travail de rapporteur avec curiosité, Matthieu Jules pour sa disponibilité et son intérêt au moment de
constituer ce jury, Arjan de Visser et Paul Rainey pour les raisons détaillées ci-après.
Tout d’abord, je remercie Arjan pour ses conseils et son soutien lorsque j’ai commencé sur ce sujet
sans rien connaître en microbiologie. Il a joué un rôle de « phare », distant mais indispensable pour
ce repéré et garder le cap. Il est pour moi un encadrant à part entière et sa présence le jour de ma
soutenance m’a fait très plaisir. Je garde le souvenir d’une semaine formidable passée à Wageningen,
qui sans pouvoir désigner précisément comment m’a véritablement permis de me saisir de mon
sujet. Je remercie Merijn Salverda pour son accueil à cette occasion.
Je remercie également Paul Rainey pour l’honneur qu’il m’a fait en prenant part à mon jury et pour
les discussions dans le dernier mois de ma thèse.
Au cours de ma thèse j’ai bénéficié des conseils avisés et de l’aide précieuse de nombreuses
personnes pour apprendre la biologie et utiliser ses techniques. Je remercie Joelle Vinh, Yann Verdier
et Iman Haddad du SMPB à l’ESPCI pour leur soutien et leur patience pour la caractérisation sur le
gène ag43 et le plaisir que j’ai eu à travailler avec eux. J’ai rencontré Christophe Beloin de l’Institut
Pasteur par hasard, mais j’aurais pu et dû le sollicité plutôt au sujet du gène ag43. Son intérêt et ses
conseils sur ce thème m’ont indéniablement permis de franchir un des caps qui font l’avancement
d’une thèse. Clément Nizak, invité au laboratoire de Biochimie (LBC) de l’ESPCI, m’a lui fait profiter
de son expérience et de sa connaissance de la communauté scientifique nationale et internationale
au sein de laquelle ce travail de thèse s’inscrit. Je remercie Andrew Griffith pour le regard extérieur
positif qu’il a porté régulièrement sur mon travail. Enfin je suis content de signaler le rôle particulier
de Pierre Sivadon et Régis Grimaud de l’IPREM à Pau. Ils sont les premiers avoir suggéré l’implication
de variations de phases comme celle d’ag43 dans nos résultats sur la diversité phénotypique, je les
remercie pour le temps qu’il nous ont fait gagner à ce moment là et pour le plaisir que j’ai eu à
travailler en marge de ma thèse sur leur problématique.
Je remercie toutes les personnes qui ont fait de la millifluidique au laboratoire car nous avons
partagé et partageons nos problématiques expérimentales ce qui est très agréable et fait souvent
gagner un temps précieux. Fabien et Larysa ont été les pionniers de la millifluidique au LCMD. Wang
et Laurent ont considérablement intégré le dispositif et le programme de pilotage. Je remercie
Laurent également pour m’avoir accueilli en stage de master et m’avoir parfaitement préparer à ce
moment là aux trois années de thèse qui ont suivi, mais aussi pour le meneur et animateur qu’il est
au travail, auprès duquel on ne peut que cultiver l’optimisme et l’ambition.Shima, Jairo et Lianmei
ont aborder des thèmes différents avec la technologie millifluidique et les échanges sur nos
expériences respectives ont été source d’inspiration et de motivation dans une ambiance très
agréables.
J’ai beaucoup apprécié de travailler avec les stagiaires qui sont passés pour quelques mois au
laboratoire sur des sujets variés en marge de ma thèse car on ne peut pas faire tout le temps la
même chose : Sarah Abidh, Ernest Mordret, Christoph Kleinschmidt, François Mazuel, Alexis
Mazurier, Mélanie Jacquet et Joshua Ricouvier.
Les rôles de Lise, pour l’administratif et Jean-Yves pour la maintenance et l’entretien sont
évidemment indispensables. Ils les remplissent d’une manière qui force l’admiration mais surtout je
retiens qu’en plus ce sont des personnes agréables qui ont et vous donne chaque fois le sourire.