von der Oeffnungserregung (De l'excitation de l'ouverture) (pp. 160 176). IV. Von der Erregung durch kurzdauernde Reize (De l'excitation par les stimuli de courte durée) (pp. 177 202). V. Von dem Einfluss verschiedener physiologischer und physikalischer Beingugen auf den Verlauf der Erregung (De l'influence des différentes conditions physiques et phjysiologiques) (pp. 203-222). VI. Von dem Wessen der Nervenerregung (De la nature de l'excitation nerveuse) (pp. 223278). Wundt, W. (1874). Grundziige der physiologischen Psychologie. Leipzig: W. Engelmann (pp. xii, 870). (2' éd. 1880, vol. I : pp. xii, 499; vol. - - - - - 14 II : pp. viii, 472 ; 3' éd. 1887, vol. I : pp. xii, 544 ; vol. H : pp. x, 562 ; e éd. 1893, vol. I : pp. xv, 600; vol. II : pp. xii, 684 ; 5' éd. 1902/03, vol. I : pp. xv, 553 ; vol. Il : pp. viii, 686 ; vol. III : pp. ix, 796 ; e éd. 1908/11, vol. I (1908) : pp. xv, 725 ; vol. II (1910) : pp. viii, 782 ; vol. III (1911) : pp. xi, 810). Trad. française sur la seconde édition allemande de 1880 par E. Rouvier (1886). Eléments de psychologie physiologique (vol. I : pp. xxxii, 571 ; vol. Il : pp. 532). Paris : F. Alcan. Wundt, W. (1876). Untersuchungen zur Mechanik der Nerven und Nervencentren (II). Ueber den Reflexvorgang und das Wesen der Centralen Innervation (Recherches sur la mécanique des nerfs et les centres nerveux. Deuxième partie. Sur l'action réflexe et sur la nature de l'innervation centrale). Erlagen : F. Enke. *Sommaire. Einleitung (Introduction) (pp. 1-11). I. Von der ein fachen Reflexerrung (De l'excitation réflexe simple) (pp. 12-55). II. Von der Vercinderungen der Reflexreizbarkeit (Des changements de l'innervation réflexe) (pp. 56-83). III. Von der Interferenz verschiedener Reflexreize und dem Einfluss der hôheren Nerven centren auf den Reflexvorgang (De l'interférence de différents stimulus réflexes et de l'influence des centres nerveux supérieurs sur le déroulement de l'acte réflexe) (pp. 84102). IV. Von dem Wesen der Reflexerregung und der centrales Inervation iiberhaupt (De la nature de l'excitation réflexe et de l'innervation centrale en général) (pp. 103-144). Wundt, W. (1880). Logik. Eine Untersuchung der Principien der Erkenntniss und der Methoden wissenschaftlicher Forschung. Vol. I. Erkenntnisslehre (Logique. Une investigation sur les principes de la connaissance et sur les méthodes de la recherche scientifique. Vol. I. Théorie de la connaissance). Stuttgart : F. Enke. (pp. xii, 585). (2' édit. 1893 remaniée, pp. xiv, 651 ; 3' édit. 1906 corrigée, pp. xiv, 650 ; 4' édit. 1919 corrigée, pp. xvi, 654). * Sommaire. Einleitung (Introduction). I. Von der Entwicklung des Denkens (Le développement de la pensée). II. Von der Begriffen (Les concepts). III. Von den Urtheilen (Les jugements). IV. Von den Schlussfolgerungen (L'aboutissement des conclusions). V. Von der Entwicklung der Erkenntniss (Le développement de la connaissance). VI. Von den Gesetzen der Erkenntniss (Les lois de la connaissance). 15 Wundt, W. (1883). Logik. Eine Untersuchung der Principien der Erkenntniss und der Methoden wissenschaftlicher Forschung. Vol. II. Methodenlehre (Logique. Une investigation sur les principes de la connaissance et sur les méthodes de rechercherche en sciences naturelles. Vol. II. Traité sur les méthodes). Stuttgart : F. Enke. (pp. xiii, 620). (2e édit. 1894-1895 remaniée en deux volumes, Vol. II (Méthodologie générale : logique des mathématiques et des sciences naturelles) : pp. xii, 590 ; Vol. III (Méthodologie générale : logique des sciences de l'esprit) : pp. vii, 643; 3` édit. 1907 remaniée du Vol. II, pp. xv, 653 ; e édit. 1920 remaniée du Vol. II, pp. xv, 671 ; 3' édit. 1908 remaniée