2
R
EMERCIEMENTS
Je voudrais exprimer toute ma gratitude envers Mme le Professeur Marie-
Anne Vannier de l’Université Paul Verlaine de Metz et M. le Professeur
Andreas Speer, directeur du Thomas-Institut de Cologne, qui ont dirigé cette
présente recherche. Qu’ils soient remerciés pour leurs encouragements,
leurs conseils, leur disponibilité ainsi que pour leurs qualités tant
intellectuelles qu’humaines.
Je voudrais également rendre un hommage particulier aux frères de la
Province dominicaine de France qui, dès ma jeunesse, m’ont transmis la
passion des études médiévales et ont largement contribué à la maturation
intellectuelle de mon parcours scolaire : sans eux, je n’aurais jamais connu
les joies et les exigences de la fruitio intellectuelle.
J’adresse également mes remerciements les plus chaleureux à mes collègues
du Lycée International de Strasbourg ainsi qu’à mes élèves : ils ont été un
soutien indéfectible pour la motivation et l’affinement de mes recherches.
J’exprime également toute ma sympathie à M. Jean-Sébastien Rey pour son
soutien et les quelques litres hebdomadaires de café partagés au long de ce
travail.
Je remercie enfin celles et ceux qui ont contribué, d’une manière ou d’une
autre, à la finalisation de ce travail : Nathalie, Jean, Louise, Maryla, Juliette,
Clémence, Martine, Dominique, Christine, Thomas, Pierre, Nicolas, Marie,
Marie-Laure, Joris, Jules, Thérèse, Michel, Sonia, Anthony, Karin, Louis,
Paul, Annette, Patrick, et enfin Antoine, mon père.
J’exprime toute mon affection et ma reconnaissance à Sandra, mon épouse,
pour sa patience et l’heureux soutien qu’elle a été durant ce travail : rien ne
saurait exprimer tout ce que je lui dois.
Ma pensée va enfin à Marie-Rose, ma mère, à qui je dédie ce travail, in
memoriam.
In dulcedine societatis quaerens veritatem