du Vol. III, pp. xii, 692 ; e édit. 1921 corrigée du Vol. III, pp. xii, 693). * Sommaire. I. Allgemeine Methodenlehre (Doctrine générale sur les méthodes) (pp. 1-73) (§1. Les méthodes d'inverstigation. §.2 Les formes de l'exposition systématique). II. Von der Logik der Methematik (La logique des mathématiques) (pp. 74-219) (§1. Logique générale des méthodes mathématiques. §2. Les méthodes arithmétiques. §3. Les méthodes géométriques. §4. La notion de fonction et la méthode infinitésimale). III. Von der Logik der Naturwissenschaften (La logique des sciences naturelles) (pp. 220477) (§1. Fondements généraux de l'investigation naturelle. §2. Logique de la physique. §3. Logique de la chimie. §4. Logique de la biologie). IV. Von der Logik der Geisteswissenschaften (La logique des sciences mentales) (pp. 478-620) (§1. Fondements généraux des sciences mentales. §2. Logique des sciences historiques. §3. Logique des sciences sociales. §4. Les méthodes de la philosophie). Wundt, W. (1885). Essays (Essais). Leipzig : W. Engelmann (pp. iv, 386). *Sommaire. I. Philosophie und Wissenschaft (Philosophie et science) (pp. 1-23) ; II. Die Theorie der Materie (La théorie de la matière) (pp. 24-60) ; III. Die Unendlichkeit der Welt (L'infinité du monde) (pp. 61-87) ; IV. Gehirn und Seele (Cerveau et âme) (pp. 88 126) ; V. Die Aufgaben der experimentellen Psychologie (Le problème de la psychologie expérimentale) (pp. 127-153) ; VI. Die Messung psychischer Vorgiinge (La mesure des actes psychiques) (pp. 154-181) ; VII. Die Thierpsychologie (La psychologie des animaux) (pp. 182-198) ; VIII. Gefiihl und Vorstellung (Sentiment - 16 et représentation) (pp. 199-221) ; IX. Der Ausdruck der Gemiithsbewegungen (L'expression des émotions) (pp. 222-243) ; X. Die Sprache und das Denken (Le langage et la pensée) (pp. 244-285) ; XI. Die Entwicklung des Willens (Le développement de la volonté) (pp. 286-307) ; XII. Der Aberglaube in der Wissenschaft (La superstition dans la science) (pp. 308-341) ; XIII. Der Spiritismus (Le spiritisme) (pp. 342-366) ; XIV. Lessing und die kritische Methode (Lessing et la méthode critique) (pp. 367386). (2' édition corrigée en 1906 avec suppression des chapitres VII et VIII). Wundt, W. (1886). Ethik : Eine Untersuchung der Tatsachen und Gesetze des sittlichen Lebens (Ethique : Une recherche sur les faits et les lois de la vie morale). Stuttgart : F. Enke (pp. xi, 577) (2` édit. 1892, pp. xii, 684 ; 3` édit. 1903 remaniée, Vol. I : pp. x, 524 ; Vol. Il : pp. vi , 409 ; 4. édit. 1912 remaniée en 3 volumes, Vol. I, Die Tatsachen des sittlichen Lebens, pp. xii, 304 ; Vol. II, Die Entwicklung der sittlichen Weltanschauungen, pp. iv, 306 ; Vol. III, Die Prinzipien der Sittlichkeit, pp. iv, 360). * Sommaire. Vorwort (avant-propos) (pp. iv-vi) - Einleitung (introduction) (pp. 1-14). §1. L'éthique comme science des normes (pp. 1-6) - §2. Les méthodes de l'éthique (pp. 7-12) - §3. Fonctions de l'éthique (pp. 13-14) - I. Die Thatsachen des sittlichen Lebens (les faits de la vie morale) (pp. 15-233). §1. Le langage et les représentations morales (pp. 15-32) - §2. La religion et la morale (pp. 33-87) - §3. La coutume et la vie morale (pp. 88-201) - §4. Les conditions culturelles et naturelles du développement de la vie morale - Il. Die philosophischen Moralsysteme (pp. 234-371) (Les systèmes de la philosophie morale). §1. L'éthique antique (pp. 234256) - §2. L'éthique chrétienne (pp. 257-266) - §3. La nouvelle éthique (pp. 267-348) - §4. Critique générale des systèmes de morale (pp. 349-371) - III. Die Principien der Sittlichkeit (Les principes de la morale) (pp. 372-510). §1. La volonté morale (pp. 372-424) - §2. Les fonctions morales (pp. 425-435) - §3. Les motivations morales (pp. 436-461) - §4. Les normes morales (pp. 462-510) - IV. Die sittlichen Lebensgebiete (les formes de la vie morale) (pp. 511-577). §1. La personnalité simple (pp. 511-528). §2. La société (pp. 529-548) - §3. L'état (pp. 549-564) - §4. L'humanité (pp. 565-577). 17 Wundt, W. (1889). System der Philosophie (Système de philosophie). Leipzig : W. Engelmann (pp. x, 669). (2e édit. corrigée en 1897 en un volume, pp. xviii, 689 ; 3' édit. 1907 remaniée en deux volumes Vol. I : pp. xviii, 436 ; Vol. H : pp. vi, 302 ; e édit. 1919 remaniée Vol. I : pp. xvi, 436 ; Vol. H : pp. vi, 304). * Sommaire. Vorwort (Avant-propos) (pp. v-vi) - Einleitung (Introduction) (pp. 1-37) - I. Vom Denken (La pensée) (pp. 38-89) II. Von der Erkenntniss (La connaissance) (pp. 90-216) - III. Von den Verstandesbegriffen (Les concepts de la compréhension) (pp. 217 349) IV. Von den transcendenten Ideen (Les idées transcendantales) (pp. 350-444) - V. Hauptpunkte der Naturphilosophie (Principaux points de la philosophie de la nature) (pp. 445 550) VI. Grundziige der Philosophie des Geistes (Traité de la philosophie de l'esprit) (pp. 551-669). Wundt, W. (1896). Grundriss der Psychologie (Précis de psychologie). Leipzig : W. Engelmann (pp. xvi, 392). (2' édit. 1897 corrigée, pp. xvi, 392 ; 3' édit. 1898 corrigée, pp. xvi, 403 ; 4' édit. 1901 remaniée, pp. xvii, 411 ; 5' édit. 1902 retravaillée, pp. xvi, 410 ; 6 e édit.1904corge,pxv8;7'édit.1905corge,pxv 414 ; 8e édit. 1907 corrigée, pp. xvi, 414 ; 9' édit. 1909 corrigée, pp. xvi, 414 ; 10e édit. 1911 corrigée, pp. xvi, 414 ; Il' édit. 1913, chez A. Krôner à Leipzig, pp. xvi, 414 ; 12 e édit. 1914, chez A. Krôner à Leipzig, pp. xvi, 414 ; 13 e édit. 1918, chez A. Krôner à Leipzig, pp. xvi, 414 ; 14 e édit. 1920, chez A. Krôner à Leipzig, pp. xvi, 414). * Sommaire. Einleitung (pp. 1-32) (Introduction: § 1. Le problème de la psychologie (pp. 1-6) - § 2. Les formes générales de psychologie (pp. 7-21) - § 3. Les méthodes de la psychologie (pp. 22-28) - § 4. Aperçu général du sujet (pp. 29-32) - I. Die psychischen Elemente (pp. 33-105) (Les éléments psychiques : § 5. Formes principales et attributs généraux des éléments psychiques (pp. 33-44) - § 6. Les sensations pures (pp. 45-86) - § 7. Les sentiments simples (pp. 87-105) - II. Die psychischen Gebilde (pp. 106-237) (Les composés psychiques : § 8. Définition et classification des composés psychiques (pp. 106-108) - § 9. Les représentations intensives (pp. 109-119) - § 10. Les représentations spatiales (pp. 120-166) - § 11. Les représentations temporelles (pp. 167-185) - § 12. Les sentiments composites (pp. 186-197) - § 13. - - - - 18 Les émotions (pp. 198-213) - § 14. Les processus volontaires (pp. 214-237) - III. Der Zusammenhang der psychischen Gebilde (pp. 238-323) (Les interconnections entre les composés psychiques : § 15. Conscience et attention (pp. 238-261) - § 16. Associations (pp. 262-290) - § 17. Les combinaisons aperceptives (pp. 291-313) - § 18. Les états psychiques (pp. 314-323) - IV. Die psychischen Entwicklungen (pp. 324-362) (Les développements psychiques : § 19. Attributs psychiques des animaux (pp. 324-331) - § 20. Développement psychique de l'enfant (pp. 332-346) - § 21. Développement des communautés mentales (pp. 347-362) - V. Die psychische Causalitdt und ihre Gesetze (pp. 363-384) (les principes et les lois de la causalité psychique: § 22. Le concept d'esprit (âme) (pp. 363-374) - § 23. Les principes des phénomènes psychiques (pp. 375-380) - § 24. Les lois générales du développement psychique (pp. 381-384). Wundt, W. (1900). VOlkerpsychologie (la & Ib puis I et II). Eine Untersuchung der Entwicklungsgesetze von Sprache, Mythus und Sitte (Psychologie des peuples : Une étude des lois du développement de la langue, du mythe et des moeurs). Vol. I (Tome 1, pp. xv, 627 et Tome 2, pp. x, 644) : Die Sprache. Leipzig : W. Engelmann. (2' édit. 1904 révisée, Tome 1, pt. I, pp. xv, 667 ; Tome 2, pt. II, pp. x, 673). Dans un nouvel arrangement de l'ouvrage décidé en 1908 : Vol. I : Die Sprache (Tome 1) ; Vol. II : Die Sprache (Tome 2) ; Vol. III : Die Kunst. (3` édit. 1911 révisée, Vol. I : Die Sprache (I), pp. xv, 695 ; 3` édit. 1912 révisée, Vol. II : Die Sprache (II), pp. x, 678 ; 4' édit. 1921-22, Vol. I : Die Sprache (I), pp. xv, 695 ; Vol. II : Die Sprache (II), pp. x, 681). *Sommaire du Tome 1 : Einleitung (pp. 1-28) (Introduction : Concept et mission de la psychologie des peuples (pp. 1-6). Esprit collectif et âme collective (pp. 7-12). Développement historique de la psychologie des peuples (pp. 13-23). Problèmes fondamentaux de la psychologie des peuples (pp. 24-28) I. Die Ausdruckcbewegungen (pp. 31-129) (les mouvements d'expression : Signification générale des mouvements d'expression (pp. 3136). Relations des mouvements d'expression avec les émotions et les affects (pp. 37-67). Principes relatifs aux mouvements d'expression (pp. 68-85). Expressions d'intensité des émotions (pp. 86-94). Expressions de qualité des sentiments (pp. 95-118). 19 Expressions de représentation des émotions (pp. 119-129) - II. Die Gebürdensprache (pp. 131-243) (le langage des gestes : Les formes de développement du langage des gestes (pp. 131-148). Principaux systèmes de langage des gestes (pp. 149-186). Ambiguité et changement de signification des gestes (pp. 187203). La syntaxe du langage des gestes (pp. 204-217). Le caractère psychologique du langage des gestes (pp. 218-243) - III. Die Sprachlaute (pp. 244-347) (les sons du langage : Emissions vocales chez les animaux (pp. 244-266). Les sons du langage chez les enfants (pp. 267-301). Les sons naturels du langage et ses transformations (pp. 302-311). Les onomatopées dans le langage (pp. 312-347). - IV. Der Lautwandel (pp. 348-490) (Le changement phonétique : Les lois phonétiques dans la science du langage (pp. 348-360). Les formes individuelles et générales des changements de sons (pp. 361-394). Le changement phonétique régulier (pp. 395-423). Les actions associatives de contact des sons (pp. 424-443). Les actions associatives à distance (pp. 444-471). Les associations de sons et d'idées (pp. 472-485) - V. Die Wortbildung (pp. 491-627) (la formation des mots : Conditions psychophysiques de la formation des mots (pp. 491-518). Psychologie des représentations verbales (pp. 519-544). La place du mot dans le langage (pp. 545-565). Étude de la formation des mots nouveaux (566-577). Rôle de la réduplication dans la formation des mots (pp. 578-601). La formation des mots composés (pp. 602-620). La formation primitive de mots (pp. 621627). *Sommaire du Tome 2 : VI. Die Wortformen (Les formes verbales) (pp. 1-214) (§1. Concept et classification (pp. 1-8). §2. Développement général des noms (pp. 9-57). §3. Cas des noms (pp. 58-128). §4. Développement des formes verbales (pp. 129180). §5. Conjugaison des verbes (pp. 181-203). §6. Formation des particules (pp. 204-214) - VII. Die Satzfüngung (La construction) (pp. 215-419) (§1. La phrase comme forme générale du langage (pp. 215-247). §2. Les diverses espèces de phrases (pp. 248-256). §3. Eléments constitutifs de la phrase (pp. 257-272). §4. Séparation des parties du discours (pp. 273-308). §5. Formes des phrases (pp. 309-346). §6. Ordre des parties de la phrase (pp. 347374). §7. Rythme et modulation dans la phrase (pp. 375-401). §8. 20